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Offices religieux - Page 32

  • Messe du 1er janvier 2012

    EGLISE DU SAINT-SACREMENT
    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège

     

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    (église du St-Sacrement: plafond du choeur)

     Premier dimanche du mois 

    Dimanche 1er janvier 2012 à 10 heures

    MESSE DU JOUR DE L’AN 

    octave de noël  (missel de 1962)

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    (Georges de la Tour, Moselle, XVIIe s.)   

    Propre grégorien de la messe « Dum medium » du dimanche dans l’octave de Noël, Kyriale  IV « Cunctipotens genitor Deus » (Xe siècle), Credo IV (XVe s.) Diaphonie « annus novus in gaudio » (Manuscrit du Puy, XIIe s)

    chantés par  la Schola du Saint-Sacrement, avec  Michèle Baron à l’orgue

     

    Evangile du Jour, selon saint Luc, 2, 33-40:

      33 En ce temps-là Joseph et Marie, mère de Jésus, écoutaient avec admiration ce qui se disait de l'Enfant

      34Siméon les bénit, et dit à Marie, sa mère: Voici, cet enfant est destiné à amener la chute et le relèvement de plusieurs en Israël, et à devenir un signe qui provoquera la contradiction, 

        35et à toi-même une épée te transpercera l'âme, afin que les pensées de beaucoup de coeurs soient dévoilées. 

        36Il y avait aussi une prophétesse, Anne, fille de Phanuel, de la tribu d'Aser. Elle était fort avancée en âge, et elle avait vécu sept ans avec son mari depuis sa virginité. 

        37Restée veuve, et âgée de quatre vingt-quatre ans, elle ne quittait pas le temple, et elle servait Dieu nuit et jour dans le jeûne et dans la prière. 

        38Étant survenue, elle aussi, à cette même heure, elle louait Dieu, et elle parlait de Jésus à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem. 

        39Lorsqu'ils eurent accompli tout ce qu'ordonnait la loi du Seigneur, Joseph et Marie retournèrent en Galilée, à Nazareth, leur ville. 

        40Or, l'enfant croissait et se fortifiait. Il était rempli de sagesse, et la grâce de Dieu était sur lui.

     

  • Vos messes de Noël 2011

    LITURGIES DE NOËL 2011 

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    A L'EGLISE DU SAINT-SACREMENT

    Boulevard d'Avroy 132 à Liège  

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    DIMANCHE 25 DECEMBRE 

    10 h  

    MESSE DU JOUR DE NOËL

    (missel de 1962)

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    procession à la crèche (st-sacrement)

    messe célébrée par l’abbé Jean Schoonbroodt 

    avec le concours de la Schola du Saint-Sacrement et de Patrick Wilwerth (orgue) 

     

    Propre grégorien de la messe « in die nativitatis »

    Kyriale IV « cunctipotens genitor Deus » (Xe s.) et Credo IV (XVe s.)

    Noëls traditionnels : « Puer nobis nascitur », « Adeste fideles » 

     

    11h 15 

    MESSE DU JOUR DE NOËL 

    (missel de 1970) 

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    messe célébrée par l’abbé Claude Germeau 

    avec le concours de la Schola du Saint-Sacrement et de Mutien-Omer Houziaux (orgue) 

     

    Chants grégoriens 

    Introït, Alleluia et Communion de la messe « in die Nativitatis »,

     Kyriale de la « messe des anges » 

    Noëls traditionnels 

    « Puer nobis nascitur », « Adeste fideles »

     

    MARDI 27 DECEMBRE 

    17h 

    Vêpres grégoriennes de Noël, suivies de l’adoration du Saint-Sacrement jusqu’à 19 h (chapelet à 18h) 

     

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    angelot du tabernacle (st-sacrement)

    Célébrants : abbés Jean Schoonbroodt et Claude Germeau

      

    A L'EGLISE SAINT LAMBERT

    Rue du Collège, 80 à Verviers 

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    SAMEDI 24 DECEMBRE 

    23h30  

    VEILLEE DE NOËL 

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    avec le concours de la Capella Verviensis et du Choeur grégorien de Saint-Lambert, P. MOULAN, alto solo, A.SCHÄFER, flûte et L. AUSSEMS, orgue 

     

    Polyphonies 

    Veni, veni, Emmanuel (anonyme, XIVe s.)

    Verbum Patris Hodie (anonyme, XIIe s.)

    Stille Nacht ( F.X. Grüber, XIXe s.)

     

    Alto solo et orgue

     Extrait du "Messie" de Haendel (XVIIIe s.)

     

    Flûte et orgue

    Oeuvres de J.J. Quantz (XVIIIe s.), D. Zipoli (XVIIIe s.) et F.W. Zachau (XVIIIe s.)  

