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Conférence de Carême le samedi 11 mars 2023 à 15h00: Liège, église du Saint-Sacrement
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« Et si Dieu existait » ? Grande conférence à la salle académique de l’Université de Liège :
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Une conférence remarquée le 11 septembre 2022 à l’église du Saint-Sacrement à Liège
Dans le cadre des XXXIVe journées du patrimoine en Wallonie :
UNE CONFÉRENCE DE M. JULIEN MAQUET
Conservateur du Trésor de la cathédrale de Liège et maître de conférence à l'ULg
consacrée à:
JACQUES BARTHÉLEMY RENOZ (1729-1786)
architecte liégeois habile et fécond du siècle des Lumières auquel on doit, entre autres ouvrages civils et religieux remarquables, l’église du Saint-Sacrement, dite alors des Augustins (1766), celle de Saint-André (1772) et un plan d’embellissement de la ville de Liège : pour un exposé vivant et circonstancié on se reportera au bel enregistrement audiovisuel pris sur le vif et présenté ci-dessous.
L’exposé assorti de projections sur grand écran et d’un échange avec le public fut suivi d’une audition concertante consacrée à la musique à Liège au XVIIIe siècle, animée par un trio instrumental (Patrick Wilwerth, orgue, Anne-Sylvie Primo et Frédéric Vandendunghen, violons).
Quelque 150 personnes ont pris part aux animations du programme clôturé par une réception ouverte à tous.
cliquez ci-dessous:
Texte de la Conférence J.B. Renoz donnée par J. Maquet .pdf
visitez aussi notre site youtube en cliquant sur le lien ci-dessous:
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« Et si Dieu existait ? » : grande Conférence et public rayonnant hier jeudi 6 octobre à 20h à l’Université de Liège
Hier, jeudi 6 octobre, s’est tenue la Grande conférence « Et si Dieu existait ? » dans la prestigieuse salle académique de l’Université de Liège. Les deux conférenciers Olivier Bonnassies et Michel-Yves Bolloré sont les co-auteurs du best-seller « Dieu, la science, les preuves », vendu à plus de 200.000 exemplaires.
D’entrée de jeu, le modérateur, Emmanuel Tourpe, a fait
référence aux critiques formulées contre le livre, et a demandé s’il était judicieux d’utiliser l’expression « preuve de l’existence de Dieu ». Les auteurs insistent sur la signification du vocable ‘preuve’ : un ensemble d’arguments concordants et convaincants. Contrairement aux preuves absolues existant dans des sciences abstraites comme les mathématiques, les preuves relatives à la vie réelle laissent une marge de liberté pour se laisser convaincre ou non.
Olivier Bonnassies cite Louis Pasteur (et Francis Bacon) : « Un peu de science éloigne de Dieu, mais beaucoup y ramène ». Parmi les cent citations de savants, du chapitre douze du livre, Michel Bolloré lit celle du Prof. George Wald (de Harvard), prix Nobel de médecine en 1967 : « Il n’y a que deux façons d’envisager l’origine de la vie ; l’une est la génération spontanée se poursuivant par l’évolution, l’autre c’est une création surnaturelle, œuvre de Dieu. Il n’y a pas de troisième possibilité. La génération spontanée de la vie à partir de la matière inerte a été scientifiquement infirmée par Pasteur et d’autres, il y a 120 ans. Ceci nous laisse avec la seule conclusion que la vie a été créée par Dieu. Cela, je ne l’accepterai pas pour des raisons philosophiques, parce que je ne veux pas croire en Dieu. En conséquence, je choisis de croire en ce que je sais être scientifiquement impossible : la génération spontanée conduisant à l’évolution. »
Le public, composé de 275 personnes, était rayonnant devant les arguments de haut vol, mais pédagogiques, brillamment proposés par les conférenciers, tous deux ingénieurs et philosophes. Il y avait Mgr Jean-Pierre Delville, évêque de Liège, et le chanoine Jean-Pierre Pire, doyen de Liège. Toutes les tranches d’âge étaient bien représentées.
La soirée était l’initiative conjointe de cinq associations liégeoises : L’Union (Cercle royal des étudiants catholiques de Liège), RCF, Île-de-Meuse, Sursum Corda, Calpurnia. Une belle expérience de réflexion sur la question de l’existence d’un Dieu créateur ! L’enregistrement audio et visio sera accessible via la page internet : https://iledemeuse.be/et-si-dieu-existait/
Jean-Paul Pinon, info@iledemeuse.be 0497 52 77 51
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Liège, 6 octobre : grande conférence "Et si Dieu existait ?"
« Le livre « Dieu, la science, les preuves » est un succès de librairie avec 180.000 exemplaires vendus en neuf mois. Les auteurs ont pour objectif de donner au lecteur les éléments nécessaires pour réfléchir à la question de l’existence d’un dieu créateur. « Notre souhait est qu’au terme de cette lecture, vous puissiez avoir en main tous les éléments pour décider de ce que vous voulez croire, en toute liberté et de manière éclairée.» .
Inscription via :
https://www.eventbrite.co.uk/e/billets-conference-et-si-dieu-existait-389684756597
Ou par tél. 04 344 10 89 ou GSM 0498 334 694
Ou par email : conference6octobre.liege@gmail.com
P.A.F. :
En ligne, jusqu’au 4 octobre : étudiants 3€, autres 12€
À l’accueil : étudiants 5€, autres 15€
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34e Journées du Patrimoine en Wallonie à l’église du Saint-Sacrement à Liège
EGLISE DU SAINT-SACREMENT
Boulevard d’Avroy, 132 à Liège
Les samedi 10 et dimanche 11 septembre 2022
Tous les ans, au deuxième week-end de septembre, le public peut découvrir gratuitement le patrimoine wallon et les organisateurs annoncent une nouveauté cette année : c’est tout le patrimoine qui est ouvert, même si un thème reste proposé pour mettre en lumière cette fois les liens entre le patrimoine et l’innovation.
C’est en ce sens qu’à l’église du Saint-Sacrement, au Boulevard d’Avroy à Liège, les techniques employées à la restauration en cours de ce joyau de l’art néo-classique seront dévoilées au public, mais ce thème ne concerne pas que les techniques innovantes actuelles :
Dans la même église du Saint-Sacrement (dimanche à 14h00) M. Julien Maquet, Conservateur du Trésor de Liège à la cathédrale Saint-Paul et Maître de conférence à l’ULg illustrera l’efflorescence de l’architecture à Liège au siècle des Lumières Le conférencier s’attachera plus particulièrement à l’oeuvre de Jacques-Barthélemy Renoz (1729-1786), constructeur habile et fécond auquel on doit, entre autres ouvrages remarquables, l’église du Saint-Sacrement, dite alors des Augustins (1766), celle de Saint André (1772) et un plan d’embellissement de la ville de Liège.
Suivra une audition musicale (dimanche à 16h00, au programme: Bach, Haendel, Corelli, Mozart) animée par Patrick Wilwerth, orgue, Anne-Sylvie Primo et Frédéric Vandendunghen, violons. La manifestation se conclura par une réception conviviale (entrée libre).
Entrée libre. Autres renseignements : Tel. 04 344 10 89 ou Email : sursumcorda@skynet.be
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Réflexion faite : éclipse de Dieu, éclipse de l’homme
Dans le cadre des conférences organisées à l’Université de Liège, l’Union des étudiants catholiques liégeois et le groupe de réflexion sur l’éthique sociale avaient invité, voici quelque temps, le philosophe Rémi Brague (photo ci-dessous), professeur aujourd’hui émérite à l’Université de Paris I Panthéon-Sorbonne et à la Ludwig-Maximilian Universität de Munich. Membre de l’Institut, celui-ci a reçu le Prix de la Fondation Ratzinger-Benoît XVI.
Voici la synthèse d’une réflexion toujours d’actualité, dont la transcription intégrale est disponible sur simple demande:
Mort de Dieu, mort de l’homme
Le titre de cette conférence est une métaphore empruntée à l’œuvre du philosophe juif Martin Buber (Vienne 1878-Jérusalem 1965) illustrant le thème de la mort de Dieu que l’on rencontre aussi chez Max Weber (Le désenchantement du monde, 1917) et, bien sûr, Friedrich Nietzche (le Gai Savoir, 1882) : plus que de triomphe, c’est un cri d’inquiétude auquel répond celui de la mort de l’homme que l’on trouve chez Léon Bloy, Nicolas Berdiaev ou André Malraux. Il a été repris et rendu célèbre par Michel Foucauld (Les mots et les choses, 1966) ramenant cette idée à la critique d’une incohérence logique : si le prototype disparaît, alors la copie doit aussi s’effacer. La thèse de Rémi Brague est moins innocente : selon lui, la disparition de Dieu à l’horizon de l’humanité pourrait, de fait, entraîner celle de l’humanité elle-même, sinon physique en tout cas ontologique: la disparition de ce qui fait l’humanité de l’homme.
Echec de l’athéisme ?
Pour Rémi Brague, l’athéisme est un échec. Sa faveur croissante dans l’opinion publique n’est pas une objection pertinente. Pour un philosophe, la quantité de gens qui défendent une opinion déterminée n’est pas un argument en soi : ni pour, ni contre. Mais d’autres succès spectaculaires sont à mettre au crédit de l’athéisme :
Au niveau théorique d’abord, la science moderne de la nature n’a plus besoin d’une religion « bouche-trou » lorsqu’on cherche une explication du monde. Mais, on peut ici se demander si une religion a vraiment jamais prétendu expliquer comment le monde fonctionne. Quoi qu’il en soit, le Dieu horloger de Voltaire a vécu. Cette victoire théorique se complète d’une victoire dans la pratique politique, laquelle montre que les sociétés d’aujourd’hui peuvent s’organiser sans avoir besoin d’un principe supra humain de légitimité. Reste que toutes les religions ne cherchent pas à réglementer la société : on oublie trop, à cet égard, que le christianisme n’édicte pas de règles de conduite fondamentalement distinctes de celles que la raison naturelle a ou pourrait trouver par ses propres forces. De fait, le Décalogue qui est ce qu’il a retenu de la Torah des juifs n’est jamais que le « kit » de survie de l’humanité : un minimum.
Quoi qu’il en soit, les deux « victoires » de l’athéisme sont énormes dans l’histoire de l’humanité. Mais elles appellent tout de même deux observations :
D’une part, l’athéisme n’est pas nécessairement l’affirmation militante de convictions agressives. Ce peut être d’abord un principe de méthode : une mise entre parenthèses du divin. C’est pourquoi on a inventé des termes comme « agnosticisme », « sécularisme » ou « humanisme » (un parti politique belge d’origine chrétienne a même adopté, un temps, ce qualificatif). D’autre part, cet agnosticisme lui-même ne concerne pas que les questions religieuses : le positivisme philosophique se contente de connaissances « positives » sur le monde, sans chercher les causes dernières des phénomènes qu’il appréhende.
Est-il légitime que l’homme existe ?
Malgré tout cela, l’athéisme contient un défaut mortel, même sous sa forme atténuée de l’ agnosticisme. Il y a, en effet, une question sur laquelle l’athéisme n’a rien à dire dès lors que la racine de l’homme serait l’homme lui-même : s’il n’existe aucune instance supérieure à l’homme, comment celui-ci pourrait-il affirmer sa propre valeur? Si c’est l’homme lui-même qui se juge, comme dirait Chesterton, c’est le signe du fou, dont l’histoire politique nous montre maints exemples.
Au tournant des XVIIIe-XIXe siècles, Fichte, radicalisant la philosophie de Kant, croit avoir trouvé la solution : le divin est donné dans la loi morale qui est présente en nous et dont nous aurions tous conscience. Donc, il n’y a pas besoin de foi en Dieu mais, en revanche, il y a quelqu’un en qui nous avons besoin de croire : c’est l’homme.
Croire en l’homme, malgré ce théâtre de grand guignol que représente l’histoire ? