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Offices religieux - Page 30

  • Malmedy 2013 : la messe traditionnelle s’intègre dans le paysage

     

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    Voici le calendrier 2013 des messes dominicales  célébrées en latin à  l’église des capucins de Malmédy, tel qu’il a été établi avec M. le Doyen des Ardennes. Les célébrations sont assumées, à tour de rôle, par les prêtres diocésains affectés à l’église du Saint-Sacrement à Liège.

    Cette année toutes les messes à Malmédy, sauf deux (13 janvier et 9 juin), auront lieu le premier dimanche du mois à 18 heures. Le lieu et l'heure restent inchangés : 18h, église des capucins, ruelle des capucins (renseignements : L. Aussems, rue des arsilliers 3, 4960 Malmedy. Tél. 080.33.74.85)

    Dimanche 13 janvier 2013, 18h, Octave de l'Epiphanie

    Dimanche 3 février 2013, 18h, Sexagésime

    Dimanche 3 mars 2013, 18h, IIIe dim. de carême

    Dimanche 7 avril 2013, 18h, Ier dim. après Pâques (dim. « in albis »

    Dimanche 5 mai 2013, 18h, Ve dim. après Pâques

    Dimanche  9 juin 2013, 18h, IIIe dim. après la Pentecôte

    Dimanche 7 juillet 2013, 18h, VIIe dim. après la Pentecôte

    Dimanche 4 août 2013, 18h, XIe dim. après la Pentecôte

    Dimanche 1er septembre 2013, 18h, XVe dim. après la Pentecôte

    Dimanche 6 octobre 2013, 18h, 20e dim. après la Pentecôte

    Dimanche 3 novembre 2013, 18h, 4e dim. après l’Epiphanie reporté

    Dimanche 1er décembre 2013, 18h, 1er dimanche de l’Avent

     

     

    MALMEDY 

    PROCHAINE MESSE TRADITIONNELLE

    Célébrée par M. l’abbé Claude Germeau 

    DIMANCHE 13 JANVIER 2013 À 18 HEURES 

    ÉGLISE DES CAPUCINS

    Ruelle des Capucins à 4960 Malmedy 

    OCTAVE DE LA FÊTE DE L’ÉPIPHANIE 

     

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    Propre grégorien de la Fête

    Kyriale IX « cum jubilo ». Credo III 

    Motet « Venite adoremus » de Pietro-Alessandro Yon (1886-1943)

    chanté par Jean-Marie Taslent (ténor solo)

    Motet traditionnel « Adeste fideles » à deux voix

    Noël malmédien « Puer nascitur » à deux voix

     d’Olivier Lebierre (1851-1914)

    Cantique « Zu Bethlehem geboren » (Köln, 1637)

    Extrait pour flûte (Albert Schäffer) et orgue (Léonard Aussems)

    de l’œuvre de Jean-Marie Leclerc (1647-1716) 

     

     

    Avec tous nos vœux d’heureuse année 2013 

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  • Noël 2012 et Épiphanie 2013 à l’église du Saint-Sacrement

    bilan de l'assistance aux messes festives

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    Le bilan statistique de l’assistance aux messes de ces deux fêtes du cycle de Noël s’élève cette année à plus de 300 participants.

    25 décembre 2012 : Noël

    10h (missel de 1962) :                                                             125 personnes

    11h15 (missel de 1970) :                                                            48 personnes

    6 janvier 2013 : Epiphanie

    10h (missel de 1962) :                                                             107 personnes

    11h15 (missel de 1970) :                                                            52 personnes

  • Dimanche 6 janvier: Epiphanie au Saint-Sacrement

     

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    À L’ÉGLISE DU SAINT-SACREMENT

    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège 

    DIMANCHE  6 JANVIER 2013 À 10 HEURES

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    ÉPIPHANIE

    MESSE FESTIVE

    célébrée selon le missel de 1962 

    PROPRE GRÉGORIEN DE LA FÊTE

    par la schola du Saint-Sacrement 

    MISSA BREVIS DE Léo DELIBES, 1836-1891

    pour deux voix et orgue

    interprétée par Isabelle André, soprano et Patricia Moulan, alto

    (conservatoire de Verviers)

    Contribution unique (1875) du célèbre auteur de "Lakmé" à ce genre musical, composée pour choeur et voix d'enfants dans un style joyeux, aérien et intérieur à la fois (écouter ci-dessous)

    MOTETS ANCIENS ET CLASSIQUES

    « Nascere, nascere » de Giovanni-Battista Bassani, 1647-1716

    par Patricia Moulan, alto

    « O salutaris » de Gabriel Fauré, 1845-1924  et « Panis angelicus »

     de César Franck, 1822-1890

    par Isabelle André, soprano 

    À L’ORGUE

    Patrick Wilwerth

    (professeur au conservatoire de Verviers) 

     

    STELLA SEMPER RUTILANS

    epiphanie 2013 à l'église du saint-sacrement à liège

    epiphanie 2013 à l'église du saint-sacrement à liège

    Du Christ, une vieille séquence de noël chante qu’Il est « sol occasum nesciens », le soleil qui ne connaît pas de déclin, « stella semper rutilans », l’étoile toujours resplendissante : cette image fait le lien avec l’Epiphanie fêtée ce dimanche 6 janvier 2013.

    A propos de cette grande fête du mystère de l'incarnation qui, dans l’histoire de la liturgie, fut célébrée la première, avant même celle de Noël, Benoît XVI nous rappelle ceci : « L'Epiphanie, la « manifestation » de notre Seigneur Jésus Christ, est un mystère multiforme. La tradition latine l'identifie avec la visite des mages à l'Enfant Jésus à Bethléem, et l'interprète donc surtout comme une révélation du Messie d'Israël aux peuples païens. La tradition orientale en revanche privilégie le moment du baptême de Jésus dans le fleuve du Jourdain, lorsqu'il se manifesta comme Fils unique du Père céleste, consacré par l'Esprit Saint. Mais l'Evangile de Jean invite à considérer comme « épiphanie » également les noces de Cana, où Jésus, changeant l'eau en vin, « manifesta sa gloire et ses disciples crurent en lui » (Jn 2, 11) ». Et, nous-mêmes,  sommes  aujourd’hui encore les témoins de cette « épiphanie » du Seigneur dans la sainte Eucharistie, sacrement mystérieux dans lequel Jésus révèle et cache en même temps sa gloire…

    En cette fête de l’Epiphanie, Benoît XVI nous invite à prêter une attention particulière au symbole de l'étoile, si important dans le récit évangélique des mages (cf. Mt 2, 1-12) et il explique :

    « Les Pères de l'Eglise ont vu dans ce singulier épisode raconté par saint Matthieu une sorte de « révolution » cosmologique, causée par l'entrée du Fils de Dieu dans le monde. Cela signifie que les étoiles, les planètes, l'univers tout entier ne sont pas gouvernés par une force aveugle, ils n'obéissent pas aux dynamiques de la seule matière. Ce ne sont donc pas les éléments cosmiques qui doivent être divinisés, mais, bien au contraire, en toute chose et au-dessus de toute chose, il y a une volonté personnelle, l'Esprit de Dieu, qui dans le Christ s'est révélé comme Amour (cf. Enyclique Spe salvi, n. 5). La pensée chrétienne compare l'univers à un « livre » - c'est également ce que disait Galilée -, en le considérant comme l'œuvre d'un Auteur qui s'exprime à travers la « symphonie » de la création. A l'intérieur de cette symphonie, on trouve, à un certain moment, ce que l'on appellerait en langage musical un « solo », un thème confié à un seul instrument ou à une voix  ; et il est tellement important que la signification de toute l'œuvre en dépend. Ce « soliste » c'est Jésus, à qui correspond, justement, un signe royal : l'apparition d'une nouvelle étoile au firmament. Jésus est comparé par les auteurs chrétiens antiques à un nouveau soleil. Selon les connaissances astrophysiques actuelles, nous devrions le comparer à une étoile encore plus centrale, non seulement pour le système solaire, mais pour tout l'univers connu. Dans ce dessein mystérieux, à la fois physique et métaphysique, qui a conduit à l'apparition de l'être humain comme couronnement des éléments de la création, Jésus est venu au monde : « né d'une femme » (Ga 4, 4), comme l'écrit saint Paul. Le Fils de l'homme résume en lui la terre et le ciel, la création et le Créateur, la chair et l'Esprit. Il est le centre de l'univers et de l'histoire, parce qu'en Lui s'unissent sans se confondrent l'Auteur et son œuvre. »

     

      Renseignements au secrétariat: tel. 04.344.10.89

  • Fêtons Noël 2012

     

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    NOËL 2012 À LIÈGE

    en grégorien et en polyphonie ancienne

     

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    Lundi 24 décembre 2012

    Chapelle Saint-Augustin (dite « de Bavière »)

    Rue des Bonnes Villes, en Outremeuse

    24h00, messe de la nuit de noël, en latin (missel de 1962)

    chantée en grégorien

     

    Mardi 25 décembre 212 :

    Église du Saint-Sacrement

    (Boulevard d’Avroy, 132) 

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    10h00, messe du jour de noël

    en latin (missel de 1962)

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    Propre grégorien de la messe du jour

    Kyriale IX « cum jubilo »

    Ancien noël polyphonique du rite liégeois

    "Magnum nomen Domini Emmanuel"

    (Aachener Domchor)

    Hymne « Adeste fideles »

    par la 

    Schola du Saint-Sacrement

    A l’orgue : Patrick Wilwerth

     

      

    11h15, messe du jour de noël, en français (missel de 1970)

    Chants grégoriens et motets de noël. À l’orgue, Mutien-Omer Houziaux

     

    17h00, Vêpres grégoriennes de Noël,

    suivies du chapelet (18h00) des litanies du Sacré-Coeur de Jésus et de l’adoration du Saint-Sacrement (salut et bénédiction à 18h45).

     

    Chapelle Saint-Augustin (dite « de Bavière »)

    Rue des Bonnes Villes, en Outremeuse

     

    11h15, messe du jour de noël, en latin (missel de 1962)

    Chants grégoriens

     

    Un «tweet» pour les gens pressés 

    noël 2012 à l'église du saint sacrement à liège 

    Vous connaissez le système de « microblogage » Twitter, qui permet d’envoyer de brefs messages gratuits sur internet. Et bien c’est fait : depuis le 2 décembre dernier, Benoît XVI y a ouvert un compte. Son style à la fois limpide, lumineux et concis s’y prête et honore le mode de communication des gens pressés.

    Dans un billet que publie le mensuel « La Nef » » (n° 243, décembre 2012), l’abbé Christian Guyaud l’illustre aussi en citant ses homélies pour la nativité :

    Noël, c’est l’Enfant.