    Plain chant

    Hymne « A solis ortus cardine »  

     

    24h00 

    PROCESSION A LA CRÈCHE 

    suivie de la 

    MESSE DE MINUIT

    (missel de 1962)  

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    messe célébrée par le P. Jos Vanderbruggen, o.praem. 

    avec le concours de la Capella Verviensis et du Choeur grégorien de Saint-Lambert, P. MOULAN, alto solo, A.SCHÄFER, flûte et L. AUSSEMS, orgue 

     

    Plain-chant de la messe de la nuit de Noël 

    Propre « ad primam missam in nocte »

     Kyriale IX “Cum jubilo” (XIIe s.), Credo I (XIe s.) 

    Polyphonie et motets anciens

    Puer natus in Bethleem ( M.. Praetorius, XVIe s.)

    Verbum Patris Hodie ( N. Lebègue, XVIIe s.)

    Angelorum Gloriae (anonyme, XIVe s.)

    Adeste fideles 

    Flûte et Orgue

    Œuvres de J. Pachelbel (XVIIIe s), L.- C. Daquin (XVIIIe s.)

    J.-F. Dandrieu (XVIIIe s.), F. Benda (XVIIIe s.)

     

    DIMANCHE 25 DECEMBRE

    11 h 

    MESSE DU JOUR DE NOËL 

    (missel de 1962)

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    messe célébrée selon le missel de 1962, par le P. Jos Vanderbruggen, o.praem.

    avec le concours de la Schola de Saint-Lambert, Patricia Moulan (alto solo), Albert Schäfer (flûte) et Léonard Aussems (orgue) 

     

    Propre grégorien de la messe « in die nativitatis »

    Kyriale IX « Cum jubilo » (XIIe s.), Credo I (XIe s.)

    Motets classiques et traditionnels

    Flûte et orgue 

     

    Pour vous rendre à l’église Saint-Lambert (train ou voiture).

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    Itinéraire : Prendre l’autoroute E 42 (A l’échangeur de Battice prendre la direction Verviers-Spa). Sortie n° 5 (Ensival).  Suivre ensuite les indications sur le plan (Rue d’Ensival, passer à gauche de la gare, au rond point descendre sur la gauche la rue Xhavée, place verte, dans le prolongement monter la rue Crapaurue, première à gauche et descendre la rue Ortmans.  Après un petit rond point, parking possible devant l’Institut Don Bosco (juste en face de vous dans la rue du Gymnase).  La chapelle Saint Lambert se trouve rue du Collège, 80 (à gauche après le rond point) presque en face de l’ancienne poste de Verviers

    Renseignements: tél. 04.344.10.89

  • Fêter saint Hubert à Liège

    A L'EGLISE DU SAINT-SACREMENT
    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège

     

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    (face à la statue de Charlemagne)

     

     

    DIMANCHE 6 NOVEMBRE 2011 À 10 HEURES

    Solennité de la Fête de

     saint Hubert 

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    MESSE DU PREMIER DIMANCHE DU MOIS

    Grégorien et Orgue

     

    Missel de 1962 

    Propre grégorien de la messe des confesseurs pontifes «Statuit »

    Kyriale IV « Cunctipotens genitor Deus» (Xe s.), Credo IV (XVe siècle)

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    Airs de chasse interprétés à l’orgue 

     

    PAR LA SCHOLA DU SAINT-SACREMENT 

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    AUX ORGUES, MUTIEN-OMER HOUZIAUX

    Titulaire ém. de l’orgue de la Cathédrale de Liège

     

    Livrets à votre disposition sur la table au fond de l’église pour suivre la messe

     

    Saint Hubert (656-727) est le successeur de saint Lambert sur le siège épiscopal de notre diocèse alors fixé à Maastricht. C’est lui qui transféra les reliques de saint Lambert de Maastricht à Liège où le défunt avait été assassiné. Saint Hubert y établit une institution religieuse (base de la cathédrale Notre-Dame-et-Saint-Lambert de Liège), pour favoriser le culte. de l’évêque martyr Ce fait contribua probablement  au développement du lieu qui devint, dans le courant du VIIIe siècle, le nouveau siège du diocèse.

    Hubert était issu de la haute aristocratie franque. Passionné de chasse, le jeune seigneur aurait, selon une pieuse hagiographie, renoncé aux plaisirs du monde un Vendredi-Saint alors qu’il poursuivait un cervidé qui lui apparut soudain d’une blancheur éclatante  et portant une croix lumineuse au milieu de ses bois. Après la mort d'Hubert à Tervueren en 727, la dépouille mortelle de celui-ci fut d'abord transférée à Liège dans la collégiale Saint-Pierre, en 743, puis dans les Ardennes à Andage, qui prit alors le nom de Saint-Hubert et le conserva jusqu'à nos jours. 

     
  • Fêter Marie: 15 août 2011

    ASSUMPTA EST MARIA IN CAELUM, GAUDET EXERCITUS ANGELORUM 

    Marie a été élevée au Ciel: l’assemblée des anges se réjouit  

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          Messes à l’église du Saint-Sacrement (Bd d'Avroy, 132, à Liège)

    ce week-end du 15 août 2011 

    Dimanche 14 août 2011 (précepte dominical)

     10 heures (missel de 1962) : propre du IXe dimanche après la Pentecôte (grégorien et orgue)

    11 heures 15 (missel de 1970) : propre du 20e dimanche ordinaire (grégorien et orgue)

     Lundi 15 août 2011 (fête d'obligation)

     10 heures (missel de 1962) : propre de la fête de l’assomption (grégorien et orgue)

     11 heures 15 (missel de 1970) : propre de la fête de l’assomption (grégorien et orgue)

     la signification de la fête:

    cliquez  ici    Qu'est-ce que l'Assomption ?

     

  • En la fête de sainte Julienne de Cornillon

     

    ENCORE QUELQUES PHOTOS SOUVENIRS

    DE LA FÊTE-DIEU 2011  A LIEGE 

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    au quartier d'Avroy

    Ce dimanche 7 août 2011 à l'église du Saint-Sacrement (Bd d'Avroy, 132) , lors de la célébration de la messe latine à 10h ( 8e dimanche après la pentecôte) on fera aussi mémoire de la fête de sainte Julienne de Cornillon, l' initiatrice liégeoise de la Fête-Dieu (1246). Pour la circonstance la chorale chantera cette antienne de l'office primitif du Saint-Sacrement:, attribué à Jean de Cornillon:

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     "Ô bon Jésus, Jésus plein de bonté, notre vrai salut et notre sanctification, mets angélique onctueux et rassasiant, coulée de miel magnifique et céleste sacrifice, fais-nous parvenir jusqu'à Ta gloire, là où nous te verrons non plus dans une énigme comme ici-bas mais dans une vision manifeste, lorsque tu apparaitras entièrement à tous, ô Dieu béni pour les siècles"

     A l'église du Saint-Sacrement...

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    la sainte messe au grand autel...

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    le prêche de l'abbé Herman

     

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    de gauche à droite:

    l'abbé J.P. Herman, le P. Jos Vanderbruggen, l'abbé C.Germeau

    J. Braive, G. Lahaye, G. Soleil

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    la procession est de sortie... 

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    l'Harmonie royale Saint-Georges (Montzen) et la schola Sainte-Cécile (paroisse Saint-Eugène, Paris 9e) 

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    ....sur le Boulevard d'Avroy 

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    Rue Sainte Marie et Rue Louvrex...

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    Rue du Jardin Botanique  

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    Bénédiction finale au kiosque du Parc d'Avroy, sous la pluie...

     

     

     

     

     

  • Fête-Dieu 2011 à Liège: l'homélie de la solennité

       

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    SERMON POUR LA SOLENNITÉ DE LA FÊTE-DIEU

    prononcé en l’église du Saint-Sacrement à Liège le 25 juin 2011

     par

     Monsieur l’abbé Jean-Pierre HERMAN

    Chapelain aux sanctuaires de Beauraing

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    Mercredi dernier, lors de l’audience publique qu’il donnait place Saint-Pierre à Rome, le Saint-Père Benoît XVI a présenté l’eucharistie comme le trésor le plus important, le plus précieux que puisse receler l’humanité et dont, fit-il remarquer, beaucoup de contemporains ignorent la présence à l’intérieur même de ce monde.

     Impasse ou chemin d’éternité ? (*)

     Pourquoi qualifier l’eucharistie de « trésor précieux » pas seulement pour l’Église mais aussi et surtout pour l’humanité toute entière ? Ceci nous renvoie à la conception de la vie : ou bien  nous considérons celle-ci comme une espèce d’élément matériel, créé à un moment donné, puis qui s’étiole et disparaît, un ensemble de jours, de mois, de semaines, d’années à aménager le mieux possible jusqu’à l’adieu définitif, la fin inexorable avant le départ pour le néant ; ou bien alors nous regardons la sainte Écriture, nous y découvrons pourquoi et pour qui l’être humain est fait : il est créé par un Dieu qui lui a donné la vie, un Dieu qui a insufflé en lui sa propre grâce, qui lui a donné aussi et surtout la faculté de penser et d’agir, en toute liberté, pour suivre le véritable chemin qui le rendra épanoui et heureux : le chemin de la vie en Dieu.

     C’est un chemin dont l’homme s’éloignera très souvent durant l’histoire du salut. Et c’est pourquoi Dieu, nous dit l’Évangile,  envoie son propre Fils, né d’une femme sujette de la Loi, pour racheter les sujets de la Loi. Dans l’accomplissement du mystère pascal –mort et résurrection- le Seigneur Jésus va donner sa vie et puis la reprendre, afin de nous assurer le chemin qui mène à Lui. En ayant vaincu la mort dans sa résurrection, le Christ a ouvert un chemin non pas seulement pour lui mais pour chacun d’entre nous, si nous le suivons et si, dans notre vie, nous accomplissons sa volonté. Or, ce chemin qu’il inaugure, ce chemin qu’il nous montre nous garantit un avenir. Il  garantit que notre vie, si nous le voulons, n’est pas un simple amas de jours, de semaines et de mois mais bien davantage : l’être humain, l’homme créé à l’image de Dieu a un avenir dans son Dieu et à ce titre il est appelé à vivre éternellement.

     Entre deux naissances : le viatique

     Lorsque je célèbre des baptêmes ou des funérailles, je dis généralement à ceux qui y assistent qu’il y a deux moments importants dans la vie du chrétien : le moment du baptême, le moment précis où nous devenons enfants de Dieu et le moment de la mort, le moment où ce Dieu qui nous a donné la vie, nous allons le rencontrons chez Lui. L’entre-deux est fait pour nous préparer à ce dernier moment.

     Copie de 100_9357.JPG Avant de quitter ses apôtres, avant d’aller vers l’accomplissement de sa pâque, de son « passage », Notre Seigneur a voulu laisser à ceux-ci le trésor le plus précieux qui soit afin de ne pas les laisser seuls. Il a offert son Corps et son Sang en nourriture, avec le commandement  donné à l’Église - à travers ses apôtres qui assistaient avec Lui au repas de la dernière Cène -  de perpétuer cette mémoire, ce mémorial de sa passion et de sa résurrection, jusqu’à ce qu’Il revienne.  C’est cela que nous commémorons chaque fois que nous célébrons la sainte messe et c’est cela que nous fêtons particulièrement lorsque nous célébrons la Fête-Dieu, la fête du Corps et du Sang de Notre-Seigneur Jésus-Christ.

     Le sens de la Fête-Dieu

     Bien sûr, on pourrait s’étendre sur l’histoire de cette fête, sur le glorieux passé liégeois qu’elle peut avoir, sur le fait que c’est à Liège qu’elle a été célébrée pour la première fois solennellement et que c’est un pape qui avait eu des fonctions à Liège qui l’a instaurée d’abord pour nos régions et qui a demandé à son successeur de l’étendre à toute l’Église. Mais nous ne sommes pas ici nécessairement pour faire de l’histoire, si intéressante soit-elle, nous sommes ici surtout pour comprendre le sens de ce que nous accomplissons aujourd’hui, le sens de l’apport de la célébration de cette messe remarquable et de la pérégrination que nous allons accomplit bientôt dans la cité humaine, pour que Notre Seigneur soit aussi adoré par ceux du dehors.

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     Lorsque nous célébrons la Fête-Dieu, nous en redisons les textes admirables composés par saint Thomas d’Aquin et nous pourrions nous étaler en commentaires sur chacun d’eux parce qu’ aucun office n’a jamais été mieux réfléchi, mieux préparé, mieux composé. Pourtant, dans l’office de cette fête, il y a un élément particulier, caractéristique de ce que nous faisons lorsque nous célébrons la Fête-Dieu. C’est l’antienne du Magnificat des deuxièmes vêpres : « O sacrum convivium, in quo Christus sumitur : recolitur memoria passionis eius, mens impletur gratia et futurae gloriae nobis pignus datur » O banquet sacré où le Christ est reçu en nourriture : on y fait mémoire de sa passion, l’esprit est rempli de grâce et déjà nous sont données les prémices de la gloire future. Doit-on expliquer cela ? Ce sont des paroles qui, d’elles-mêmes, nous touchent au cœur, ce sont des paroles qui sont là, simplement, pour nous faire comprendre immédiatement ce que nous accomplissons : un  banquet sacré, qui nous a été donné par le Seigneur Lui-même, le soir de la dernière Cène, banquet sacré où il est reçu en nourriture, non pas d’une manière banale, d’une manière symbolique ou historique car, tout au long des temps, jusqu’à leur accomplissement, celui qui Le reçoit communie réellement au Corps et au Sang du Christ et, par là, il se tourne vers le moment où Jésus a accompli le mystère pascal. La memoria passionis, la mémoire, la commémoration de Sa passion est accomplie. Et vient alors la conclusion logique : mens impletur gratia, l’esprit est rempli de grâce. C’est le sommet de la fête d’aujourd’hui. Lorsque nous célébrons la fête du Corps et du Sang du Seigneur, nous ne pouvons pas faire autrement que de ressentir en nous cette grâce, cette joie immense de Le recevoir et de Le contempler. Lorsque nous sommes réunis pour célébrer l’eucharistie, futurae gloriae pignus, que ce soit la plus discrète des messes basses dans une église presque déserte, que ce soit dans un magnifique rassemblement comme aujourd’hui ou dans celui de milliers de prêtres, comme l’an dernier sur la place Saint-Pierre  à l’occasion de la clôture de l’année sacerdotale, oui, chaque fois que nous ne sommes plus réunis comme une foule humaine ou quelques personnes accomplissant je ne sais quelle dévotion,  nous sommes là pour signifier ce que sera l’avenir  et l’avenir c’est le peuple, le nouveau peuple choisi, tous ceux qui ont été rachetés par le Christ et qui, pour l’éternité, seront réunis autour de Lui pour chanter ses louanges.

     « Mon Seigneur et mon Dieu »  (Saint Jean, 20, 24-29)

     On a parfois tendance à tellement banaliser la célébration de la messe, à communier n’importe comment, à inventer des prières eucharistiques, souvent très terre à terre, qu’on a l’impression que c’est aujourd’hui tout ce que l’Église propose. La réflexion sur le sens de l’eucharistie s’est développée aux XIIIe et au XIVe siècle, en réponse aux écrits de Bérenger de Tours (XIe s.), lequel niait la présence réelle, corporelle, presque matérielle du Christ dans l’eucharistie. On se dit alors que l’histoire est un éternel recommencement et que, souvent, ceux qui veulent inventer ou faire œuvre originale ne font, ma foi, que reprendre des choses déjà dites avant eux. Que faut-il faire après cela ? Ne jamais réagir sous forme polémique, ne jamais se présenter comme si nous avions la science que d’autres n’ont pas mais simplement offrir au monde le témoignage de notre foi, la foi dans le fait réel du Christ présent dans l’eucharistie, la foi dans le fait réel que, lorsque nous le contemplons dans le Saint-Sacrement, nous savons qu’il est là. Nous pourrions citer des tas de témoignages de personnes qui ont été bouleversées par cette présence du Christ dans l’eucharistie, sans même la connaître.

     J’en ai eu le témoignage, voici quelques années, d’une pauvre personne assez âgée, qui avait été vaguement élevée dans le protestantisme et qui, sans trop savoir ce qu’elle faisait, vint un jour participer à la messe et se sentit convertie parce qu’elle avait reconnu le Seigneur dans l’eucharistie. On pense aussi à André Frossard qui était allé avec un ami porter un colis chez des religieuses qui faisaient l’adoration : quand il entre dans l’église, il voit un espèce de disque blanc, qui pour lui était sans signification, au fond du sanctuaire avec des religieuses alternant des versets se terminant toujours avec le même « Gloria Patri et Filio et Spiritui sancto » et puis vient le moment où il regarde ce disque blanc, où alors un sentiment de bouleversement, un sentiment foudroyant le saisit et le pousse comme celui qui a reconnu le Christ après la résurrection, avec, simplement, cette confession : « Mon Seigneur et mon Dieu ».

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     Le vrai chrétien, c’est celui qui vit de la foi et qui vit de la grâce, ce n’est pas celui qui veut être supérieur, c’est celui qui, justement, dans la pleine humilité et la plus grande des charités, vit entièrement cette foi et témoigne d’elle en face de ceux qui sont autour de lui.

     Saint Paul nous a dit : chaque fois que vous mangez de ce pain et que vous buvez à cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu’à son retour et Jésus dit dans l’Évangile : « Ma chair est une vraie nourriture et mon sang est vraiment une boisson. Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi et moi je demeure en lui » et, un peu plus loin il ajoutera : « …et moi, je le ressusciterai au dernier Jour ». Continuons donc cette célébration avec la certitude que le Seigneur, mort et ressuscité, pleinement vivant auprès du Père, est présent au milieu de nous comme il le sera lorsque nous chanterons ses louanges dans l’éternité. Recevons-le dans la foi et laissons-nous habiter par sa présence dans notre vie. Ainsi soit il.

