Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Eglise du Saint-Sacrement à Liège - Page 73

  • Un brin d'éternité...ça vous chante ?

     

     

    MUSIQUE SACRÉE À LIÈGE

     

    P1011238.JPG 

      ange du tabernacle de l'église du saint-sacrement

     

    LE SAMEDI 8 MAI 2010

     

     

    1. 

     

    Concert à l’église des Bénédictines

    Boulevard d’Avroy, 54 à Liège

    abbaye-pnd-exterieur.jpg 

    Samedi 8 mai 2010 à 16 heures

      

     

    MOTETS CLASSIQUES ET ORGUE

     

     

    Patrick WILWERTH, choral sur un thème de J.S. Bach, Gib dich sufrieden

    André CAMPRA (1660-1744), « O dulcis amor »

    Marc-Antoine CHARPENTIER (1643-1704), « Salve Regina »

    Jean-Nicolas GEOFFROY (1633-1694), Offertoire en fanfare

     

     n663488723_6811.jpg  

     interprétés par Stéphan JUNKER, baryton

    orgue bénédictines.JPG

    et Patrick WILWERTH à l’orgue liégeois « Le Picard » (XVIIIe siècle)

     

     

    « LES MÉTAMORPHOSES DU PLAIN-CHANT »

     

     

    ● chant gallican ● grégorien ● déchant

    pour les fêtes de l’ascension et de la pentecôte

     

     

    « Viri Galilaei », introït de la messe de l’Ascension ● « Ascendens Christus in altum », repons bref de l’office de l’Ascension ● « Gloria », hymne gallicane du VIe siècle ● « Sanctus » du Kyriale Dominator Deus ● « In ascensione Domini », conduit paraliturgique en déchant ● « Kyrie Rex immensae », tropes en déchant ● « Emitte Spiritum », offertoire de la messe de vigile de la pentecôte ● «Veni Sancte Spiritus » alleluia et séquence de la messe de la pentecôte ● "Factus est repente ", communion  de la messe de la pentecôte● « Veni Creator Spiritus », hymne des vêpres de la pentecôte. 

      

     interprétées par

     

    p1000340.jpg

     

    L’ACADÉMIE DE CHANT GRÉGORIEN À LIÈGE

     

    trente élèves dirigés par Stéphan Junker (professeur au Conservatoire de Verviers)

     avec le concours d' Erna Verlinden (soprano solo)

    Les pièces seront préludées à l’orgue par Patrick Wilwerth

     sur les thèmes festifs de l’ascension et de la pentecôte. 

     

      2.

     

    Messe à l’église du Saint-Sacrement

    Boulevard d’Avroy, 132

    (face à la statue de Charlemagne)

     

    Samedi 8 mai 2010 à 18 heures

     

     

    P1011070.JPG

     

    MESSE GREGORIENNE DU TEMPS PASCAL

     

    Resurrection Weyden.jpg

     

    célébrée selon le missel de 1962 

     

    par

     

    Monsieur l’Abbé  Jean-Pierre Delville

      

    Professeur à la Faculté de Théologie

    de l’Université Catholique de Louvain (U.C.L.)

    historien (Ulg) et organiste

     

    homélie : le rôle de la musique dans la liturgie

     

    00168.jpg

     

    LES CHANTS DE LA MESSE :

     

     

    Propre grégorien du Ve dimanche après Pâques

     

    Introït « Vocem iucunditatis » (3e mode)

    Alleluia « Surrexit Christus » (1er mode)

    Alleluia « Exivi a Patre » (7e mode)

    Offertoire « Benedicite gentes » (2e mode)

    Communion « Cantate Domino » (2e mode)

     

    Tropes en déchant « Rex immensae »

     

    Kyriale « Dominator Deus »

     

    Gloria gallican (VIe siècle), Sanctus et Agnus Dei XV

     

    Credo III

      

     

    Antienne finale 

     

    « Regina caeli » pour le temps de Pâques

     

    notation grégoriene.gif

       

    interprétés par

     

    L’ACADÉMIE DE CHANT GRÉGORIEN À LIÈGE

    trente élèves dirigés par Stéphan Junker (professeur au Conservatoire de Verviers)

    solistes: Erna Verlinden (soprano solo) et Stéphan Junker (baryton)

     

     

    Motets baroques

     

    « O dulcis amor » (André Campra, 1660-1744),

     « Salve Regina » (Marc-Antoine Charpentier, 1643-1704) 

     

    P1010199.JPG

    plafond de la nef de l'église du Saint-Sacrement

     

    interprétés par 

     

     STÉPHAN JUNKER

    baryton

     

     et, à l’orgue Thomas du Saint-Sacrement,

     PATRICK WILWERTH

    Professeur au Conservatoire de Verviers

     

    DSC02585.JPG

    l'orgue Thomas du Saint-Sacrement 

     

     

    Après la messe, une réception sera offerte par l’Académie (entrée libre)

     

    Ces manifestations sont organisées par l’Académie de Chant grégorien

    avec le concours de l'asbl "Liège les Orgues"

     

     

     1715639798.jpg

     

    Entrée libre et gratuite

     

    Renseignements: 

    tél. 04.344.10.89 ou laissez un commentaire ci-dessous 

     

     

     

     

  • Pour Benoît XVI

     

    PASTOR BONUS

    _DSC8420cover.jpg

    C'était hier le dimanche du "Bon Pasteur", veille du cinquième anniversaire de l'élection du pape Benoît XVI au Souverain Pontificat. Voici un extrait de l'homélie prononcée à cette occasion par le P. Jos Vanderbruggen, o. praem., à l'église Saint-Lambert de Verviers lors de la grand'messe dominicale chantée à 11 heures, suivant le missel de 1962:

    "(...) Soyons fidèles à la volonté du Bon Pasteur. Les Evangiles en témoignent: le Christ a confié son Eglise à ses Apôtres et spécialement à saint Pierre. "Je te donnerai les clefs du Royaume des cieux: tout ce que tu auras lié sur la terre sera lié dans les cieux, et tout ce que tu auras délié sur la terre sera délié dans les cieux" (Mt. 16, 19).

    " En cette année sacerdotale, qui voit l'image du prêtre défigurée par les scandales, les médias prennent prétexte des affaires de pédophilie pour attaquer, pêle-mêle, le sacrement de pénitence, la morale sexuelle, la gouvernance de l'Eglise etc. Dans une "panique morale", on parle de prêtres pédophiles, de rumeurs et d'allégations, en persistant à tenter d'impliquer des personnes proches du pape et le souverain pontife lui-même.

    "Le Saint-Père, qui guide l'Eglise dans la voie de la rigueur et de la vérité, mérite le respect et le soutien de nous tous. Il est le pasteur en mesure d'affronter avec rectitude et sûreté ce moment difficile, par delà critiques et insinuations. Accompagnons-le, en apprenant de lui la constance nécessaire pour grandir en vérité et transparence, pour affronter les drames de ce monde et répondre avec patience à l'avalanche de révélations supposées telles ou pour le moins partiales, dont le but est d'affaiblir sa crédibilité, celle de l'institution ecclésiale et d'autres membres de la hiérarchie.

    "La tentative médiatique d'impliquer le souverain pontife dans la question de la pédophilie n'est que le plus récent parmi les signes de l'hostilité que beaucoup nourrissent contre le pape. Il faut se demander comment il est possible que ce pape, malgré sa douceur évangélique et l'honnêteté, la clarté de ses paroles, la profondeur de sa pensée et de ses enseignements, suscite de plusieurs côtés des sentiments de hargne et des formes d'anticléricalisme que l'on croyait dépassées. Et, il faut le dire, la surprise et même la douleur sont encore plus grandes quand ceux qui ne veulent pas suivre le pape et en dénoncent les prétendues erreurs, sont des hommes d'Eglise, qu'ils soient théologiens, prêtres ou laïcs.

    "Vendredi dernier, c'était l'anniversaire du pape; cette semaine-ci, nous commémorons l'anniversaire de son élection et de son intronisation (le 19 et le 24 avril 2005). Le Saint-Père, successeur de Pierre, est la pierre sur laquelle le Christ construit son Eglise. Aujourd'hui et chaque jour, il a besoin de notre prière"

     

    img_priestergert_21.jpg

     

    10239302_300_201.jpg 

     

     Jos Vanderbruggen, o.praem

                     Recteur du Prieuré de Tancrémont  et Chapelain

     au Sanctuaire de Banneux et à Saint-Lambert (Verviers)

    Saint-Lambert, rue du collège, à Verviers 

     

  • LA SEMAINE SAINTE 2010

     

      LA SEMAINE SAINTE 2010

    memling semaine sainte.jpg  

    suivant le missel de 1962

    EN GREGORIEN ET EN POLYPHONIE ANCIENNE

    1

    A L'EGLISE DU SAINT-SACREMENT

    Boulevard d'Avroy, 132, à Liège

     

    P1010264.JPG

     

     

    église du Saint-Sacrement à Liège (Jacques-Barthélemy Renoz, 1776) 

    célébrations par l'abbé Jean Schoonbroodt, chapelain au sanctuaire de Banneux

    et l'abbé Claude Germeau, animateur du Foyer d'Accueil de Herstal,

    desservants de l'église du Saint-Sacrement.

    Dans ce ministère, ils sont secondés par le Frère-Jérémie Marie de l'Eucharistie 

     

    DIMANCHE DES RAMEAUX, 28 MARS A 9 HEURES 45 

    champaigne entrée à Jérusalem.jpg

    Distribution du buis bénit suivie de la grand'messe chantée en grégorien.

    Propre de la messe "Domine ne longe". Psalmodie de la Passion selon saint Matthieu. Kyriale XVII.

      

    MARDI SAINT, 30 MARS DE 17 HEURES A 19 HEURES

    ADORATION DU SAINT-SACREMENT EXPOSE

    P1010266.JPG

     

     

    17h00, vêpres grégoriennes suivies d'un temps de méditation

    18h00, chapelet suivi des litanies du Sacré-Coeur

    18h45, bénédiction du Saint-Sacrement

    CONFESSIONS PASCALES: 

    prodigue_rembrandt.jpg

    Un prêtre à votre disposition, mardi 30 mars de 17h00 à 18h45

     

    VENDREDI SAINT, 2 AVRIL A 15 HEURES

    CHEMIN DE CROIX

     

     

    DSC02591.JPG

    Le chemin de la croix du vendredi-saint sera médité avec l'abbé Claude Germeau et le Frère Jérémie-Marie de l'Eucharistie.

     Extraits du "Stabat Mater" d'Antonio Vivaldi chantés par Patricia Moulan (conservatoire de Verviers), avec le concours d'Octavian Morea (violoncelle) et Mutien-Omer Houziaux (orgue)

     

    DIMANCHE DE PÂQUES, 4 avril A 10 HEURES

    resurrection1.jpg

    Grand'messe du jour de Pâques, chantée en grégorien. Propre "Resurrexi". Hymne "Salve festa dies".Séquence "Victimae Paschali Laudes" en diaphonie. Kyriale I.

     

    Veuillez noter, en outre, que les messes dominicales des Rameaux et de Pâques en français célébrées selon le missel de 1970 ont lieu à 11h15 et que la messe du jeudi saint , l'office des présanctifiés du vendredi saint, la vigile pascale du samedi saint suivie de la la messe de la résurrection selon le même missel sont célébrées chaque fois à 20h.

    Plus de renseignements: tél. +32(0)4.344.10.89. Courriel: sursumcorda@skynet.be 

     

    2

    A L'EGLISE SAINT-LAMBERT

    Rue du Collège, 80 à Verviers

    438034.jpg

     

     

    Célébrations par le Père Jos Vanderbruggen, o.praem., recteur du prieuré de Tancrémont (Banneux), chapelain à Banneux et à Saint-Lambert-Verviers,  et l'abbé Jean Schoonbroodt, chapelain au sanctuaire de Banneux et à l'église du Saint-Sacrement à Liège

    DIMANCHE DES RAMEAUX, 28 MARS A 10 HEURES 45

    rameaux.jpg

     

     

    Procession suivie de la grand'messe, chantées en grégorien. Distribution du buis bénit. Psalmodie de la Passion selon saint Matthieu. Motet classique et orgue: extrait du "Stabat Mater" de Jean-Baptiste Pergolèse (1710-1736)

    JEUDI SAINT, 1 AVRIL A 19 HEURES 30

    boutscene.jpg

     

     

    Messe de la Dernière Cène, chantée en grégorien. Motets polyphoniques "Panis angelicus" (Claudio Casciolini,1697-1760), "O salutaris hostia" (Giovanni-Battista Martini, 1706-1784). Translation des Saintes-Espèces au Reposoir. Adoration et bénédiction du Saint-Sacrement. "Tantum ergo" liégeois.

    VENDREDI SAINT, 2 AVRIL A 19 HEURES 30

     

    02-Angelico-Crucifixion.jpg

     

     

    Office des présanctifiés, chanté en grégorien. Psalmodie de la Passion selon saint Jean. Chant gréco-latin du Trisagion (Ve s.) et des Impropères. Adoration de la Croix. Communion. Motets polyphoniques "Tristis est" (Giovanni-Battista Martini, 1706-1784), "Jesu Rex" (Giovanni-Pierluigi da Palestrina, 1525-1594).

    SAMEDI SAINT, 3 AVRIL A 21 HEURES

    VIGILE PASCALE ET MESSE SOLENNELLE DE LA RESURRECTION

     A0687 Resurrection P. della Francesca.jpg

    Vigile pascale. Bénédiction du feu nouveau. Renouvellement des promesses de baptême. Messe de la Résurrection, chantée en grégorien. Motet polyphonique "Laudamus te" extrait du Gloria d'Antonio Vivaldi (1678-1741). Psalmodie des Laudes en déchant et hymne "O filii et filiae" (plain-chant du XVe siècle).

    DIMANCHE DE PÂQUES, 12 AVRIL A 11 HEURES

    2442998003_624577a4f2.jpg

     

     

    Grand'messe du Jour de Pâques, chantée en grégorien. Motet polyphonique "Domine Deus" extrait du Gloria d'Antonio Vivaldi (1678-1741) et hymne "O filii et filiae" (plain-chant, XVe siècle).

    informations sur les offices de la semaine sainte à Saint-Lambert (Verviers) : tel. [+32 ](0)4.344.10.89 ou courriel sursumcorda@skynet.be 

     

     

    « SURREXIT DOMINUS VERE »

     

    100220_110.jpg

     

    La résurrection selon la chair, juste un symbole ? Monseigneur Léonard répond : « Il me paraît très important de souligner le réalisme de la résurrection. Ce n’est pas un réalisme naïf. Quand on parle de résurrection physique, je n’entends pas tomber non plus dans un anthropomorphisme presque grossier qui suscite des questions incongrues. Quel est le statut du corps de Jésus ressuscité ? Combien pèse-t-il ? Combien mesure-t-il ? C’est le genre de questions aussi idiotes que celle que l’on a posée sur l’eucharistie : comment Jésus, homme adulte, peut-il tenir dans l’hostie ? Ces questions indiquent bien que l’on comprend la réalité de la résurrection, comme celle de la présence réelle de Jésus dans l’eucharistie,  uniquement sur le mode de nos réalités terrestres. A mon sens, le corps de Jésus ressuscité est un corps réel, mais non plus au sens habituel d’un corps humain réel, en vieillissement, et s’acheminant vers la mort. Il doit présenter un certain rapport avec le corps du Christ que ses contemporains ont connu avant sa crucifixion mais, puisque Jésus ressuscité ne meurt plus, sa condition humaine réelle, incarnée, n’est plus tout à fait la même que la nôtre. Je considère le corps de Jésus comme réel, mais je ne le situe pas dans le cosmos. S’il est présent dans notre cosmos, c’est par la présence eucharistique. Le mystère a sa part dans la condition présente, mais tous nous recevons les lumières nécessaires à faire un acte de foi, à dire oui à Dieu. Ce oui à Dieu, c’est peut-être avant tout un acte de foi en la résurrection du Christ. Le christianisme sans la résurrection du Christ, sans le Christ vraiment ressuscité, ce n’est plus le christianisme, ce n’est plus qu’une idéologie parmi d’autres. Perdre cela, c’est perdre tout le contenu du message. Insinuer cette réduction dans le cœur des croyants, c’est un grand malheur et un grand méfait. C’est sortir de la foi chrétienne et pénétrer sur le terrain de l’hérésie. L’hérétique, c’est une personne qui retient de la foi chrétienne ce qui lui convient et laisse tomber le reste. Cette attitude réduit le croyant à la dimension d’un partisan. L’hérésie provient toujours d’une étroitesse d’esprit. Incapable d’accueillir toute la réalité de la Révélation, on nie le reste. On laisse tomber ce que l’on n’est pas capable d’intégrer dans sa raison trop courte, et on le transpose sur un mode acceptable ».

     

    Monseigneur Léonard, un évêque de plein air, éd. Omer Marchal, 1994, p.266


     

    LIEGE: L'EVANGILE AU CARRE 

     

    l'apostolat de Frère Jérémie-Marie de l'Eucharistie

     

    article à lire dans le journal "La Meuse" du lundi 22 mars

     

    imagesCA3Z14W1.jpg

     

    colloque L'Evangile au carré151.jpg

     

    MORS ET VITA:

    Extrait de l'homélie du Saint-Père Benoît XVI

     "in cena Domini" (messe du jeudi-saint 2010)

    B XVI TER.jpg

    «La vie éternelle, c’est de te connaître, toi, le seul Dieu, le vrai Dieu et de connaître celui que tu as envoyé, Jésus-Christ» (Jn 17,3). Chaque être humain veut vivre. Il désire une vie véritable, pleine, une vie qui vaille la peine, qui soit une joie. A l’aspiration à la vie, est jointe, en même temps, la résistance à la mort, qui, cependant, est inéluctable. Lorsque Jésus parle de la vie éternelle, il entend la vie authentique, vraie, qui mérite d’être vécue. Il n’entend pas simplement la vie qui vient après la mort. Il entend la manière authentique de la vie- une vie qui est pleinement vie et pour cela est soustraite à la mort, mais qui peut, de fait, déjà commencer en ce monde, ou mieux, qui doit commencer en lui: c’est seulement si nous apprenons déjà maintenant à vivre de façon authentique, si nous apprenons cette vie que la mort ne peut enlever, que la promesse de l’éternité a un sens. Mais comment cela se réalise-t-il? Qu’est donc cette vie vraiment éternelle, à laquelle la mort ne peut nuire? La réponse de Jésus, nous l’avons entendue: la vraie vie c’est qu’ils te connaissent, toi, Dieu et ton Envoyé, Jésus Christ. A notre surprise, il nous est dit là que la vie est connaissance. Cela signifie, par-dessus-tout: la vie est relation. Personne n’a la vie de lui-même et seulement pour lui-même. Nous l’avons de l’autre, dans la relation avec l’autre. Si c’est une relation dans la vérité et dans l’amour, un donner et recevoir, elle donne plénitude à la vie, elle la rend belle. Mais justement à cause de cela, la destruction de la relation, œuvre de la mort, peut être particulièrement douloureuse, peut mettre en question la vie elle-même. Seule la relation avec Celui qui est lui-même la Vie, peut soutenir aussi ma vie au-delà des eaux de la mort, peut me conduire vivant à travers elles. Déjà, dans la philosophie grecque, existait l’idée que l’homme peut trouver une vie éternelle s’il s’attache à ce qui est indestructible-à la vérité qui est éternelle. On devrait, pour ainsi dire, se remplir de la vérité pour porter en soi la substance de l’éternité. Mais seulement si la Vérité est Personne, elle peut me faire traverser la nuit de la mort. Nous nous accrochons à Dieu, à Jésus Christ, le Ressuscité. Et nous sommes ainsi portés par Celui qui est la Vie même. Dans cette relation, nous vivons aussi en traversant la mort, parce que Celui qui est la Vie même ne nous abandonne pas."

     

    Sermon du Saint-Père Benoît XVI

    lors de la nuit pascale 2010 

     

     

    _wsb_514x245_Soleil+Levant+-+Petit.jpg

     



    Une ancienne légende juive, tirée du livre apocryphe : « La vie d’Adam et Ève », raconte que, pendant sa dernière maladie, Adam aurait envoyé son fils Set avec Ève dans la région du Paradis pour prendre l’huile de la miséricorde, afin d’être oint de celle-ci et ainsi être guéri. Après toutes les prières et les larmes des deux à la recherche de l’arbre de la vie, l’Archange Michel apparaît pour leur dire qu’ils n’obtiendraient pas l’huile de l’arbre de la miséricorde et qu’Adam devrait mourir. Par la suite, des lecteurs chrétiens ont ajouté à cette communication de l’Archange une parole de consolation. L’Archange aurait dit qu’après 5.500 ans, serait venu l’aimable Roi Christ, le Fils de Dieu, et qu’il aurait oint avec l’huile de sa miséricorde tous ceux qui auraient cru en Lui. « L’huile de la miséricorde, d’éternité en éternité, sera donné à tous ceux qui devront renaître de l’eau et de l’Esprit Saint. Alors le Fils de Dieu, riche d’amour, le Christ, descendra dans les profondeurs de la terre et conduira ton père au Paradis, auprès de l’arbre de la miséricorde ». Dans cette légende, devient visible toute l’affliction de l’homme face à son destin de maladie, de souffrance et de mort, qui nous a été imposé. La résistance que l’homme oppose à la mort apparaît évidente : quelque part – ont pensé à maintes reprises les hommes – il doit bien y avoir l’herbe médicinale contre la mort. Tôt ou tard, il devrait être possible de trouver le remède non seulement contre telle ou telle maladie, mais contre la véritable fatalité – contre la mort. En somme, le remède de l’immortalité devrait exister. Aujourd’hui aussi les hommes sont à la recherche de cette substance curative. La science médicale actuelle s’efforce, non d’exclure à proprement parler la mort, mais d’en éliminer toutefois le plus grand nombre possible de causes, de la reculer toujours plus ; de procurer une vie toujours meilleure et plus longue. Mais réfléchissons encore un instant : qu’en serait-il vraiment, si l’on parvenait, peut-être pas à exclure totalement la mort, mais à la reculer indéfiniment, à parvenir à un âge de plusieurs centaines d’années ? Serait-ce une bonne chose ? L’humanité vieillirait dans une proportion extraordinaire, il n’y aurait plus de place pour la jeunesse. La capacité d’innovation s’éteindrait et une vie interminable serait, non pas un paradis, mais plutôt une condamnation. La véritable herbe médicinale contre la mort devrait être différente. Elle ne devrait pas apporter simplement un prolongement indéfini de la vie actuelle. Elle devrait transformer notre vie de l’intérieur. Elle devrait créer en nous une vie nouvelle, réellement capable d’éternité : elle devrait nous transformer au point de ne pas finir avec la mort, mais de commencer seulement avec elle en plénitude. La nouveauté et l’inouï du message chrétien, de l’Évangile de Jésus-Christ, était et est encore maintenant ce qui nous est dit : oui, cette herbe médicinale contre la mort, ce vrai remède de l’immortalité existe. Il a été trouvé. Il est accessible. Dans le Baptême, ce remède nous est donné. Une vie nouvelle commence en nous, une vie nouvelle qui mûrit dans la foi et n’est pas effacée par la mort de la vie ancienne, mais qui, seulement alors, est portée pleinement à la lumière.

    À cela certains, peut-être beaucoup, répondront : le message, je le perçois certes, mais la foi me manque. De même, qui veut croire, demandera : mais en est-il vraiment ainsi ? Comment devons-nous nous l’imaginer ? Comment se réalise cette transformation de la vie ancienne, si bien que se forme en elle la vie nouvelle qui ne connaît pas la mort. Encore une fois, un écrit juif ancien peut nous aider à avoir une idée de ce processus mystérieux qui débute en nous au Baptême. On y raconte que l’ancêtre Énoch est enlevé jusqu’au trône de Dieu. Mais il eut peur devant les glorieuses puissances angéliques et, dans sa faiblesse humaine, il ne put contempler le Visage de Dieu. « Alors Dieu dit à Michel – ainsi continue le livre d’Énoch - : "Prends Énoch et ôte-lui ses vêtements terrestres. Oint-le d’huile douce et revêt-le des habits de gloire !" Et Michel m’ôta mes vêtements, il m’oint d’huile douce, et cette huile était plus qu’une lumière radieuse… Sa splendeur était semblable aux rayons du soleil. Lorsque je me vis, j’étais comme un des êtres glorieux » (Ph. Rech, Inbild des Kosmos, II 524).

    C’est précisément cela – le fait d’être revêtu du nouvel habit de Dieu – qui se produit au Baptême ; c’est ce que nous dit la foi chrétienne. Certes, ce changement de vêtements est un parcours qui dure toute la vie. Ce qui se produit au Baptême est le début d’un processus qui embrasse toute notre vie – nous rend capable d’éternité, de sorte que, dans l’habit de lumière de Jésus Christ, nous pouvons apparaître devant Dieu et vivre avec Lui pour toujours.

    Dans le rite du Baptême, il y a deux éléments dans lesquels cet événement s’exprime et devient visible également comme une exigence pour notre vie ultérieure. Il y a tout d’abord le rite des renoncements et des promesses. Dans l’Église primitive, celui qui devait recevoir le Baptême se tournait vers l’occident, symbole des ténèbres, du coucher du soleil, de la mort et donc de la domination du péché. Celui qui devait recevoir le Baptême se tournait dans cette direction et prononçait un triple « non » : au diable, à ses pompes et au péché. Par cet étrange parole « pompes », c’est-à-dire le faste du diable, était indiqué la splendeur de l’ancien culte des dieux et de l’ancien théâtre, où l’on éprouvait du plaisir à voir des personnes vivantes déchiquetées par des bêtes féroces. C’était là ainsi le refus d’un type de culture qui enchaînait l’homme à l’adoration du pouvoir, au monde de la cupidité, au mensonge, à la cruauté. C’était un acte de libération de l’imposition d’une forme de vie, qui se présentait comme un plaisir et qui, toutefois, poussait à la destruction de ce qui, dans l’homme, sont ses meilleures qualités. Ce renoncement – avec un déroulement moins dramatique – constitue aujourd’hui encore une partie essentielle du baptême. En lui, nous ôtons les « vêtements anciens» avec lesquels on ne peut se tenir devant Dieu. Ou mieux : nous commençons à les quitter. Ce renoncement est, en effet, une promesse dans laquelle nous tenons la main du Christ, afin qu’il nous guide et nous revête. Quels que soient les « vêtements » que nous enlevons, quelle que soit la promesse que nous prononçons, on rend évident quand nous lisons au cinquième chapitre de la Lettre aux Galates, ce que Paul appelle les « œuvres de la chair » - terme qui signifie justement les vêtements anciens que nous devons quitter. Paul les désigne de cette manière : « débauche, impureté, obscénité, idolâtrie, sorcellerie, haines, querelles, jalousie, colère, envie, divisions, sectarisme, rivalités, beuveries, gloutonnerie et autres choses du même genre » (Ga 5, 19ss). Ce sont ces vêtements que nous enlevons ; ce sont les vêtements de la mort.

    Puis celui qui allait être baptisé dans l’Église primitive se tournait vers l’orient – symbole de la lumière, symbole du nouveau soleil de l’histoire, nouveau soleil qui se lève, symbole du Christ. Celui qui va être baptisé détermine la nouvelle direction de sa vie : la foi dans le Dieu trinitaire auquel il se remet. Ainsi Dieu lui-même nous revêt de l’habit de lumière, de l’habit de la vie. Paul appelle ces nouveaux « vêtements » « fruit de l’Esprit » et il les décrit avec les mots suivants : « amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, foi, humilité et maîtrise de soi » (Ga 5, 22).

    Dans l’Église primitive, celui qui allait être baptisé était ensuite réellement dépouillé de ses vêtements. Il descendait dans les fonts baptismaux et il était immergé trois fois – symbole de la mort qui exprime toute la radicalité de ce dépouillement et de ce changement de vêtement. Cette vie, qui, de toutes façons est vouée à la mort, celui qui va recevoir le baptême la remet à la mort, avec le Christ, et, par Lui, il se laisse entraîner et élever à la vie nouvelle qui le transforme pour l’éternité. Puis, remontant des eaux baptismales, les néophytes étaient revêtus du vêtement blanc, du vêtement de lumière de Dieu, et ils recevaient le cierge allumé en signe de la nouvelle vie dans la lumière que Dieu lui-même avait allumée en eux. Ils le savaient : ils avaient obtenu le remède de l’immortalité qui, à présent, au moment de recevoir la sainte Communion, prenait pleinement forme. En elle, nous recevons le Corps du Seigneur ressuscité et nous sommes, nous aussi, attirés dans ce Corps, si bien que nous sommes déjà protégés en Celui qui a vaincu la mort et qui nous porte à travers la mort.

    Au cours des siècles, les symboles sont devenus moins nombreux, mais l’évènement essentiel du Baptême est toutefois resté le même. Il n’est pas seulement un bain, encore moins un accueil un peu complexe dans une nouvelle association. Il est mort et résurrection, une renaissance à la vie nouvelle.

    Oui, l’herbe médicinale contre la mort existe. Le Christ est l’arbre de la vie, rendu à nouveau accessible. Si nous nous conformons à Lui, alors nous sommes dans la vie. C’est pourquoi nous chanterons, en cette nuit de la Résurrection, de tout notre cœur l’alléluia, le cantique de la joie qui n’a pas besoin de paroles. C’est pourquoi Paul peut dire aux Philippiens : « Soyez toujours dans la joie du Seigneur ; laissez-moi vous le redire : soyez dans la joie » (Ph 4, 4). La joie ne peut se commander. On peut seulement la donner. Le Seigneur ressuscité nous donne la joie : la vraie vie. Désormais, nous sommes pour toujours gardés dans l’amour de Celui à qui il a été donné tout pouvoir au ciel et sur la terre (cf. Mt 28, 18). Sûrs d’être exaucés, demandons donc, par la prière sur les offrandes que l’Église élève en cette nuit : Avec ces offrandes, Seigneur, reçois les prières de ton peuple ; fais que le sacrifice inauguré dans le Mystère pascal nous procure la guérison éternelle. Amen.

     

  • La pensée sociale de Benoît XVI

     

    MONSEIGNEUR MICHEL SCHOOYANS, ROCCO BUTTIGLIONE

    ET HERMAN VAN ROMPUY

    TROIS REGARDS SUR L'ENCYCLIQUE "CARITAS IN VERITATE"

    Van Rompuyprojet 1.jpg

    MAINTENANT UNE VIDEO ET UN LIVRE:

    Le 19 octobre 2009, à la salle académique de l'Université de Liège, l'ancien Premier ministre belge et actuel Président du Conseil Européen Herman Van Rompuy, s'est exprimé aux côtés de Rocco Buttiglione, Vice-Président de la Chambre des députés d'Italie, sur la pensée sociale de Benoit XVI exposée dans la dernière encyclique papale CARITAS IN VERITATE. Mgr Michel Schooyans, professeur émérite à l'U.C.L. et membre de l'académie pontificale des sciences sociales, introduisait la conférence. Celle-ci était organisée par le Groupe Ethique Sociale et le Cercle Gustave Thibon (Union des Etudiants Catholiques de Liège).

    Les interventions des trois conférenciers viennent d'être publiées aux éditions "Fidélité" sous le titre : "Un développement humain intégral. La pensée sociale de Benoît XVI dans l'Encyclique Caritas in Veritate."

    Pour obtenir ce document (prix: 6 euros) vous pouvez nous laisser un message (courriel sursumcorda@skynet.be ) ou prendre contact avec les édition Fidélité (www.fidelite.be)

     

    livre-Un-developpement-humain-integral-9782873564582.jpg

     

    La vidéo de l'ensemble de la conférence est ,par ailleurs, disponible sur le compte dailymotion du "Cercle Gustave Thibon (Union des Etudiants Catholiques de Liège)",co- organisateur de la conférence du 19 octobre dernier avec le groupe Ethique sociale

     

    Pour voir cette video cliquez ici, sur:

     

    http://www.dailymotion.com/playlist/x19jvt_cerclegustavet...

     

     

    et pour consulter le site Gustave Thibon, ici : http://cerclegustavethibon.hautetfort.com 

    ou celui du Groupe de réflexion sur l'éthique sociale, ici: http://www.ethiquesociale.org

     

     

  • Récollection de carême 2010

     

    Á L’EGLISE DU SAINT-SACREMENT

    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège

     

     

    Extérieur hiver 3.JPG

     

     

    LE SAMEDI 20 MARS 2010

    de 9h30 à 17h

     

     

    L’ABBÉ CLAUDE GERMEAU

    Fondateur et directeur du Foyer d’Accueil de Herstal

     

    vous invite à

     

    UNE JOURNÉE DE PRIÈRE ET DE RÉFLEXION

     

    sur le thème

     

    « Face aux dérives et aux remises en question actuelles

    Qu’en est-il de Jésus-Christ aujourd’hui ? »

     

    img_1801.jpg

    "Christus devictus vincit" 

     

    L’abbé Germeau s’exprimera à la lumière des quarante ans d’apostolat

    qu’il a consacrés à aider les jeunes en difficulté

     

     

    PROGRAMME

     

    DE LA JOURNÉE

     

     

    Qu’est-ce qui m’influence le plus ? les médias ou le Christ ?

    Qui est le Christ pour moi ? Quel appel m’adresse-t-il ?

    Quel travail me demande-t-il ?

    Comment témoigner du Christ aujourd’hui ?

     

    P1100157.jpg

     

    09h30 : accueil

    10h00 : enseignement

    11h30 : adoration

    12h30 : repas « tiré du sac », boissons sur place 

    14h00 : chapelet

    14h30 : enseignement

    16h00 : adoration

    17h00 : «  tantum ergo »,  bénédiction du St-Sacrement,

    chant à Notre-Dame

     

     

    P1010266.JPG

     

     

    tabernacle et ostensoir de l'église du Saint-Sacrement à Liège 

     

     

     

    Renseignements et inscriptions :

    Tél.04.344.10.89 ou  E mail immaculata.conceptio@mail.be

     

     

     

     Le Livre du Foyer

     

    image_035.jpg

    Dans notre monde actuel, peut-on encore trouver des réponses aux questions que tout le monde se pose et qui sont fondamentales pour notre vie: Pourquoi la vie ? Pourquoi la mort ? Qu'est-ce que l'Homme ? D'où je viens et où je vais ? Pourquoi le mal ? Sur quelles bases, sur quelles valeurs construire sa vie ?

    Face aux nombreuses remises en question et incertitudes actuelles, s'impose la nécessité de témoignages concrets, forts, au coeur de la vie.

    Pour recevoir ce livre du Foyer (prix recommandé en librairie : 21€), merci de nous écrire, en nous laissant vos coordonnées. Le Foyer ne vivant que de dons, nous vous laissons le choix du montant de votre participation aux frais d’édition (cpte 240-0666386-97 de l’asbl Foyer d’accueil, rue Bellenay, 2, B-4040 Herstal)

     

  • Rapport d'activités:

     

    LETTRE ANNUELLE 2010 AUX AMIS 

     

    0806_0301.jpg 

    DE L’EGLISE DU SAINT- SACREMENT

    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège

     

     

     

    Madame, Monsieur, Chers Amis,

     

     

    6a00d83451619c69e20120a6eb1200970b-800wi.jpgL’association qui anime l’église du Saint-Sacrement à Liège a été baptisée « Sursum Corda ». Quel est le sens de cette antique exclamation chrétienne qui ouvre la préface du canon de la messe ? Le pape Benoît XVI l’a rappelé lui-même en ces termes, dans son homélie pascale à Saint-Pierre de Rome : «  Sursum corda : élevons nos cœurs hors de tous les enchevêtrements de nos préoccupations, de nos désirs, de nos angoisses, de notre distraction : nous devons toujours de nouveau faire en sorte que notre cœur soit soustrait à la force de gravité qui le tire vers le bas et que nous l’élevions vers le haut, dans la vérité et l’amour ». En quelques mots, le Saint-Père a résumé l’esprit qui guide aussi notre action depuis le 26 novembre 2003, date à laquelle nous avons racheté ensemble l’église du Saint-Sacrement des mains de ceux qui avaient mis cette belle église liégeoise à l’encan.

     

    Veuillez trouver ci-après le point de la situation depuis notre dernier rapport (automne 2008) sous le triple aspect de nos engagements : religieux, culturel et patrimonial.

     

     

    célébration de la foi

     

    Les messes dominicales

     

    L’horaire des célébrations à l’église du Saint-Sacrement est enfin repris dans l’annuaire officiel de l’évêché : 10h (selon le missel de 1962) par l’abbé Jean Schoonbroodt (chapelain) et 11h15 (selon le missel de 1970) par l’abbé Claude Germeau (desser3745020977_7ab926b376.jpgvant).

     

     Au cours de l’année 2009, le nombre des fidèles s’est nettement accru. Il atteint désormais la centaine à 11h15 et la cinquantaine à 10h lors des prestations de la chorale grégorienne. Cette chorale (10 inscrits) répète au Saint-Sacrement tous les jeudis (de 20h30 à 22h. : avis aux amateurs). Le service régulier des orgues est assuré à la messe de 10h. par P. Wilwerth (professeur au conservatoire de Verviers) et à la messe de 11h15 par M.-O. Houziaux (ancien organiste de la cathédrale de Liège), avec le concours d’O.Morea (violoncelle). Sans oublier l’équipe de l’acolytat ni tous ceux qui se dévouent pour assurer les chants chaque dimanche, à l’une et l’autre messe.

     

     

     

    Les confessions, l’adoration eucharistique, le chemin de la croix et les messes d’enteprodigue_rembrandt.jpgrrement

     

     

    Chaque mardi, de 17 à 19h, l’église demeure ouverte pour les confessions et l’adoration du Saint-Sacrement exposé, avec la présence de deux prêtres : les abbés Jean Schoonbroodt et Claude Germeau, assistés du Frère Jérémie-Marie de l’Eucharistie. Ce moment de prière et de silence hebdomadaire est fréquenté par des personnes de tous âges et conditions (17h., vêpres grégoriennes suivies d’un temps de méditation ; 18h., chapelet suivi des litanies du Sacré-Cœur ; 18h45, bénédiction du Saint-Sacrement suivie de l’angélus). Une démarche qui porte ses fruits et mériterait d’être mieux connue.

    A noter aussi le chemin de croix du vendredi-saint (15h., pour une centaine de fidèles, avec l’abbé Germeau, l’abbé Arimont et le Fr. Jérémie) ainsi que la célébration des messes d’enterrement, selon la forme extraordinaire du rite romain, pour les familles qui en font la demande (contacter l’abbé Jean Schoonbroodt).

     

     

     

     

     

    Les récollections et rencontres spirituelles

     

    Le cercle interfacultaire « Gustave Thibon » a programmé quelques rencontres de ce type. La question a été posée de savoir si d’autres initiatives ne pourraient pas être également accueillies. A ce titre, une journée de récollection de carême, prêchée par l’abbé Germeau, est prévue le samedi 20 mars 2010, de 9h30 à 17h.

     

    Les événements majeurs

     

    Voici la chronologie des grandes célébrations organisées au cours de l’année écoulée :

     

    Samedi 3 janvier 2009 : solennité de l’Épiphanie

     

    Près de deux cents fidèles y assistèrent le samedi 3 janvier à 17 heures, de même qu’à la procession à la crècheP1010040.JPG qui la précédait. Plus de la moitié d’entre eux vinrent aussi, après la messe, partager la galette des rois avec la Chorale de Warsage : un geste qui rendit hommage à son excellente prestation (messe en ut majeur de Gounod et noëls traditionnels) durant l’office. La beauté des ornements anciens, le plain-chant et la forme extraordinaire du rite romain –célébré par Monseigneur Michel Dangoisse avec les abbés Jean Schoonbroodt (diacre), Arnaud de Boisse (sous-diacre), Claude Germeau (chapier) et quatre acolytes- ont aussi donné un bel éclat à cette cérémonie. Dans son homélie, le doyen du chapitre cathédral de Namur a rappelé le sens du message que le récit évangélique apporte au monde en ce jour (universalité de l’Eglise, lien entre la raison et la foi). Le texte de ce sermon percutant est disponible sur demande

     

     

    Samedi 28 mars 2009 : journée de séminaire sur « Le chant grégorien dans la liturgie »

     

    Dom JORROT METZ_GOUDJI_V3.jpgL’initiative de ce séminaire revient à l’académie de chant grégorien qui a réuni pour la circonstance, dans les locaux de l’église du Saint-Sacrement, une soixantaine de congressistes, sous la présidence du T.R.P. Dom Michel Jorrot, abbé de l’abbaye bénédictine de Clervaux (Luxembourg). Des communications ont été faites sur « le chant grégorien, un joyau au service de la prière » (Dom Michel Jorrot), « le chant grégorien dans la liturgie de la messe » (Dom Michel Jorrot) et « le chant grégorien dans la liturgie des heures » (François Fierens, membre fondateur de l’académie). Ces exposés alternaient avec des ateliers pratiques (dirigés par trois professeurs de l’académie : Erna Verlinden, Stephan Junker, Gérald Messiaen) préparatoires au chant de la messe de clôture (kyriale XVII et propre du dimanche de la passion) par tous les participants et ceux qui les rejoignirent (en tout, une centaine de personnes). Cette messe fut célébrée en latin par le Père-Abbé, à l’autel majeur, tourné vers la croix et le tabernacle. La brochure contenant les actes de la manifestation est disponible sur simple demande.

     

     

    Samedi 9 mai 2009 : messe de clôture des cours 2008-2009 de l’académie de chant grégorien à Liège

     

    P1010246.JPGAprès le concert (16h.) organisé à l’église des Bénédictines, place fut faite à la liturgie chantée pour 180 personnes réunies à l’église du Saint-Sacrement (18h.). Les élèves ont interprété le kyriale « lux et origo » du temps pascal et, durant la communion, le déchant (XIIe siècle) de la séquence «victimae paschali laudes ». L’excellent soliste Hendrik Vanden Abeele (directeur de l’Ensemble « Psallentes ») et un groupe de six chanteurs dirigés par Gérald Messiaen ont alterné les pièces du propre de la messe du IVe dimanche après Pâques. A l’élévation, un autre soliste professionnel, le baryton Stéphan Junker, a interprété un motet baroque accompagné à l’orgue par Patrick Wilwerth. La messe selon la forme extraordinaire du rite romain était célébrée au maître-autel par Monseigneur Roger Gryson, doyen ém. de la faculté de théologie de l’Université catholique de Louvain, entouré des abbés Jean Schoonbroodt (diacre) et Arnaud de Boisse (sous-diacre). Pour la circonstance, Monseigneur Gryson a consacré son homélie à ce qu’est le véritable esprit de la liturgie. Le texte de cette remarquable méditation est disponible sur simple demande.

     

     

     

    Samedi 13 juin 2009 : solennité de la Fête-Dieu

     00168.jpg

    La solennité de la Fête-Dieu célébrée, selon le missel de 1962, à l’église du Saint-Sacrement à Liège, le samedi 13 juin 2009 (17 h.) a rassemblé 30 choristes et plus de 150 fidèles conduits par trois prêtres officiant à l’autel majeur. La célébration était présidée par M. l’abbé Jean-Pierre Herman, chapelain aux sanctuaires de Beauraing, assisté par les abbés Jean Schoonbroodt (diacre) et Arnaud de Boisse (sous-diacre). Les servants de messe étaient dirigés par M. Jacques Braive, cérémoniaire attentif et compétent.

     

     P1010155.JPG

     

     

     

     

     

     

    Cette année, la solennité était rehaussée par la participation de la « Schola gregoriana Leodiensis » (dir. Erna Verlinden) et l’ensemble vocal « Praeludium » (dir. Patrick Wilwerth.) Ces deux chœurs ont alterné les mélodies en plain-chant et des polyphonies en usage à Liège au temps des princes-évêques de la maison de Bavière (Johannes Claux, Peter Philips, Gilles Hayne, Pierre Bonhomme). L’exposition du Saint-Sacrement à la fin de la messe fut accompagnée par un extrait vibrant du « Lauda Sion » à quatre voix mixtes créé par Félix Mendelssohn en 1846 à la collégiale Saint-Martin de Liège et suivie du traditionnel « Tantum ergo liégeois ».

     

      

     

    Samedi 12 septembre 2009 : messe de rentrée de l’Union des étudiants catholiques.

     P1010029.JPG

     

     

    Cette messe a réuni, une fois encore, quelque cent cinquante personnes. Elle fut célébrée selon le missel de 1962 par le Père Gabriel Diaz, curé de la paroisse catholique russe de la Sainte-Trinité à Paris (XVIe arrondissement). La liturgie a bénéficié du concours de l’Ensemble voP1010032.JPGcal des jeunes du Brabant wallon (dir. Charlotte Messiaen). Au programme : le propre grégorien de la « missa votiva de Spiritu Sancto », le kyriale de la « missa brevis » pour voix d’enfants et orgue de L. Delibes (1836-1891) ainsi que quatre motets polyphoniques de J.-S. Bach (1685-1750), César Franck (1822-1890), Otto Fischer (1911-1985) et Léo Halmos (1945). Les orgues du Saint-Sacrement étaient tenues par leur titulaire, Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers.

     

     

     

     

    promotion de la culture chrétienne

     

     

    Le calendrier des principales manifestations et activités culturelles organisées en 2009 au Saint-Sacrement s’établit comme suit :

     

    Samedi 4 et dimanche 5 avril 2009 : exposition d’icônes.

     

    Le week-end des Rameaux 2009, l’Atelier Saint-Séraphim de Sarov (direction : Annette Gottschalk) a exposé cette année encore au Saint-Sacrement une centaine d’icônes contemporaines, fruit du travail remarquable de ses élèves (vernissage le vendredi 3 avril à 19h, avec le Père Guy Fontaine, recteur de l’église orthodoxe russe du Laveu).

     

     DSC02797.JPG

     

    Samedi 9 mai 2009 : clôture du cycle 2008-2009 des cours de l’académie de chant grégorien.