     Benoît XVI commente Isaïe, 10, 23 : « Dieu a rendu brève sa Parole, il l’a abrégée ». La Parole de la Sainte Écriture était devenue trop longue et complexe. Toute la Loi et les Prophètes ont ainsi été abrégés dans le double commandement de l’amour. La Parole incarnée a été raccourcie à la taille d’un petit enfant avant d’être réduite aux dimensions d’un morceau de Pain. D’où cette abréviation : « le Créateur qui tient tout dans ses mains, dont nous dépendons tous, se fait petit et nécessiteux de l’amour humain ».

     

    Joyeux noël 2012, sainte et heureuse année du Seigneur 2013 !

     

     

     Renseignements: 04.344.10.89 ou sursumcorda@skynet.be 

  • Rentrée en fanfare pour les dix ans de l’Académie de Chant Grégorien à Liège

     

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    Affluence record pour les cours de l’Académie de Chant grégorien qui rouvrait ses portes le samedi 10 novembre 2012 à l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy à Liège : 42 élèves (19 nouveaux) inscrits contre 23 l’an dernier.

    Au programme de ce cycle 2012-2013 : « plain-chant et déchant sur les chemins de Compostelle et autres lieux de pèlerinage au temps des cathédrales (XIIe-XVe siècles) ». Douze cours d’initiation pratique au chant médiéval (dir. Stéphan Junker, professeur au conservatoire de Verviers), deux samedis après-midi par mois de novembre 2012 à mai 2013.

    Trois événements ponctueront ce dixième cycle d’apprentissage ouvert à tous (des cours spécifiques sont aussi organisés pour les juniors de 8 à 16 ans) :

    marcel-peres.jpg-le samedi 9 février 2013 à Liège (abbaye des bénédictines) : une conférence et une mini-session de chant avec Marcel Pérès fondateur de l’Ensemble Organum (à l’Abbaye de Sénanque en 1982) : Marcel Pérès dirige depuis 1984 le CERIMM (le centre de recherche pour l'interprétation des musiques médiévales, installé auprès de la Fondation Royaumont, puis depuis 2001 le CIRMA (Centre itinérant de recherche sur les musiques anciennes), à l'Abbaye de Moissac.

    imagesCAJYFV22.jpg-le samedi 11 mai 2013 à Liège, une messe festive (église du Saint-Sacrement) et un grand concert (église des Bénédictines) au cours desquels l’excellent ensemble  « Psallentes ♀ »  (direction : Hendrik Vanden Abeele, professeur aux conservatoires de Leuven, Rotterdam et La Haye) alternera avec les élèves et l'organiste Patrick Wilwerth (professeur au conservatoire de Verviers).

    -le dimanche 29 septembre 2013,à Saint-Séverin en Condroz (église romane dyn007_original_173_317_pjpeg_3828_5a51a350f34d704e1ddc961865b36ea5.jpgdu XIIe siècle) : journée grégorienne (messe et concert) animée par les élèves, avec le concours du quatuor vocal parisien « Caliomène » placé sous la direction de Ximena Gonzales (chœur grégorien de Paris). 

    Les élèves désireux de s’inscrire au cycle de cours préparatoires à ces événements peuvent s’adresser à Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42/7 4020 Liège. Les candidatures seront prises en considération jusqu’au 30 novembre 2012 au plus tard.

    Téléphone  04.344.10.89 ( en cas d’absence :GSM 0498.33.46.94 de Ghislain Lahaye).  Courriel : jpschyns@skynet.be  

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     Informations générales :

    http://www.gregorien.be et  http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com 

  • Manifestation de rentrée à l’église du Saint-Sacrement à Liège

     

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    armoiries du prince-évêque Charles-Nicolas d'Oultremont (façade de l'église, XVIIIe s.) 

    CONFERENCE ET MESSE

    LE SAMEDI 6 OCTOBRE 2012 à 17 HEURES

    La traditionnelle rentrée d’automne organisée à l’église du Saint-Sacrement a réuni cent cinquante fidèles le samedi 6 octobre, sous le signe de l’ouverture de l’année de la foi.

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    Devant un public nombreux, Mgr Emmanuel Cabello, vicaire régional de la Prélature de l’Opus Dei en Belgique, a d’abord fait un exposé de circonstance intitulé « L’Église en questions ». La foi est en effet plus qu’un sentiment. C’est d’abord un don pour le cœur et l’esprit, un don reçu de l’Eglise qui, pour reprendre la célèbre expression de Bossuet, n’est autre que « Jésus-Christ répandu et communiqué ». Avant d’appuyer sur elle notre acte de foi, il est normal de nous interroger sur sa fiabilité.

    La communication du prélat a été suivie de la messe de rentrée que celui-ci a célébrée avec les abbés Claude Germeau et André Arimont. La célébration a aussi bénéficié du concours de l’équipe des acolytes, chantres et organiste de l’église du Saint-Sacrement. Le plain-chant (académie de chant grégorien) alternait avec les belles  polyphonies (chorale Sainte-Julienne de Verviers) de la messe « O quam gloriosum » de Victoria (XVIe s.) et des extraits du « Messie » de Haendel ( XVIIIe s.) . Une mention toute spéciale revient aux jeunes choristes verviétois, dirigés de main de maître par Mme Margaret Todd-Scott, elle-même excellente concertiste de renom.

     

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    On lira ci-dessous le texte de la conférence prononcée par Mgr Cabello. Outre sa qualité de vicaire régional de l’Opus Dei, le prélat est docteur en théologie et en sciences de l’éducation:

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    Un collaborateur de Jean Paul II racontait récemment dans une réunion le souvenir suivant : un important moyen de communication social s’adressa un jour à la salle de presse du Saint Siège pour demander une interview avec le pape. On ajoutait déjà l’éventuel questionnaire à le soumettre. Parmi les questions, il y en avait une de la teneur suivante : « Saint Père, nous voudrions que vous nous donniez une définition de l’Eglise en deux lignes ».

    Le narrateur de l’anecdote nous dît qu’il avait conseillé au pape de ne pas accepter cette constriction. Car une réponse si succincte ne pourrait jamais donner une explication satisfaisante de la complexe nature humaine et divine de l’Eglise ; et le pape ne pouvait pas prêter le flanc aux critiques en laissant dans l’ombre des caractéristiques essentielles de l’Eglise.

    Contrairement à ses habitudes, Jean Paul II n’accepta pas ce conseil. Au contraire, il dit : « on peut répondre à cette question même avec un seul mot : « salvezza », salut. L’Eglise est salut.

    Cette simple anecdote montre déjà la gravité que comporte le rejet de l’Eglise que nous voyons en de nombreux catholiques de notre temps. Une personne baptisée qui se détourne de l’Eglise rejette le salut. Ou, dans le meilleur des cas, elle s’expose sérieusement à ne pas l’atteindre. C’est surtout à cause de cette gravissime conséquence qu’il convient d’avoir bien clairs à l’esprit les fortes raisons qui nous lient à l’Eglise.  De cette façon, nous ne perdrons jamais notre confiance et notre amour en elle, malgré tous les défauts et les erreurs passées, présentes et futures des hommes et de femmes qui la composent, aussi de ceux qui sont constitués en autorité. Plus encore, nous pourrons, avec notre comportement et avec nos paroles, répandre autour de nous, dans nos familles, dans nos milieux professionnels et sociaux la confiance en celle que nous appelons avec le nom affectueux de notre sainte Mère l’Eglise.

    A mon avis, pour être en conditions de résister et même de contrer la forte vague mondiale qui veut couvrir d’opprobre l’Eglise et la discréditer nous devons chercher le solide et inébranlable fondement de l’Eglise. Et ce fondement est Jésus de Nazareth.

    L’Eglise a été fondée par le Christ

    Mais, avant de continuer, nous devons nous demander : à quel Jésus de Nazareth faisons nous référence ? A l’homme qui a marqué l’histoire au même titre, ou plus encore, que Socrate, que Confucius, que Bouddha, ou, plus récemment Gandhi ? A ce grand personnage qui nous a transmis les plus formidable message d’amour et de fraternité que le monde a jamais connu ?

    Non. Pour les chrétiens, Jésus de Nazareth n’est pas simplement un grand maître de spiritualité ou de morale, non plus le porteur d’un message de la plus haute importance pour l’homme, un prophète de Dieu. Jésus est tout cela et beaucoup plus. Il est le seul homme qui a vaincu la mort, il est le Rédempteur, le Sauver de l’humanité, le Fils de Dieu, Dieu Lui-même.

    Et c’est ce Jésus qui est à l’origine de l’Eglise, comme on aime dire aujourd’hui. Ou avec une expression plus traditionnelle, et peut-être aussi plus claire, il est celui qui a fondé l’Eglise. Voilà le premier point ferme qu’il faut tenir si nous voulons garder toujours confiance dans l’Eglise : elle a été voulue, fondée par Dieu. Comme certains exégètes et théologiens ont osé mettre en doute ce rapport fondateur de Jésus  à l’égard de l’Eglise, il peut être utile de faire un rapide parcours des données que nous offre à ce propos  le Nouveau Testament.

    1) Jésus s’est entouré de nombreux disciples et a donné une hiérarchie stable à ce groupe, en nommant les douze Apôtres comme chefs de cette communauté, avec Pierre à sa tête. Le fait que les Apôtres soient douze, comme les tribus d’Israël qui étaient également au nombre de douze, signifie que Jésus a voulu fonder un nouveau peuple. 2) Les Apôtres, qui étaient les mieux placés pour savoir ce que Jésus voulait, ont compris qu’ils devaient se donner des successeurs, ce qu’ils ont fait, comme le relatent les Actes des Apôtres et plusieurs épîtres de saint Paul. Cette succession apostolique est donc une dimension constitutive de l’Eglise. 3) Après sa résurrection, avant de quitter les Apôtres, Jésus leur a confié la mission de faire des disciples de toutes les nations; et auparavant il leur avait demandé de célébrer l’Eucharistie en mémoire de Lui, « jusqu’à ce qu’il vienne » (1 Co 11, 26), c’est-à-dire jusqu’à la fin des temps. 4) Il leur a promis, aussi jusqu’à la fin du monde, l’assistance du Saint-Esprit, qui s’est répandu sur l’Eglise dix jours après le départ de Jésus au Ciel, le jour de la Pentecôte. 

    Où se trouve maintenant cette Eglise fondée par le Christ ?