     ________________

     (*) les intertitres sont de notre rédaction

  • Premier dimanche du mois

    EGLISE DU SAINT-SACREMENT
    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège

    (face à la statue de Charlemagne)

     

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    Messe en l’honneur du Saint-Père Benoît XVI

    à l’occasion de ses soixante ans de vie sacerdotale 

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     Saints Pierre et Paul

    Évangile de la Profession de foi et de la primauté de Pierre (St. Matthieu, 16, 13-19)

     

    DIMANCHE 3 JUILLET 2011 À 10 HEURES

    Solennité de la Fête des Saints Pierre et Paul

    MESSE DU PREMIER DIMANCHE DU MOIS

    Grégorien et Polyphonie

     

    Missel de 1962 

    Propre grégorien de la messe «Nunc scio vere»  Kyriale IV « Cunctipotens genitor Deus» (Xe s.), Credo IV (XVe siècle)

    Motet « Oremus pro Pontifice » 

     

    PAR LA SCHOLA DU SAINT-SACREMENT 

    AUX ORGUES, PATRICK WILWERTH

    Professeur au conservatoire de Verviers 

    Livrets à votre disposition sur la table au fond de l’église pour suivre la messe

     

     

  • Cinq cents personnes pour le Saint-Sacrement

    Solennité de la Fête-Dieu à Liège le 25 juin 

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    pour écouter les chants de la messe

     

    La Solennité de la Fête-Dieu célébrée ce samedi 25 juin à Liège a attiré de nombreux chrétiens, venus essentiellement de Liège mais aussi de sa banlieue et même d’autres villes : Verviers, Malmédy, Namur, Bruxelles…Cinq cents personnes se pressaient dans l’église du Saint-Sacrement (où la messe était célébrée avec le concours de la Schola Sainte-Cécile, une excellente chorale parisienne  vouée au plain chant et au répertoire baroque) et, malgré le temps maussade, un peu moins de trois cents d’entre elles ont suivi la procession qui s'est déroulée ensuite dans les rues du quartier d’Avroy.

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    Pour ne pas être accusés de chauvinisme liégeois, laissons sur ce point la parole à un témoin venu de l’extérieur et qui a spontanément « posté » ses impressions sur le site du « forum catholique » :

    « Je rentre de Liége où j’ai eu le bonheur d'assister aux magnifiques cérémonies de la Fête-Dieu. N'oublions pas que cette ville de Belgique est le berceau de la Fête du Saint Sacrement, initiative d'une belge, sainte Julienne de Cornillon, aidée de sainte Eve de Saint-Martin et de sainte Isabelle de Huy.  Après Vatican II,la procession du Saint Sacrement disparut dans cette ville princière. Il y a peu l'église du Saint-Sacrement fut même mise en vente. Heureusement, une association sérieuse fut créée, présidée par un prêtre vraiment catholique, des sommes furent données, même par de grands personnages de l'Eglise belge. L'édifice put être acheté.
    Aujourd'hui pour la deuxième fois, une magnifique procession se déroula dans le quartier, agrémentée d'une bonne fanfare connaissant les marches traditionnelles de procession, rythmée par la récitation du chapelet et les cantiques traditionnels que tout le monde chante. Cette manifestation priante était suivie par une foule nombreuse. Dans la procession, tout était magnifique, car comme disait le saint Curé d'Ars "Rien n'est trop beau pour le Bon Dieu »: un monumental ostensoir, superbe orfèvrerie en vermeil, un somptueux dais garni de velours rouge et broderies d'or, surmonté du pélican en bois doré, des bannières toutes au plus belles, dont une de sainte Julienne, ainsi qu'une Madone richement habillée, ornée de dentelles et de bijoux, portées sous un baldaquin. La procession était précédée d'une Messe Solennelle, célébrée selon la forme extraordinaire, rehaussée par les chants célestes de la Scola Sainte-Cécile, de la Paroisse Saint-Eugène, de Paris. L'église était comble. Grâce à cette association dynamique et les différents prêtres, Liége a renoué avec l'esprit de sainte Julienne et a organisé une belle cérémonie, vraiment digne du Dieu de l'Eucharistie, notre Roi. ». C’est signé : Frère Guibert.

     

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    messe et procession du saint-sacrement le 25 juin 2011 à liège

    autres images ici: 

    Images de la procession de la Fête-Dieu à Liège

     

     

     

  • "Tantum ergo sacramentum, veneremur cernui..."



    FÊTE-DIEU À LIÈGE :
     

     

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    LA PROCESSION EST DE SORTIE AU CENTRE-VILLE 

    LE SAMEDI 25 JUIN 2011 

     

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    La Solennité de la Fête-Dieu sera célébrée le samedi 25 juin prochain à 16 heures, en l’église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132). Cette messe (missel de 1962) sera présidée par le chanoine Jos Vanderbruggen, o.praem., recteur du sanctuaire de Tancrémont (officiant), assisté par les abbés Jean-Pierre Herman, chapelain aux sanctuaires de Beauraing (diacre) et Claude Germeau, directeur du foyer d'accueil des jeunes à Herstal (sous-diacre).