     

    Le samedi 9 mai 2009, 250 personnes ont pris part à la journée de clôture du cycle de cours 2008-2009 de l’académie de chant grégorien à LiègePsallentes1.jpg. A l’église conventuelle des Bénédictines (16h.), 70 auditeurs attentifs ont applaudi à l’écoute du programme (« du plain-chant au déchant ») présenté par les 30 élèves liégeois de l’académie, dirigés par Stéphan Junker (conservatoire de Verviers), avec le concours de Gérald Messiaen. En seconde partie, le public a découvert de larges extraits de l’office liégeois dep1000340.jpg la fête de saint Lambert interprétés par l’Ensemble « Psallentes » conduit par Hendrik Vanden Abeele (conservatoire d’Amsterdam). Entre les deux prestations Patrick Wilwerth (conservatoire de Verviers) a fait sonner le bel orgue Le Picard (XVIIIe siècle) avec de la musique baroque espagnole. Le même jour, après le concert, place à la liturgie chantée à 18 heures pour 180 personnes réunies  sous la présidence de Monseigneur Gryson, à l’église du Saint-Sacrement.

     

     

    Mercredi 26 août : festival de promenades.

     stsacrement1.gif

     

    Dans le cadre du « Festival de promenades » initié par l’échevinat du tourisme de la Ville de Liège, les organistes Geneviève Chapelier, Anne Froidebise, Joëlle Sauvenière et Patrick Wilwerth ont organisé, pour une soixantaine de personnes, un circuit de visite commentée autour de quelques orgues liégeois. La promenade a débuté à 15h au Saint-Sacrement. Elle s’est poursuivie chez les Bénédictines puis dans l’église du Séminaire pour se terminer à la cathédrale Saint-Paul.

     

     

     

     

    Samedi 12 et dimanche 13 septembre 2009 : XXIe journées du patrimoine, sur le thème « patrimoine et modernité » 

     

    Copie de P1010004.JPG

     

    Le samedi 12 septembre 2009 à 16h., le Cercle interfacultaire « Gustave Thibon » a organisé dans l’église du Saint-Sacrement une conférence-débat intitulée « Liturgie et modernité » : unsujet actuel, qui soulève quelquefois les passions sur un thème capital si, comme l’affirme le concile Vatican II, la liturgie est  « la source et le sommet de la vie de l’Eglise ».Pour l’éclairer, un orateur et praticien compétent : le Père Gabriel Diaz Patri, qui dirige un centre de recherches liturgiques à la faculté de philosophie et lettres de l’université nationale de Cuyo à Mendoza (Argentine). Le texte de cetteP1010057.JPG conférence a été publié par nos soins. Il est disponible sur simple demande.

     

     

     

     

     

     

    Le lendemain dimanche 13 septembre, à 16h., un récital donné à l’orgue du Saint-Sacrement par Geneviève Chapelier (professeur à l’académie de musique de Visé) a aussi montré en quoi des compositeurs wallons d’aujourd’hui (Patrick Wilwerth, 1959 ; Edouard Senny, 1923-1980 ; Pierre Froidebise, 1914-1962) peuvent se situer dans la grande tradition des anciens (Thomas Babou, 1646-1740 ; André-Modeste Grétry, 1741-1813 ; César Franck, 1822-1890).

     

     

    Vendredi 25 septembre 2009 : soirée musicale baroque

     

    consort Du Mont.jpg

     

    Le 25 septembre 2009 à 20h15, le Consort Henry Dumont (dir. : Vincent Grégoire) et Jean-Luc Thellin (orgue) ont interprété des œuvres de Gabrieli, Froberger et Frescobaldi (XVIIIe siècle) devant un public d’une centaine de mélomanes.

     

    Dimanche 27 septembre 2009 : fête de la Communauté française de Belgique

     

    A l’occasion de cette fête, un concert a été donné au Saint-Sacrement, le dimanche 27 septembre 2009 après-midi, à l’initiative d’Octavian Morea, par deux quatuors à cordes, Lambert Demez (orgue), Sandrine Desmet (flûte) et Daniel Pugnolli (clarinette) avec un programme très éclectique (de Bach à Devienne en passant par Mozart et Mercadante).

     

     

    Samedi 14 novembre 2009 : 30 inscrits pour un nouveau cycle de cours de chant grégorien

     P1100157.jpg

    Le samedi 14 novembre 2008 à 15 heures, l’académie de chant grégorien a ouvert ses portes pour un 7n663488723_6811.jpge cycle (2009-2010) de cours dans les locaux du Saint-Sacrement, avec une trentaine d’inscrits (dont 14 nouveaux) : de novembre 2009 à mai 2010, dix samedis de 14h. à 18h.30 ; professeurs : Stéphan Junker (conservatoire de Verviers) et Gérald Messiaen ; thème : « les métamorphoses du chant grégorien » ; option supplémentaire facultative : travail individualisé de la voix (16 inscrits) ; manifestation de clôture le samedi 8 mai 2010. Une journée festive est également prévue en septembre 2010 avec la Schola Metensis : « les splendeurs de Metz au temps des carolingiens ».

     

     

    Samedi 28 novembre 2009 : des jeunes musiciens de Liège et Louvain la Neuve se rencontrent au Saint-Sacrement

     

    038_-_G009_reduce.jpgLe samedi 28 novembre 2009 à 20h., deux formations de jeunes musiciens : les quarante choristes de la Chorale universitaire de Louvain-la-Neuve (chef de chœur : Charlotte Messiaen) et l’Orchestre Jean-Noël Hamal se sont mobilisés, sous la direction de Cyril Englebert, au profit de la restauration de l’église du Saint-Sacrement . Cent quarante personnes ont assisté à leur concert. Au programme : le « Magnificat » de Jean-Sébastien  Bach, avec en prélude le Magnificat d’Antonio de Cabezon (versets alterP1010258.JPGnés à l’orgue par Fabien Moulaert) et la 1ere suite pour violoncelle en sol majeur de J.S. Bach (par Guillaume Lagravière, violoncelle solo).

     

    Samedi 19 décembre 2009 : concert de Noël

     

    Le samedi 19 décembre 2009 à 17heures, l’Ensemble « Praeludium » (orgue et direction : Patrick Wilwerth) a donné un concert célébrant la Nativité : « Noël à travers les âges », avec la participation de Steve Laird (chants et cornemuse) dont le talent chaleureux fut apprécié de tous.

     

     

    Site d’information sur les activités au Saint-Sacrement

     

    La consultation sur internet du blog électronique de l’église du Saint-Sacrement http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com a considérablement augmenté en 2009 : de 3.359 visites en 2008 (moyennes mensuelle de 280), elle est passée à 12.401 visites en 2009 (moyenne mensuelle de  1.033). L’insertion de video-reportages et d’enregistrements sonores pourrait améliorer encore la performance. Appel aux techniciens bénévoles.

     

     

    sauvegarde du patrimoine

     

     

    L’église du Saint-Sacrement (1766) est un bâtiment classé dont l’asbl « Sursum Corda » assure, en tant que proprétaire, l’entretien et la restauration. A cet égard, l’année 2009 a été marquée par :

     

    l’aménagement, à l’entresol des locaux annexes, d’une chambre pour le logement du chapelain (avec installation sanitaire, électrique et chauffage) ;

     

    les soucis causés par la construction d’un parking en sous-sol et en surface de la cour jouxtant l’église : coupure des conduites d’eau et de gaz, déplacement des compteurs, accès  à la chaudière et à la porte latérale de l’église bloqué pendant des mois, travaux non autorisés dans les fondations de celle-ci ; déstabilisation du bâtiment (sol affaissé dans le transept, chutes répétées de platras et de stucs décoratifs) qui a nécessité des mesures d’urgence pour la sécurité.

     

    le suivi de l’instruction de la demande déposée à la Région wallonne (direction du Patrimoine) en vue d’une réhabilitation globale de l’église :

     

    A cet égard,  « Sursum Corda », en tant que maître d’œuvre, a choisi l’architecte Alain Crevecoeur comme auteur de projet et le comité d’accompagnement de ce projet (maître d’œuvre, auteur de projet, commission des monuments et sites, direction wallonne du patrimoine, urbanisme de la ville de Liège) s’est réuni le 24 juin 2009. Il a analysé la fiche sanitaire du bâtiment établie par l’architecte et marqué son accord pour le dépôt de trois dossiers subsidiables par la Région wallonne sur base d’un triple cahier de charges :

     

    □ un cahier général portant sur la rénovation de la façade (mur de pierres, porte monumentale, perron et grilles d’entrée) pour introduire une demande de subsides régionaux sur base d’un certificat de patrimoine ;

      un cahier spécial concernant les bas-reliefs et les armoiries décoratives de cette façade (en fonction de recherches historiques aux archives de la Région wallonne)  ;

    □ un second cahier spécial, pour une étude parallèle de la stabilité du bâtiment.

     

     

    DSCF0078.JPGDSCF0029.JPG
    P1100183.jpgDSCF0021.JPG

     

     

    Le dépôt de ces cahiers de charges par l’auteur de projet devant le comité d’accompagnement, est attendu dans le courant du mois de février 2010.

     

     

    financement du budget annuel

     

     

    Le budget annuel des dépenses de l’asbl « Sursum corda »  s’élève actuellement à 25.000 € dont 3.300 € pour alimenter le fonds de réserve destiné à couvrir notre quote-part (60.000 €) dans le coût global estimé (150.000 € dont 90.000 subsidiés par la Région wallonne) de la rénovation de l’immeuble. Actuellement notre réserve s’élève à 34.000 € (sur les 60.000 € à atteindre).C’est dire que notre effort annuel pour l’alimenter doit se poursuivre.

     

    Les prévisions de recettes pour équilibrer le budget annuel de 25.000 €  incluent un appel aux dons à concurrence de 17.100 € (13.800 € affectés aux dépenses ordinaires+3.300€ pour alimenter le fonds de restauration du bâtiment).

     

    Cette année notre appel s’adresse à quelque 350 destinataires, anciens et nouveau venus rejoindre la liste des contributeurs. Si chacun d’eux accepte de donner (en moyenne) 50 € (à verser au compte 000-3252295-79 de l’asbl « Sursum corda » à Liège) les comptes pourront se présenter en équilibre.

     

    Naturellement, chacun donne selon ses moyens et l’ « obole de la veuve » a aussi sa valeur : la plus précieuse, celle de son cœur.

     

    Veuillez cependant considérer que les seules ressources dont dispose notre œuvre émanent de la générosité de nos amis en bienfaiteurs (collectes dominicales, dons annuels et cotisations, recettes de concerts) :l’association n’émarge à aucun subside fonctionnel des pouvoirs publics ou religieux.

     

    Confiants que, pour la septième année consécutive, nous pourrons relever ensemble le défi, nous vous adressons, Madame, Monsieur, Chers Amis, nos souhaits d’heureuse années 2010 et l’expression de nos sentiments les meilleurs.

     

     

     

     

     

     

    Abbé Jean SCHOONBROODT                                                               Patrick WILWERTH

            Président                                                                                          Vice-Pésident

     

     

     

           Anne-Marie BENOIT                                                                           Jean-Paul SCHYNS

              Administrateur-Trésorier                                                                       Administrateur-Secrétaire

     

     

     

     

     Sigle sursum corda.jpg

     

     

    SURSUM CORDA

    asbl 

     

    Siège social : Rue Vinâve d’île, 20/64

    4000 Liège

    Tél. 04.223.54.11 ou 04.344.10 .89

    e-mail : sursumcorda@skynet.be

    web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com

    ccp : 000-3252295-79

     

     

     

     

     

     

  • Monseigneur Léonard à Malines

     

     

    TE DEUM LAUDAMUS

     

    Mission-paroissiale-Mgr-Leonard-27_11_07.jpg

     

     

    La rumeur circulait depuis plusieurs jours mais c'est officiel maintenant: ce lundi 18 janvier 2010, le Saint-Père Benoît XVI a accepté le renoncement au gouvernement pastoral de l'archidiocèse de Malines-Bruxelles présenté par le Cardinal Godfried Danneels, conformément au can. 401 § 1 du Code de Droit Canonique et Benoît XVI a nommé Archevêque de Malines-Bruxelles (Belgique) Son Excellence Monseigneur André-Mutien Léonard, jusqu'à présent Évêque de Namur.