    Aujourd’hui, nous constatons l’existence de plusieurs communautés qui revendiquent d’être l’Eglise fondée par le Christ. Est-ce que toutes peuvent aspirer à ce titre ? Sinon, laquelle est la vraie Eglise ? Le Credo confesse qu’il n’y a qu’une Eglise. Une seulement peut aspirer à être l’Eglise que Jésus a fondée. Parmi les caractéristiques (ou « notes », comme on dit en théologie) qui permettent de la reconnaître, la plus visible est celle de l’apostolicité : comme Jésus a laissé l’Eglise entre les mains des Apôtres, la véritable Eglise est celle qui garde avec fidélité l’enseignement des Apôtres et qui est gouvernée par leurs successeurs, à savoir le collège des évêques, présidé par le successeur de Pierre, c’est-à-dire le pape. Ce principe est formulé dans l’adage classique : Ubi Petrus ibi Ecclesia (Où est Pierre se trouve l’Eglise).

    Les églises et communautés qui, au cours de l’histoire, se sont séparées de l’Eglise catholique conservent de nombreux éléments utiles au salut (le concile Vatican II parle d’« éléments de sanctification et de vérité ») : la Sainte Ecriture, plusieurs sacrements, et aussi des trésors de liturgie et de piété. Cependant, la plénitude de la vérité et des moyens de salut se trouve dans l’unique Eglise fondée par le Christ. Comme le dit Vatican II, celle-ci « subsiste » dans l’Eglise catholique, ce qui signifie trois choses : 1) l’Eglise du Christ est vivante aujourd’hui ; 2) on la trouve dans la structure visible de l’Eglise catholique, c’est-à-dire l’Eglise gouvernée par les successeurs des Apôtres, avec Pierre comme tête visible ; 3) la présence et l’action de l’Eglise catholique s’étend au-delà de sa dimension visible.

    Pourquoi cette insistance sur la primauté de Pierre ?

    Cette insistance sur la primauté de Pierre est aujourd’hui particulièrement nécessaire, et en outre elle est bien documentée. En faisant, encore une fois, un parcours des pages du Nouveau Testament, nous voyons que Jésus a confié à Pierre les clefs de l’Eglise (cf. Mt 16, 16-19) ; Il lui a demandé de confirmer ses frères dans la foi (cf. Lc 22, 31) ; Il l’a nommé pasteur de l’Eglise (cf. Jn 21, 15). Les Évangiles le citent toujours en tête de la liste des Apôtres (cf. Mt 10, 2 ; Mc 3, 16 ; Lc 6, 13). Et la première communauté chrétienne l’a accepté comme chef, comme les 12 premiers chapitres du livre des Actes des Apôtres le montrent abondamment. 

    Il n’est donc pas étonnant que les successeurs de Pierre, durant les premiers siècles, (comme il apparaît explicitement chez Clément, Victor, Etienne, par exemple) aient revendiqué la primauté ; et que d’autres évêques de la même époque (Ignace, Irénée, Denys) l’aient à leur tour reconnue. Mais, comme beaucoup d’autres doctrines de l’Eglise, la primauté du pape ne se clarifiera définitivement qu’au fil des siècles, à la faveur, notamment, des attaques qu’elle subira.

    Je voudrais maintenant préciser que le pouvoir du pape est bien loin d’être illimité. Il s’inscrit dans le cadre de la foi catholique et de la structure fondamentale de l’Eglise, réalités que le pape ne peut pas modifier. Plus fondamentalement, il est circonscrit par la finalité propre à la mission que le Christ a confiée à Pierre et à ses successeurs : l’unité de l’épiscopat et, par là, celle de l’Eglise.

    Et permettez-moi deux mots aussi pour essayer de bien cerner sa prérogative d’infaillibilité. Il la possède en effet, mais en tant que participation de celle que Dieu a accordée à l’Eglise dans son ensemble pour ne pas faillir dans la foi ; en outre, elle n’est pas considérée comme sa propriété, mais comme reçue du Saint Esprit ; et finalement, son champ d’application est limité, comme on vient de le voir en parlant des limites du pouvoir du pape.

    L’Eglise ne serait-elle pas mieux acceptée si elle adoptait une structure démocratique ?

    Il n’est pas rare d’entendre critiquer l’Eglise sous prétexte qu’elle n’est pas une démocratie. Sans entrer dans des technicismes,  qui ne sont pas de ma compétence, on peut dire que par démocratie on entend une forme d’organisation politique où le peuple est souverain. Mais l’Eglise est une communauté ordonnée au salut éternel de ses membres. Et ni l’individu ni la communauté n’ont accès par eux-mêmes à ce salut, qui est un don que Dieu nous transmet à travers les sacrements et la Parole divine. C’est-à-dire que ce salut vient d’en haut, de Dieu, pas de la base. Et Dieu, le Christ, a voulu diriger l’événement salvifique à travers ses ministres sacrés, les évêques et les prêtres.

    En d’autres mots, et ce que je veux dire maintenant est très important : l’Eglise n’est pas la communauté issue de l’initiative de ceux qui s’inspirent de Jésus de Nazareth, mais plutôt la communauté convoquée -le mot « Eglise » signifie « convocation »-  par Jésus de Nazareth lorsqu’il appelle les hommes à le suivre. Les fidèles de l’Eglise adhérent donc à un projet dont les lignes essentielles viennent de Jésus. Ni le contenu de la foi ni la structure essentielle de l’Eglise ne sont établis par un vote démocratique des fidèles.

    Pendant son histoire, l’Eglise a modifié — et continuera de modifier — beaucoup de choses dans la façon de s’organiser, de nommer ses évêques, d’élire le pape, etc. Elle doit néanmoins rester fidèle à la volonté du Christ et donc maintenir la structure fondamentale qu’il a voulue : 1) le principe essentiel d’égalité de tous les membres de l’Eglise : tous ceux qui ont reçu le Baptême possèdent la même condition de fils de Dieu et le même devoir de coopérer à l’édification de l’Eglise, chacun conformément à sa situation ; 2) le principe de la diversité fonctionnelle, fondé sur l’existence d’un autre sacrement, celui de l’Ordre, qui constitue certains fidèles en ministres sacrés.

    L’Eglise est humaine et divine

    Nous avons été tous témoins quelque fois du scandale de certaines personnes quand elles nous entendent dire que l’Eglise est sainte, comme nous le confessons dans le Credo. Et elles nous jettent à la figure toutes les erreurs que –d’après elles- l’Eglise aurait commises dans les siècles, de l’Inquisition médiévale au récent et très triste scandale de la pédophilie. Mais, d’un côté, il ne faut pas oublier tout le bien que l’Eglise, depuis son origine, réalise non seulement pour le salut des âmes mais aussi dans le domaine de la solidarité, de l’éducation, de la culture, etc. Ensuite, on peut rappeler que l’Eglise est à la fois humaine et divine. Elle est un mystère qui ne peut pas se comprendre en la séparant de sa partie divine, du Christ. Nous les hommes, avec nos erreurs et nos péchés, en constituons la partie humaine, visible, mais qui, malgré ses limites, transmet la lumière et la voix du Christ, de Dieu, sur la terre. A l’image de la lune qui, malgré le fait de n’être composée que de pierres et de poussière, nous transmet la lumière du soleil.

    Finalement, l’Eglise n’a jamais prétendu être la communauté des purs. Elle a même condamné ceux qui le prétendaient, comme les gnostiques et les cathares. Le mal est présent parmi ses membres dès l’origine : rappelons-nous le tragique événement d’Ananie et Saphire (cf. Ac 5, 1-11), la conduite immorale de certains fidèles de Corinthe (1 Co 5 et 6), etc. C’est pour cela que le Christ a institué le sacrement de la pénitence. C’est aussi pour ce motif que les communautés chrétiennes, quand elles se réunissent pour célébrer l’Eucharistie, commencent toujours en reconnaissant leurs fautes dans un acte de contrition.

    Un journaliste demanda un jour à Mère Teresa de Calcutta quelle était, à son avis, la réforme la plus urgente à entreprendre dans l’Eglise. « Vous et moi », fut sa réponse immédiate. C’est précisément ce que l’Eglise fait : inviter et aider chaque chrétien à se convertir. Mais il est vrai aussi que l’Eglise elle-même, en tant qu’institution humaine, dans sa structure et dans sa vie, a toujours besoin de réformes. Elle les a réalisées constamment par le passé et continuera de le faire, guidée par l’Esprit Saint (pensons par exemple aux grands conciles, comme celui de Trente et Vatican II). Mais avant de parler d’éventuelles erreurs ou de possibles réformes, il est juste de remercier le Seigneur pour la chance que nous avons de pouvoir connaître, grâce à l’Eglise, la vérité sur Dieu et sur notre destinée. Pensons à la grande espérance qui naît en nous du fait de nous savoir destinataires, pour toute l’éternité, des biens du monde à venir. Ces biens, Jésus nous les a obtenus par sa Croix, et l’Eglise, par sa prédication et ses sacrements, les rend présents et nous les communique dans l’aujourd’hui de notre vie. Il y a des personnes qui disent oui au Christ et non à l’Eglise. Mais le « oui » au Christ est inséparable du « oui » à l’Eglise, voulue et fondée par le Christ lui même.

    D’autres personnes émettent le soupçon d’une infidélité de l’Eglise à Jésus, en affirmant qu’elle a inventé des doctrines, des dogmes dont son fondateur n’avait jamais parlé. Ils oublient que Jésus avait prévu que son enseignement devrait être développé. A ce propos, S. Jean nous a transmis ces paroles du Christ : « J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez les porter actuellement. Quand viendra le Consolateur, l’Esprit de vérité, il vous guidera vers la vérité toute entière » (Jn 16, 12-13). Newman a bien montré que, comme toute doctrine, le christianisme doit se développer avec le temps, parce qu’il entre en contact avec d’autres peuples et cultures qui lui posent des questions nouvelles ; parce qu’il est aussi objet de réflexion de la part des nouvelles générations ; parce qu’il doit répondre aux objections soulevées par le développement des sciences ; parce qu’il doit réfuter des erreurs, qui surgissent au fil de l’histoire, etc.

    Ces développements exposaient nécessairement la foi chrétienne au risque d’erreurs et de déformations. Mais Dieu, dans sa sagesse n’aurait-il pas prévu ce danger ? Jésus aurait-il pu laisser son Eglise, pour laquelle Il a payé le prix de son sang, se corrompre et les hommes tomber dans l’anarchie religieuse ? Pour éviter ces dangers, le Christ a institué une autorité qui montre le chemin et tranche les conflits : le Magistère de l’Eglise (assisté par le Saint-Esprit), qui formule la foi, notamment par les dogmes. Il accomplit ainsi sa promesse d’assister son Eglise jusqu’à la fin des temps (cf. Mt 28, 20).