     

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    l'église du saint-sacrement à Liège

     

    La manifestation bénéficie du concours de la Schola Sainte-Cécile (dir. Henri Adam de Villiers), un excellent ensemble vocal parisien dédié au plain-chant et à la musique baroque. Cette chorale (basée à l’église Saint-Eugène, Paris 9e) interprétera, outre le propre grégorien de la fête, la messe à quatre voix « ad majorem Dei gloriam » d’André Campra (1660-1744) ainsi que des motets du XVIIe siècle français (Michel de Lalande, Jean de Bournonville) et liégeois (Henri Du Mont, Peter Philips, Lambert Pietkin).

    extrait de la messe interprété ici par Le concert spirituel (dir. H.Niquet):

     

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    Comme l’an dernier, la procession du Saint-Sacrement se déroulera ensuite  dans le quartier d’Avroy, avec le concours de la Schola Sainte-Cécile et de l’Harmonie du Royal Cercle Musical Saint-Georges de Montzen : départ de l’église du Saint-Sacrement vers 17h30. Itinéraire : Boulevard d’Avroy, Rue Sainte-Marie, Rue Louvrex, Rue des Augustins et clôture (18h30) au kiosque du Parc d’Avroy. Les autorités, tant civiles qu' ecclésiastiques, ont marqué leur accord sur cette organisation.

     La fête est ouverte à tous. Ce n’est ni un simple spectacle, ni une parade folklorique mais une marche religieuse qui renoue aussi avec une tradition née au Pays de Liège voici plus de sept siècles, après l'instauration de la fête (1246) sous l'impulsion de  sainte Julienne de Cornillon .

    André Campra:

    André Campra (Aix-en-Provence, 3 décembre 1660 - Versailles, 29 juin1744), fut maître de musique à Notre-Dame de Paris, après l’avoir été à la cathédrale Saint-Etienne de Toulouse. Avant de s’illustrer dans la musique d’opéra et de ballet, il se fit une réputation dans la musique sacrée. Il officie à l'Académie royale de musique et à la chapelle royale de Versailles après la mort de Louis XIV. À partir de 1720 il retourna à la musique religieuse pour lui consacrer l’essentiel de son œuvre.

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    La Schola Sainte Cécile:

    La Schola Sainte-Cécile est un chœur liturgique parisien d’une trentaine de chanteurs, fondé par Henri Adam de Villiers en 2000 et dédié à l’interprétation de la musique vocale sacrée traditionnelle, en particulier la période baroque française. Cette schola intervient ordinairement dans le cadre de la liturgie romaine traditionnelle et dans celui de la liturgie byzantine russe. Elle a également chanté à plusieurs occasions des offices de la liturgie ambrosienne traditionnelle : à Milan en2000 et à Rome en 2003 (église de la très Sainte Trinité des Pèlerins) et en 2010 (au Panthéon).

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    Henri Adam de Villiers

     

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    Le mois de juin n’est pas seulement voué au culte du Sacré-Cœur de Jésus, c’est aussi celui de la Fête-Dieu qui nous invite à proclamer notre foi dans la présence réelle du Christ sous les espèces eucharistiques consacrées lors de chaque messe : oui, sous ces humbles apparences du pain et du vin, Jésus a voulu demeurer vivant aujourd’hui encore dans et pour ce monde,  tous les jours et jusqu’à la fin des temps. Pour en témoigner devant tous,  chaque année depuis plus de sept siècles l’Eglise célèbre une messe festive suivie d’une marche publique au cours de laquelle le pain eucharistique, communément appelé « hostie », est montré respectueusement mais visiblement, au peuple dans un support appelé « ostensoir » (du mot latin ostendere : montrer) : c’est la procession de la Fête-Dieu ou Fête du Saint-Sacrement.

     

    fête-dieu 2011 à liège: messe et procession au centre-ville

    sainte Julienne (église du saint-sacrement, Liège)

     sur la vie de sainte Julienne de Cornillon, lire ici:http://www.sainte-julienne

    Cette célébration festive, aujourd’hui universelle, est née au diocèse de Liège en 1246, sous l’impulsion de sainte Julienne de Cornillon et d’ Ève de Saint-Martin. Elle fut étendue au monde entier en 1264 et la procession  qui  suit la messe instituée quelque cinquante ans plus tard (1318).

    Mais à Liège, berceau de la fête, cette procession s’est éteinte dans les années 1970. Un comité de fidèles a vu le jour pour la faire renaître au cœur de la cité ardente : dans le quartier Avroy-Jardin botanique. L’an dernier, près de 500 personnes y ont pris part ainsi qu’à  la messe dont elle procède. Le rendez-vous est pris cette année pour le samedi 25 juin 2011, 16 heures, à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132).

     

     

     

    Mémorable :

    EXTRAIT DU RADIOMESSAGE DE PIE XII AU PEUPLE LIÉGEOIS,

    LE 30 JUIN 1946

     

      pour le VIIe centenaire de l’institution de la Fête-Dieu à Liège

     

     « Faut-il Nous étonner que le Christ de lumière, d’amour et de charité ait choisi votre patrie pour lui confier, par le ministère caché de la vierge augustinienne de Cornillon, ce joyau de la liturgie catholique, la Fête-Dieu, afin que, brillant d’abord chez vous du plus pur éclat, il rayonne de chez vous sur le monde entier en sorte que tous, sans distinction de pays, de classes, de conditions, rassasiés de la même nourriture divine, goûtent ensemble la fortifiante douceur de l’unité et de la paix que signifient les apparences du pain et du vin sous lesquelles se voilent le corps, le sang, l’âme, la divinité du Christ, notre véritable aliment et notre véritable vie.

    Tel est l’objet de la prière qui monte, ardente, de Notre cœur vers le Cœur de Jésus, présentée par le Cœur immaculé de Marie, Mère et Médiatrice ; qu’elle attire sur vous l’abondance de toutes grâces avec la Bénédiction que Nous allons vous donner dans toute l’effusion de Notre amour paternel à vous, peuple liégeois, à vos chefs spirituels et particulièrement aux nouveaux prêtres et sous-diacres ordonnés en cette mémorable journée. » Ci-dessous: la procession nautique sur la Meuse.

     

    fête-dieu 2011 à liège: messe et procession au centre-ville

     

     

    Plan du quartier d'Avroy, à hauteur de l'église du St-Sacrement:

    fête-dieu 2011 à liège: messe et procession au centre-ville

     

    Renseignements : tél. 04.344.10.89,  courriel sursumcorda@skynet.be

    Web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com  et http://fetedieualiege.wordpress.com

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Un réseau convivial

     

    JOURNÉE DES «  ÉGLISES OUVERTES »

     

     EN L'ÉGLISE DU SAINT-SACREMENT A LIÈGE

    Boulevard d'avroy, 132 à Liège

     

     

    journée "églises ouvertes" au saint-sacrement à liège

     

    journée "églises ouvertes" au saint-sacrement à liège 

     Le dimanche 5 juin 2011

     concert polyphonie, orgue et plain-chant à 17 heures

    messe solennisée à 10 heures

     

     

    journée "églises ouvertes" au saint-sacrement à liège

     

     

    La Journée des Eglises Ouvertes du dimanche 5 juin 2011 est un jour de fête pour tous les édifices religieux en Belgique. Plus de trois cents églises ouvrent leurs portes ce jour-là. Afin de contribuer à la mise en valeur du patrimoine religieux. C’est une initiative de la Fondation « églises ouvertes ». Celle-ci vise à créer un réseau d’églises ouvertes menant des actions communes pour rendre leur atmosphère chaleureuse et accueillante. L’église du Saint-Sacrement à Liège s’est associée à cette journée particulière et ouvrira ses portes au public le dimanche 5 juin à 17 heures pour une belle manifestation musicale. Située boulevard d’Avroy, 132 (face à la statue équestre de Charlemagne), cette église est particulièrement attentive à la promotion de la culture ainsi qu’au maintien de la tradition du chant grégorien.

     

    journée "églises ouvertes" au saint-sacrement à liègeLe thème du concert  « Orgue, Polyphonie et Plain Chant » y réunira : l’ensemble vocal « Praeludium », dans un programme de musique ancienne et de polyphonies modernes - l ’ensemble « Una Voce », composé d’élèves de l’académie de chant grégorien (dir. Stéphan Junker), qui proposera des œuvres en plain-chant et en diaphonie - l’organiste Patrick Wilwerth, qui interprètera des œuvres pour orgue de J.S. Bach et de compositeurs liégeois.

     

    Un moment musical où  rayonnera la musique sacrée, ancienne et contemporaine.

     journée "églises ouvertes" au saint-sacrement à liège

    Le matin de ce même dimanche 5 juin, à la messe habituelle de 10 heures (missel de 1962), la Schola du Saint-Sacrement chantera en grégorien le Kyriale du temps pascal, le Proprium « Exaudi, Domine » du dimanche dans l’octave de l’ascension ainsi qu’un Sanctus tropé en diaphonie d’origine hongroise. Á l’orgue Thomas du Saint-Sacrement :Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers.

     

    Organisation du concert de 17 heures :

     

    Fondation « églises ouvertes »,  ASBL « Tempus musicale » et ASBL « Sursum Corda »

    Info sur le concert : 0495.200.871,  P.A.F :  6€  (à partir de 12 ans) http://www.praeludium.be et http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com