     

    logo.gifEndossant les fonctions de Primat de Belgique, le nouvel archevêque changera aussi de prénom: comme évêque de Namur il avait choisi de s'appeler André-Mutien,en l'honneur de l'humble Frère Mutien-Marie de Malonne. Comme archevêque-primat  il s'appelera André-Joseph, se référant au saint patron de la Belgique (qui est aussi celui du pape Benoît XVI) mais il conservera son blason où figurent le pont de Jambes (localité dont il est originaire) et le cor de chasse symbole de nos forêts de l'Ardenne.

    xembourgeoisesIl con. Il conserve

    Nous nous joignons à tous ceux qui accueillent avec joie la nomination qui fait de Monseigneur Léonard le "primus inter pares" au sein de l'épiscopat belge. De ce docteur et pasteur remarquable (un homme de foi, un esprit libre, loin des caricatures que font de lui les idéologues de tous bords) nombre d'entre nous ont déjà beaucoup reçu (vie sacramentelle, récollections, pèlerinages, sermons, conférences, publications) et nous sommes sûrs que le Seigneur va bénir son apostolat dans les nouvelles et hautes responsabilités dont il est investi.

     

    léonard0002.jpg 

    léonard0003.jpgléonard0004.jpg

    Monseigneur Léonard: conférence de rentrée à l'église du Saint-Sacrement à Liège (septembre 2007) 

     

     

    L'élu aura 70 ans au mois de mai prochain. "Devenir archevêque m'impressionne, a-t-il déclaré, mais cela me donne un coup de jeune: je dois bien reconnaître que l'énormité de la tâche me fait peur mais qu'elle me stimule aussi".

     

    Sursum corda!

      

    Si vous souhaitez envoyer un courriel de félicitations au nouvel archevêque de Malines-Bruxelles et l'assurer de vos prières vous pouvez utiliser le site www.monseigneur-leonard.be en cliquant sur contact, en bas à droite ou écrire tout simplement à  mgr.leonard@skynet.be

    Ecrivez aussi au Nonce Apostolique, en lui demandant de remercier le Saint Père pour le choix de Mgr Léonard comme primat de Belgique.Voici son adresse: S.E.R. Mgr Giacinto Berloco, Avenue des Franciscains, 1150 Bruxelles.Fax nr 02.7622032. Courriel :nonciature.apostolique.be@skynet.be 

    Si vous voulez, il y a encore la pétition à souscrire ici : http://www.pro-leonard.be/index_fr.php

    et en cliquant ici: http://www.seletlumieretv.org/program_francais_temoin.html  vous découvrirez une belle interview de Mgr Léonard, réalisée au Québec, lors d'un congrès eucharistique.


     
    A QUOI JOUE-T-ON ?

    imagesCARGR039.jpg

     

    Monsieur Mutien-Omer Houziaux (Esneux),  nous a transmis la lettre ouverte qu’il a adressée à  Jean-Paul Duchâteau, éditorialiste de « La Libre Belgique », un journal quotidien qui, avec « Le Soir », s’est largement investi dans l’agitation médiatique déployée autour de la nomination de Mgr Léonard comme archevêque et primat de Belgique. La première charge des deux consoeurs (Thérèse et Léopoldine, comme on disait jadis) a eu lieu le samedi 16 janvier. Pour faire bonne mesure elle était assaisonnée (sur une page entière dans « Le Soir » et dans une rubrique ouverte aux commentaires sur les sites web des deux  journaux) d’une attaque cathophobe grotesque contre « Les liaisons dangereuses d’Herman Van Rompuy », coupable d’avoir animé avec le vice-président de la chambre des députés d’Italie Rocco Buttiglione   (voici trois mois, à la salle académique de l’Université de Liège) une grande conférence sur l’encyclique sociale de Benoît XVI « Caritas in Veritate ». Quel rapport ? Amalgamez le tout et lisez le message subliminal : Benoît XVI, Buttiglione, Van Rompuy, Léonard -bref, la camorra des ultras- est infiltrée partout dans les sphères du pouvoir. Cqfd. Que de bêtise et de médiocrité!

     

    Le commentaire de M. Houziaux ne l'envoit pas dire. Il a été publié dans La Libre Belgique du 19 janvier dont l’éditorial invite tout à coup les catholiques belges à « cesser de s’excommunier » entre eux. Le journal pyromane du samedi se fait pompier le mardi. Mais à quoi joue-t-on ? 

     

    Voici le texte de la lettre de Monsieur Houziaux :

     

     

    Lettre ouverte à  Monsieur Jean-Paul Duchâteau,

    Rédacteur en chef de La Libre Belgique 

     

    Monsieur le Rédacteur en chef,

    La Libre Belgique, un journal  d’opinion : ainsi vos aînés se plaisaient-ils à présenter leur quotidien, par opposition, notamment, avec « le neutre de la capitale » (Le Soir). Il y a belle lurette que LLB a renié ses origines et qu’elle pratique des… « liaisons autrement dangereuses ».  Ainsi, de reniement en reniement, la Rédaction de LLB a négocié d’audacieux virages. Cela ne date pas d’hier, mais ledit quotidien est en train, sous votre « règne », d’exécuter un magistral  tête-à-queue. Votre édito assassin sur « Le choix du Pape » (16-01-10) est une véritable déclaration de guerre à l’Église de Belgique en tant qu'Institution. Étrange hommage rendu à vos prédécesseurs d’il y a quelques décennies ! Que cela vous plaise ou non, c’est bien le Pape qui nomme les évêques, archevêques, primats et cardinaux ; « la base » (selon la terminologie en usage chez les progressistes autoproclamés) serait bien avisée de prendre, en ces matières, un profil bas. Las ! l’arrogance du discours politiquement correct est amplifiée par votre (quasi) unique et « courageux » chroniqueur, l’incontournable chouchou de « la base », qui, dans sa rage de mauvais perdant, finit par en oublier l’évangélique « Tu es Petrus ».

    En lisant le point 2) de votre éditorial, on pense à ces pompiers pyromanes qui, profitant de leur statut, boutent le feu aux biens qu’ils feignent de protéger. Comme pour mieux vous assurer de l’ardeur d’un brasier qu’en fait vous appelez de vos vœux, vous prophétisez : l’arrivée de Mgr Léonard à l’archiépiscopat  « divisera la communauté des chrétiens en Belgique ». On peut difficilement imaginer plus exécrable  vilenie. Avec une odieuse délectation, vous jouez les cassandres, comme si votre qualité de journaliste vous octroyait tous les droits, y compris celui de torpiller toute entreprise qui n’a pas l’heur de recueillir votre assentiment, un assentiment qu’en l’occurrence, le Pape n’a pas à solliciter de « la base ». Si vous êtes thuriféraire de Mgr Danneels, c’est moins pour gratifier le Cardinal d’un encens qu’il mérite assurément que pour flétrir la figure de son successeur. Cela rappelle le scénario concocté lors de la nomination de l’abbé Léonard à la tête du diocèse de Namur : le journal Vers l’Avenir avait récolté des dizaines et des dizaines de signatures pour remercier les « sortants », histoire de promettre la vie dure au nouvel arrivant. Mal leur en prit, car Mgr Léonard, toujours facétieux, avait glissé sa signature parmi celle des rebelles.  À malin, malin et demi. Méfiez-vous !

    Pour votre gouverne, Mgr Danneels N’est PAS plus partisan de la libéralisation de l’avortement et de l’euthanasie que Mgr Léonard, et je doute fort que les manipulations effectuées à Leuven – Louvain-la-Neuve sur des embryons réifiés, honteusement qualifiés de « surnuméraires », soient davantage du goût de l’un que de l’autre. Vous voulez ratisser (encore) plus large ? Les actionnaires vous intiment de vendre davantage de papier ? Comme les cartes de Carmen annoncent « La Mort, toujours La Mort »,  votre « daimôn » vous serine-t-il  « La base , toujours la base  » ?  Alors, ne perdez pas de temps ! Pour les futurs éditos de LLB, engagez sans plus tergiverser une certaine Vice-Première socialiste : son anticléricalisme atavique fera merveille dans un boulot par ailleurs indigne de vous. Mais c’est une « liaison » qui pourrait se révéler dangereuse…

    Agréez, je vous prie, Monsieur le Rédacteur en chef, mes salutations attristées.    

    Mutien-Omer Houziaux,

    Ancien embryon, chrétien librement soumis à la Vox Romana.

    •  

    FRANCHEMENT HEUREUX  !

    3745020977_7ab926b376.jpg
    imagesCA3Z14W1.jpg

    L'abbé Jean Schoonbroodt (église du Saint-Sacrement à Liège)

    au Journal La Meuse (19.01.2010):

     "Je suis confiant et franchement heureux de cette nomination" 

    La Meuse 131.jpg
    ON SE CALME !
    374100.jpg
    Rappelant qu'en vertu du protocole de l'Etat, le primat de Belgique se situe par exemple avant le président de la Cour constitutionnelle, Mme Laurette Onkelinx, vice-premier ministre du gouvernement fédéral a expliqué sur les antennes de la RTBF que les positions jugées conservatrices de Mgr André Léonard pourraient remettre en cause le compromis belge qui se fonde sur le principe de neutralité. Monseigneur Léonard, a-t-elle déclaré sur la "Une" a "souvent remis en question des décisions prises par le parlement" et a "des positions éthiques qui posent problème, notamment son opposition à l'avortement et à l'euthanasie". Madame Onkelinx est juriste, paraît-il, et son mari constitutionaliste. Dans une carte blanche publiée le 20 janvier par le journal "Le Soir", Frédéric Amez, assistant aux facultés universitaires Notre-Dame de la Paix (Namur) lui donne cette petite leçon de droit public belge:
    QUI MENACE LE COMPROMIS BELGE ?
    La désignation de l'évêque de Namur à la tête de l'archevêché de Malines-Bruxelles suscite des réactions partagées. Ce n'est pas une surprise, s'agissant d'un homme dont, il faut le dire, le sens de la diplomatie n'est pas forcément la première qualité. Quelqu'un qui a en tout cas un avis tranché sur la question, c'est le vice-premier ministre et ministre des affaires sociales, Laurette Onkelinx. Selon elle, Monseigneur Léonard, par ses prises de positions s'opposant à certaines législations belges récentes (avortement, euthanasie, mariage homosexuel...) mettrait en péril le "compromis belge" en matière de rapports Eglise-Etat.
    Sans doute est-ce l'occasion de rappeler brièvement en quoi consiste ce "compromis belge". Il convient d'évoquer d'abord l'article 19 de la Constutution, qui dispose que: "la liberté des cultes, celle de leur exercice public, ainsi que la liberté de manifester ses opinions en toute matière, sont garanties". Le Constituant ne se contente pas de proclamer la liberté de culte: il en fait, par la formulation utilisée, l'exemple par excellence de la liberté plus générale d'expression. La seule disposition légale qui limite la liberté d'expression dans le cas spécifique des ministres des cultes est l'article 268 du Code pénal, qui punit ceux qui, dans le cadre de leur ministère, attaqueraient directement le gouvernement ou un acte de l'autorité publique.
    Par "attaque directe", il ne faut pas entendre la simple expression d'une opinion critique, mais une incitation à la désobéissance. A notre connaissance, jamais Monseigneur Léonard n'a appelé les fidèles catholiques à enfreindre les lois dont il a désapprouvé l'adoption. S'il est opposé à l'avortement et à l'euthanasie, il n'est pas le seul. En ce qui concerne le mariage de personnes de même sexe, il est bon de rappeler que le premier opposant à cette loi ne fut autre que le Conseil d'Etat. Si tous les Belges ont le droit d'exprimer une opinion critique à l'égard de la loi, on ne voit pas pourquoi les évêques seraient privés de cette liberté garantie par la Consitution autant que par la Convention européenne des droits de l'homme. Et on ne se souvient pas non plus avoir jamais entendu l'actuel archevêque, tant loué pour sa tolérance et son ouverture d'esprit, applaudir à l'adoption des législations désapprouvées par son successeur.
    Le fait que Benoît XVI ait désigné Monseigneur Léonard pour occuper la cathèdre de Saint-Rombaut change-t-il la donne ? Le primat de Belgique est-il soumis à un devoir de réserve particulier ? Certes non. Le régime belge des cultes, ce fameux "compromis belge", repose sur deux principes de base. Le premier est celui de la non-intervention de l'Etat dans la nomination et l'installation des ministres des cultes (article 21 de la Constitution). Le second est l'obligation pour l'Etat de rémunérer les ministres nommés par l'autorité religieuse compétente (article 181 § 1er de la Constitution): ce "compromis" est la confirmation par le Constituant de 1831 du concordat conclu entre Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII en 1801 et n'a jamais été remis en cause depuis lors. Au contraire, étendu en 1831 aux cultes protestant et israélite, il bénéficie maintenant aussi aux cultes orthodoxe et islamique.
    Il en résulte que si les ministres des cultes sont effectivement rémunérés par l'Etat, ils ne sont ni fonctionnaires ni magistrats, et ne sont donc pas soumis au devoir de réserve qui est imposé à ces derniers. Il n'appartient pas au gouvernement d'interdire au Saint-Siège la nomination de tel ou tel évêque qui ne lui conviendrait pas, ni de prendre des mesures de rétorsion à l'égard de ce dernier. C'est au contraire en brandissant une telle menace qu'un ministre prend le risque de briser le subtil équilibre qui régit les rapports entre l'Etat et les institutions du culte qui est encore celui de la plus grande partie de ses citoyens".
    JEAN-MAURICE DEHOUSSE PLAIDE POUR ANDRE LEONARD
    pict_202092.jpg
    Que va dire Laurette ? Sous le titre "Présomption d'innocence", l'ancien bourgmestre socialiste de Liège, Jean-Maurice Dehousse défend Mgr Léonard dans le "courrier des lecteurs" du journal "Vers l'Avenir" du samedi 23 janvier, dans les termes que voici:
    "La nomination de l'évêque de Namur au rang d'archevêque de Malines-Bruxelles émeut curieusement certaines langues et certaines plumes. Que cette nomination énerve les catholiques de Belgique, ou certains d'entre eux, c'est bien leur droit. Gabriel Ringlet l'a expliqué. Mais que les autres, tous ces apôtres de la "libre pensée" qui, le prélat à peine changé de siège (...) , proclament des condamnations sans appel, c'est tout de même un peu fort.
    Le Pape a choisi de promouvoir quelqu'un de son camp. Divine surprise! De toutes les Excellences belges qui vomissent "l'heureux élu", qui n'en eût fait autant (et ne l'a pas déjà fait mille fois) en se préparant à recommencer?(...)
    N'a-t-on pas le droit -et même le devoir- de juger la nomination de Mgr Léonard sur ses actes, à savoir tous ceux qui sont encore à venir ?
    Pour ma part, j'ai -lors de débats- apprécié le sens dialectique de l'évêque, certes, mais aussi le fait qu'il ne craint pas d'afficher ses convictions (...). Quant à ce qu'il fait dans l'Eglise ou de l'Eglise, c'est l'affaire des croyants de cette Eglise, et non la mienne.
    Pour le reste, je suis assez satisfait, après tant de pelletées de nominations flamandes, de voir un francophone enfin promu. Quatre vingt quatre ans après le décès du cardinal de la Première Guerre, Mgr Mercier, ce n'est vraiment pas trop tôt. Une voix wallonne par siècle au Vatican, est-ce déjà devenu trop demander ? (...)"
  • La fête des Rois au Saint-Sacrement

     

    A L’EGLISE DU SAINT-SACREMENT

     

     

    P1010199.JPG

    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège 

     

     

     

    LE SAMEDI 9 JANVIER 2010 À 17 HEURES

     

     

     

    SOLENNITE DE L'EPIPHANIE

    procession à la crèche suivie de la messe 

     

     

     

    beatus-manchester-adoration-mages.jpg

     

      

    célébrée selon le missel de 1962

     

     

     par l’abbé Claude GERMEAU

     

     

    animateur du foyer d’accueil des jeunes à Herstal (*)

     

    etoile.gif

     

     

     

    LA SCHOLA LEODIENSIS

    dirigée par Michel JASPAR

     

     

    schola leodiensis1.jpg

     

    interprétera

     

    LA MESSE BASSE DE GABRIEL FAURÉ (1907)

    pour chœur, solistes et orgue

     

    et

     

    SIX MOTETS POLYPHONIQUES

     POUR LE TEMPS DE NOËL

     

    de Félix MENDELSSOHN (1809-1847), Zoltán KODÁLY (1882-1967)Francis POULENC (1899-1963), Benjamin BRITTEN (1913-1976) et Morten LAURIDSEN (né en 1943)

     

    A L’ORGUE, Mutien-Omer HOUZIAUX

    Titulaire ém. à la cathédrale de Liège

    DSC02585.JPG

     

     

    Le Propre grégorien est assuré par la Schola du Saint-Sacrement

     

    frangipane épiphanie.jpg

     Après la Messe, partage de la galette des Rois

     

     

    Les choristes

     

    La Schola Leodiensis, d’abord appelée « schola academica leodiensis », est un ensemble vocal à voix mixtes, créé par Hubert Schoonbroodt. C’est Martine Niessen, organiste et pianiste, qui a repris en 1992, au décès d’Hubert Schoonbroodt, la direction du chœur constitué d’une quinzaine de chanteurs. La musique sacrée de toutes les époques constitue son répertoire principal, mais non exclusif. De nombreux concerts à Liège (cathédrale Saint-Paul, collégiale Saint-Denis), Verviers (église Saint-Antoine) ou Bruxelles (cathédrale des SS. Michel et Gudule) ont enrichi le curriculum vitae du groupe, auxquels il faut ajouter la collaboration avec l’ensemble orchestral mosan, sous la baguette de J.-P. Haeck (Vivaldi, Offenbach) ou la Second’Ora de Visé (Stabat Mater de Pergolèse, Missa brevis de Kodaly).

     

    Michel Jaspar a suivi des cours de chant au conservatoire de Liège puis à l’académie César Franck (Visé), unstage de direction chorale avec Thimothy Brown (1989) et des cours de direction chorale avec Pierre Cao, à l’école internationale de direction chorale de Namur (1989-1991). Il a aussi participe, comme basse, au chœur universitaire de Liège et au chœur symphonique de Namur. Il dirige l’ensemble « Schola Leodiensis » depuis 2004.

     

    Mutien-Omer Houziaux, titulaire ém. des orgues de la cathédrale de Liège, a mené une carrière de chercheur à l’Université de Liège où il fut maître de conférence. Linguiste de formation, il a notamment publié « Les œuvres musicales en latin chanté : à l’écoute des sonorités gallicanes »  préfacé par Arthur Bodson.

     

    Les Grégorianistes du Saint-Sacrement assurent le plain-chant de la messe dans cette église chaque premier dimanche du mois à 10 heures, de même que lors des principales fêtes liturgiques.

     

     

    les oeuvres interprétées

     

    De Gabriel Fauré, tout le monde connaît le célèbre Requiem ou le Cantique de Jean Racine. Sa « Messe basse » pour chœur, solistes et orgue, qui est chantée ici,  fut d’abord écrite en 1881 pour le village de Villerville en Normandie. La version définitive date de 1907. Elle est imprégnée de cette intériorité mélodique, marquée par le plain-chant, qui tint une place majeure dans l’éducation musicale et les fonctions liturgiques du compositeur. 

     

    Six motets polyphoniques sont également  inscrits au programme de la procession et de la messe : deux œuvres de Francis Poulenc « Magnum mysterium » et « Hodie Christus natus est », écrites dans les années 1950 après son retour à la foi catholique, illustrent l’alternance de gravité et de  fantaisie qui l’inspire. De Benjamin Britten, une mélodie évocatrice du mystère : « A boy was born » (1955) nous rappelle que ce compositeur fut l’un des plus grands de la seconde moitié du XXe siècle. « A Christmas carol » (1929) de Zoltán Kodály s’inscrit dans le fil de son inspiration qui transfigure, avec l’accent magyar, les chansons de la vie populaire ou les thèmes bibliques. Le « Magnum mysterium » (1994) de Morten Lauridsen nous vient des Etats-Unis où l’œuvre de ce compositeur classique d’ascendance danoise est l’une des plus jouées, enregistrées et diffusées à la radio. Enfin, « There shall a star come out of Jacob » est l’une des seules traces de l’oratorio inachevé « Christus » dont Félix Mendelssohn avait commencé la composition l’année même de sa mort (1847). Le génie musical de ce maître allemand de la période romantique fut célébré de son vivant même par toute l’Europe.

     

    Le propre grégorien de la messe est celui de l’Épiphanie : tour à tour ample et solennel (chant d’entrée « Ecce advenit », offertoire « Reges Tharsis »), joyeux et expressif (graduel « omnes de Saba venient ») clair et léger (alleluia et communion « vidimus stellam »). Le gloria et le credo, qui alternent avec le kyrie, le sanctus et l’agnus de la « messe basse » de Fauré, sont ceux des grandes messes festives (IV).

     

     

     

     

    QU'EST-CE QUE LA FÊTE DE L'EPIPHANIE ?

     

    ciel-etoile_1196120319.jpg

     

     

    Dans les lignes qui suivent, le pape Benoît XVI nous explique le sens de cette fête, avec clarté et profondeur: 

     

     

     

    "La lumière qui à Noël a brillé dans la nuit, illuminant la grotte de Bethléem, où Marie, Joseph et les bergers demeurent, en adoration silencieuse, resplendit aujourd’hui et se manifeste à tous. L’Epiphanie est un mystère de lumière, représentée de manière symbolique par l’étoile qui a guidé le voyage des Rois mages. Toutefois, la vraie source de lumière, l’« Astre d’en haut qui vient nous visiter » (cf. Lc 1,78), c’est le Christ. Dans le mystère de Noël, la lumière du Christ rayonne sur la terre, en se diffusant comme par cercles concentriques. Avant tout sur la sainte Famille de Nazareth : la Vierge Marie et Joseph sont illuminés par la présence divine de l’Enfant Jésus. La lumière du Rédempteur se manifeste ensuite aux bergers de Bethléem qui, avertis par l’ange, accourent immédiatement à la grotte et y trouvent le « signe » qui leur avait été annoncé : un enfant enveloppé de langes et couché dans une mangeoire (cf. Lc 2,12). Les bergers, avec Marie et Joseph, représentent ce « reste d’Israël », les pauvres, les anawim, auxquels est annoncée la Bonne Nouvelle. L’éclat du Christ parvient enfin jusqu’aux Rois mages, qui constituent les prémices des peuples païens. Les palais du pouvoir de Jérusalem restent dans l’ombre et la nouvelle de la naissance du Messie y est annoncée paradoxalement par les Rois mages et suscite non pas la joie mais la crainte et des réactions hostiles. Mystérieux dessein de Dieu : « Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises » (Jn 3,19).

    Mais qu’est-ce que cette lumière ? Est-ce seulement une métaphore suggestive ou cette image correspond-elle à une réalité ? L’Apôtre Jean écrit dans sa Première Epître : « Dieu est Lumière, en lui point de ténèbres » (1 Jn 1,5) ; puis il ajoute : « Dieu est amour ». Ces deux affirmations, mises ensemble, nous aident à mieux comprendre : la lumière, apparue à Noël, et qui se manifeste aujourd’hui aux nations, est l’amour de Dieu, révélé dans la Personne du Verbe incarné. Les Rois mages arrivent d’Orient, attirés par cette lumière. Dans le mystère de l’Epiphanie, par conséquent, en plus d’un mouvement de rayonnement vers l’extérieur, se manifeste un mouvement d’attraction vers le centre qui achève le mouvement déjà inscrit dans l’Ancienne Alliance. La source d’un tel dynamisme est Dieu, Un dans la substance et Trine dans les Personnes, qui attire tout et tous à lui. La Personne incarnée dans le Verbe se présente ainsi comme le principe de réconciliation et de récapitulation universelle (cf. Ep 1,9-10). Il est le but ultime de l’histoire, le terme d’un « exode », d’un chemin providentiel de rédemption, qui culmine dans sa mort et sa résurrection. Pour cette raison, lors de la solennité de l’Epiphanie, la liturgie anticipe celle que l’on appelle l’« Annonce de Pâques » : l’année liturgique en effet, reprend toute la parabole de l’histoire du salut, au centre de laquelle se trouve le « Triduum du Seigneur crucifié, enseveli et ressuscité ». Dans la liturgie du Temps de Noël on retrouve souvent, comme refrain, ce verset du Psaume 97 : « Le Seigneur a fait connaître sa victoire et révélé sa justice aux nations » (v. 2). Ce sont des paroles que l’Eglise utilise pour souligner la dimension « épiphanique » de l’Incarnation : le Fils de Dieu qui se fait homme, son entrée dans l’histoire est le pinacle de l’auto-révélation de Dieu à Israël et à toutes les nations. A travers l’Enfant de Bethléem Dieu s’est révélé dans l’humilité de la « forme humaine », dans la « condition d’esclave », ou plutôt de crucifié (cf. Ph 2,6-8). C’est le paradoxe chrétien. C’est précisément le fait de se cacher qui constitue la plus éloquente « manifestation » de Dieu : l’humilité, la pauvreté, l’ignominie même de la Passion nous font découvrir comment Dieu est réellement. Le visage du Fils révèle fidèlement celui du Père. C’est pour cette raison que le mystère de Noël est, pour ainsi dire, toute une « épiphanie ». La manifestation aux Rois mages n’ajoute pas une chose étrangère au dessein de Dieu mais en révèle une dimension éternelle et constitutive : « Les païens sont admis au même héritage, membres du même Corps, bénéficiaire de la même Promesse, dans le Christ Jésus, par le moyen de l’Evangile » (Ep 3,6).

    La fidélité de Dieu à Israël et sa manifestation aux nations pourraient apparaître comme des aspects divergents entre eux à un regard superficiel ; en réalité ce sont les deux faces d’une même médaille. En effet, selon les Ecritures, c’est précisément en restant fidèle au pacte d’amour avec le peuple d’Israël que Dieu révèle également sa gloire aux autres peuples. « Grâce et fidélité » (cf. Ps 88, 2), « amour et vérité » (cf. Ps 84, 11) sont le contenu de la gloire de Dieu, son « nom », destiné à être connu et sanctifié par les hommes de toute langue et de toute nation. Mais ce « contenu » est inséparable de la « méthode » que Dieu a choisie pour se révéler, celle de la fidélité absolue à l’alliance, qui atteint son sommet en Jésus Christ. Le Seigneur Jésus est, dans le même temps et de manière inséparable, « lumière pour éclairer les nations païennes, et gloire d’Israël [son] peuple » (Lc 2,32), comme s’exclamera le vieux Siméon, inspiré par Dieu, en prenant l’Enfant dans ses bras, lorsque ses parents le présenteront au temple. La lumière qui éclairent les nations - la lumière de l’Epiphanie - provient de la gloire d’Israël, la gloire du Messie né, selon les Ecritures, à Bethléem « ville de David » (Lc 2,4). Les Rois mages ont adoré un simple Enfant dans les bras de sa Mère Marie car en Lui ils ont reconnu la source de la double lumière qui les avait guidés : la lumière de l’étoile et la lumière des Ecritures. Ils ont reconnu en Lui le Roi des Juifs, gloire d’Israël, mais aussi le Roi de toutes les nations. Dans le contexte liturgique de l’Epiphanie se manifeste également le mystère de l’Eglise et sa dimension missionnaire. Celle-ci est appelée à faire resplendir dans le monde la lumière du Christ, en la reflétant en elle-même comme la lune reflète la lumière du soleil. Les anciennes prophéties concernant la ville sainte de Jérusalem, comme la magnifique prophétie d’Isaïe, que nous venons d’entendre, se sont réalisées dans l’Eglise : « Debout, Jérusalem ! Resplendis : elle est venue, ta lumière, (...) Les nations marcheront vers ta lumière, et les rois, vers la clarté de ton aurore et la gloire du Seigneur s’est levée sur toi » (Is 60, 1-3). C’est ce que devront réaliser les disciples du Christ : formés par Lui pour vivre dans le style des Béatitudes, ils devront attirer tous les hommes à Dieu, à travers le témoignage de l’amour : « De même, que votre lumière brille devant les hommes : alors en voyant ce que vous faites de bien, ils rendront gloire à votre Père qui est aux cieux » (Mt 5,16). En écoutant ces paroles de Jésus, nous, membres de l’Eglise, ne pouvons pas ne pas percevoir toute l’insuffisance de notre condition humaine, marquée par le péché. L’Eglise est sainte mais elle est composée d’hommes et de femmes avec leurs limites et leurs erreurs. Seul le Christ, en nous donnant l’Esprit Saint peut transformer notre misère et nous renouveler continuellement. C’est Lui la lumière des nations, lumen gentium, qui a choisi d’éclairer le monde à travers son Eglise (cf. Concile Vatican II, Lumen gentium, n. 1).

    « Comment cela adviendra-t-il ? », pouvons-nous nous demander en reprenant les paroles que la Vierge adressa à l’Archange Gabriel. C’est précisément la Mère du Christ et de l’Eglise qui nous fournit la réponse : par son exemple de disponibilité totale à la volonté de Dieu « fiat mihi secundum verbum tuum » (Lc 1,38), elle nous enseigne à être « épiphanie » du Seigneur, dans l’ouverture du cœur à la force de la grâce et dans l’adhésion fidèle à la parole de son Fils, lumière du monde et but ultime de l’histoire. Ainsi soit-il !"


    _________

     

    (*) Abbé Claude Germeau et Petit Frère Jérémie-Marie de l'Eucharistie, asbl Foyer d'Accueil de Herstal, Rue  Bellenay, 2, B-4040 Herstal. Site web http://www.foyer-herstal.com

     

     

     

     

     

     

     

     

  • A la Chapelle Saint-Lambert de Verviers

     

    LES VANDALES N’ONT PAS REUSSI A EMPÊCHER LES CELEBRATIONS DE NOËL

     

     10239302_300_201.jpg

     

    La Chapelle Saint-Lambert, située au n°80 de la rue du Collège en plein centre de Verviers,  datant de la première moitié du XVIIIe siècle et classée comme monument du patrimoine de la région wallonne, a été la cible de vandales. Quelques jours avant Noël, les responsables ont constaté la présence de déchets en tout genre dans le porche d'entrée. Et ce n'était qu'un début. À l'intérieur c'était  un véritable spectacle de désolation : chaises renversées, bénitiers remplis de limonade et d'allumettes, par terre un liquide collant avait été répandu... «Nous avons même retrouvé dans la crèche quatre bouteilles vides de vodka orange», soupirait le sacristain Lucien Bouveroux.

    La guirlande électrique de la crèche, installée la veille des faits, avait été arrachée. Une statue, oeuvre de l'artiste verviétois Hiram, avait elle aussi subi les affres des vandales qui se sont également attaqués à l'orgue. «Son revêtement protecteur gisait sur le sol et plusieurs touches du clavier ont été endommagées. Il faudra le passage d'un spécialiste pour réparer les dégâts», explique notre interlocuteur. Les vandales sont montés sur le maître-autel et y ont arraché le crucifix en bois, pièce d'époque, qui a été retrouvé, brisé en deux, le Christ ayant de plus, un bras arraché.

    L'édifice a été fermé l'espace de trois jours pour permettre sa remise en état  afin qu’il soit en mesure d'accueillir dignement, le 24 décembre, la Veillée et la Messe de Minuit de Noël. Celle-ci et la Messe du Jour, le lendemain à 11 heures, ont ainsi pu réunir une centaine de fidèles. Les offices furent célébrés par le P. Jos Vanderbruggen, o.praem., dans la forme extraordinaire du rite romain, comme chaque dimanche et lors des fêtes d’obligation.

     

     

  • Célébrations de Noël

     

    NOËL A LA CHAPELLE SAINT-LAMBERT A VERVIERS:

    schola_st_lambert.gif

    Rue du Collège, 80

     

    Chapelle Saint Lambert.png

     

     

     JEUDI 24 DECEMBRE 2009

    Ludovico_CIGOLI_1559-1613_Peintre_a_Florence__Detail_de_la_Nativite__331_jpeg.jpg 

    A 23 h. 30: VEILLEE

    Polyphonies

    Veni, veni Emmanuel (processional franciscain, XVe siècle)

    A la venue de Noël (Balbastre, XVIIIe siècle)

    Une Vierge pucelle (Dandrieu, XVIIIe siècle)

    Noël nouvelet (air provencal, XVe siècle)

    Puer natus in Bethléem (anonyme, XIIIe siècle)

    Chant, flûte et orgue

    But who may abide, air extrait du "Messie" de Händel (XVIIIe siècle)

    Oeuvres de A. Corelli (XVIIe siècle), J.-F. Dandrieu et Jiri Linek (XVIIIe siècle)

    Plain Chant

    Procession à la crèche:

    Hymne "A solis ortus cardine"

     

    A 24 h 00: MESSE

    Nativite georges de la tour.jpg

    Plain chant de la messe de minuit

    Propre "ad primam missam in nocte" et Kyriale IX "Cum jubilo"

    Polyphonie classique

    Cantate Domino (Frederici, 1617)

    Ave Maria (Zoltan Kodaly, 1882)

    Grates nunc (Kugelmann, XVIe siècle)

    Flûte et orgue

    Oeuvres de Cl. Balbastre et L.-Cl. Daquin (XVIIIe siècle)

    Adeste fideles

    img_priestergert_21.jpg

    Père Jos Vanderbruggen 

    La Messe est célébrée (missel de 1962) par le Père Jos Vanderbruggen, Recteur du Prieuré de Tancrémont

    avec le concours de la Schola de Saint Lambert, Patricia Moulan (alto solo), Albert Schäfer (direction et flûte)

    A l'orgue: Léonard Aussems.

    Saint-lambert à Verviers:

    438034.jpg

     Renseignements: tél. 04.344.10.89

     

    AUTRES MESSES DE LA NATIVITE CELEBREES SELON LE MISSEL DE 1962:

     

    A VERVIERS

    08 statue de st lambert.jpg

    Chapelle Saint-Lambert (Rue du Collège, 80)

    Le vendredi 25 décembre 2009 à 11 heures

    grand'messe du jour de Noël (polyphonie, plain-chant et orgue)

     

     

    A LIEGE

    img001.jpg bavière.jpg

    Chapelle de Bavière (Rue des Bonnes Villes) en Outremeuse

    Le jeudi 24 décembre 2009 à 24h00

    Messe de Minuit de Noël

     

    P1010220.JPG

    Eglise du Saint-Sacrement (Boulevard d'Avroy, 132)

    Le vendredi 25 décembre 2009 à 10 heures

    grand'messe du jour de Noël (polyphonie, plain-chant et orgue)

    la messe du jour de noël est également célébrée à la chapelle de Bavière en Outremeuse à 11h15

     

    A OVIFAT

    300px-Reinhardstein_CH1aJPG.jpg

    Chapelle du Château de Reinhardstein

    (sur invitation)

    Le jeudi 24 décembre 2009 à 24h00

    messe de minuit de Noël (avec la Maîtrise de la Ville de Verviers)