    L’Eglise devrait s’adapter à la société actuelle, sous peine de disparaître

    La synthèse des objections qu’on entend à propos de l’Eglise c’est qu’elle devrait s’adapter à la société actuelle, sous peine de disparaître. Il a été récemment affirmé, qu’elle a 200 ans de retard sur l’histoire, avec sa morale rétrograde qui empêche l’épanouissement humain.

    Cela trahi un complexe d’infériorité. C’est le monde qui doit s’adapter à l’Eglise et pas le contraire! C’est nous, les chrétiens, qui devons convertir le monde et pas nous mondaniser. Pour ce qui est de l’épanouissement humain, déjà les anciens Romains s’adressaient aux chrétiens en les encourageant à renoncer à leur foi et à revenir au culte des ancêtres, qui — aux dires des Romains — était plus joyeux et plus festif. Par contre, vous les chrétiens — disaient-ils — vous suivez un crucifié !

    Il est, en effet, difficile de comprendre comment une Eglise dont le fondateur meurt condamné au supplice de la croix par les chefs religieux de son propre peuple, qui prône une vie de renoncement et qui est composée, depuis saint Pierre jusqu’à nos jours, par des hommes faibles et pécheurs, peut survivre, et continuer à s’étendre et à susciter de son vieux tronc des pousses toujours nouvelles.

    On raconte que, quand Napoléon menaçait un jour le Cardinal Consalvi d’anéantir l’Eglise, ce dernier lui répondit avec ces quelques mots, qui sont plus qu’une simple boutade : « Vous ne pourrez  la détruire : nous-mêmes n’y avons jamais réussi. « Portae inferi non praevalebunt ». Le pouvoir du mal ne prévaudra jamais sur cette faible institution qui n’a pas de divisions blindées pour se défendre, mais qui a déjà survécu au puissant empire de l’auteur de cette dernière remarque ironique et à tant d’autres qui ont essayé de la détruire au long de l’histoire.

    Merci pour votre écoute et pour votre patience.

    Voir aussi sur ce sujet:  Questions sur l'Eglise

  • Liège: conférence et messe de rentrée 2012-2013 avec Mgr Emmanuel Cabello

    À initiative de

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    SAMEDI 6 OCTOBRE 2012

    À L’ÉGLISE DU SAINT-SACREMENT

    Boulevard d’Avroy, 132, à Liège

    (face à la statue équestre de Charlemagne) 

    pour l’ouverture de l’année de la foi 2012-2013 

    À 17 HEURES

    L’ÉGLISE EN QUESTIONS 

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    conférence de rentrée

    par

    Monseigneur Emmanuel CABELLO

    Docteur en théologie et en sciences de l’éducation

    Vicaire régional de la Prélature de l’Opus Dei en Belgique  

    suivie d’un débat

    Comment peut-on encore croire en l’Eglise catholique aujourd’hui ? Mgr Emmanuel Cabello abordera toute une série de critiques très actuelles sur l’identité de l’Eglise et le bien-fondé de la foi en cette institution.Voici les questions et objections les plus courantes, qui seront examinées par l’orateur :

    1. Jésus a-t-il voulu fonder l’Eglise ?

    2. Plusieurs communautés revendiquent d’être l’Eglise fondée par le Christ. Peuvent-elles toutes aspirer à ce titre ? Sinon, laquelle est la vraie Eglise ?

    3. Si l’Eglise fondée par le Christ est l’Eglise catholique, les autres communautés qui se réfèrent au Christ ne sont-elles que de fausses églises ?

    4. Pourquoi l’insistance sur la primauté de Pierre ? Est-elle bien documentée ?

    5. Pour les chrétiens n’y a-t-il pas de possibilité de salut en dehors de l’Unique Eglise du Christ ?

    6.D’après l’Eglise catholique, les non-chrétiens peuvent-ils être sauvés ?

    7. Il semble que l’Eglise Catholique ne soit pas non plus restée fidèle à Jésus. Par exemple, n’a-t-elle pas inventé des doctrines, des dogmes, dont Jésus n’avait jamais parlé ?

    8. Qui garantit que ces développements n’ont pas déformé le christianisme ?

    9. L’Eglise, qui a commis de nombreuses erreurs au cours de l’histoire, n’est elle pas prétentieuse lorsqu’elle s’autoproclame « sainte » ?

    10. Peut-on nier que la partie humaine de l’Eglise soit responsable de nombreuses erreurs ? 

    11. Si on ne voit pas les chrétiens se convertir, comment ne pas comprendre le slogan classique : « oui au Christ, non à l’Eglise » ?

    12. Il faut tout de même avouer que le pouvoir absolu du pape dans l’Eglise et sa prétention à l’infaillibilité passent mal aujourd’hui.

    13. L’Eglise ne serait-elle pas mieux acceptée si elle adoptait une structure démocratique ?

    14. Pourquoi exclure une démocratie dans l’Eglise ?

    15. S’il doit en être ainsi, alors l’Eglise n’ est elle pas composée de deux classes : la supérieure (évêques et prêtres) et la subordonnée (les laïcs) ?

    16. L’Eglise semble vivre au Moyen Age, avec sa morale rétrograde qui empêche l’épanouissement humain. Ne doit-elle pas s’adapter à la société actuelle, sous peine de disparaître?

    À 18 HEURES

    MESSE DU SAINT-ESPRIT  

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    célébrée par Monseigneur Emmanuel Cabello 

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    avec le concours de la

    Chorale Sainte Julienne de Verviers

    Direction : Margaret Todd-Scott 

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    Messe à quatre voix mixtes « O quam gloriosum » de Tomás-Luis de Victoria (1548-1611), motet « Cantate Domino » de Giuseppe Ottavio Pitoni (1657-1743) et deux chœurs extraits du « Messie » de Georg-Friedrich Händel (1685-1759). 

    À l’orgue: Patrick Wilwerth,

     professeur au conservatoire de Verviers 

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    Les chants du propre de la messe seront assurés par la

    schola de l’académie de chant grégorien

     

    Réception après la messe. Entrée Libre. Renseignements : tél. 04.344.10.89 ou sursumcorda@skynet.be 

  • Fête de l'Assomption à l'église du Saint-Sacrement

    EGLISE DU SAINT-SACREMENT
    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège

     

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    MERCREDI 15 AOÛT 2012 A 10 HEURES

    MESSE DE LA

    FÊTE DE L’ASSOMPTION DE LA SAINTE VIERGE

    Célébrée selon le missel de 1962

    Évangile du Magnificat (Luc, 1, 41-50)

      

    Propre grégorien de la messe « Signum Magnum »

    Kyriale IX « Cum Iubilo »

    Motets à Notre-Dame : œuvres de Pergolèse, Mozart  et Schubert

     

    par la Schola du Saint-Sacrement 

    solistes: Micheline Viellevoye (soprano) et Patricia Moulan (alto), 

    membres du chœur universitaire de Liège 

    A l’orgue, Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers

     

    Livrets à votre disposition sur la table au fond de l’église pour suivre la messe 

  • Un bel anniversaire le dimanche 8 juillet 2012 à 10h et 11h15

    Deux messes, deux formes du rite mais un même esprit

     pour le cinquantenaire de l’ordination des prêtres de l’église du Saint-Sacrement à Liège

     

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    Sans qu’il eût été besoin de faire un grand tapage informatif,  près de 130 fidèles de l’église du Saint-Sacrement à Liège se sont retrouvés (malgré les vacances), ce dimanche matin 8 juillet 2012 pour commémorer le cinquantième anniversaire de l’ordination sacerdotale de leurs deux célébrants, les abbés Jean Schoonbroodt (pour lui, c’était voici exactement 50 ans jour pour jour, sa messe dominicale de prémices à Eupen) et Claude Germeau. Beaucoup de piété simple et chaleureuse, de beaux témoignages musicaux (plain-chant, orgue et motets baroques) et une bonne humeur paisible perceptible à chacune des deux messes.

     

    On reconnaissait pas mal de personnes du quartier Avroy–Botanique et d'autres venues de Liège, Herstal, Blégny, Verviers, Chaudfontaine…), sans oublier la communauté liégeoise des amis africains, si fidèles à l’adoration eucharistique du mardi.

     

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    A l‘issue du sermon de chaque messe,  c’est au milieu des applaudissements nourris de toute la communauté que furent remises aux célébrants (10h, Jean Schoonbroodt et 11h15, Claude Germeau) deux icônes souvenirs réalisées par Dimitri Malcev, le nouveau professeur de l’atelier Saint-Séraphin de Sarov (fondé à Liège en 1989 par Annette Gottschalk). L’une (pour Jean Schoonbroodt) représente la Mère de Dieu et l’autre (pour Claude Germeau) la Sainte Face du Sauveur. 

     

    Les congratulations se sont renouvelées à l’issue de chacun des offices. Sans compter les courriels  amicaux. Ad multos annos !

  • Anniversaire

    EGLISE DU SAINT-SACREMENT

    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège 

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    DIMANCHE 8 JUILLET 2012

     

    Messes anniversaires de l’ordination des abbés

    Jean Schoonbroodt et Claude Germeau

     

    messe-017.jpgDimanche prochain, 8 juillet 2012, est justement le jour du 50eme anniversaire de l’ordination sacerdotale du chapelain de l’église du Saint-Sacrement, l’abbé Jean Schoonbroodt, …et le 51eme de celle de son confrère, l’abbé Claude Germeau  La communauté des fidèles a tenu à associer ces deux prêtres fidèles et dévoués dans l’hommage qui leur sera rendu.

    Un petit cadeau commémoratif sera remis à chacun, lors de leurs messes respectives (à 10h, Jean Schoonbroodt et à 11h15, Claude Germeau).

    La présence de tous ceux qui pensent pouvoir assister à l’une ou l’autre de ces messes, leur fera sûrement plaisir :

     

     

    10h, messe chantée selon le missel de 1962

    Kyriale XI et Propre grégorien du VIe dimanche après la Pentecôte. Cantate (extrait) « Mein Jesu, ziehe mich noch dir » (Jean-Sébastien Bach, 1685-1750). À l’orgue, œuvres de Johann Pachelbel (1653-1706)

     11h15, messe chantée selon le missel de 1970

     Kyriale XI grégorien et Motet « Exaltabo Te » d’André Campra (1660-1744) 

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    Avec le concours de la schola grégorienne,

    de Patricia Moulan (alto solo)

    et des organistes Patrick Wilwerth (10h) et Mutien-Omer Houziaux (11h15) 

     

    Livrets à votre disposition sur la table au fond de l’église pour suivre la messe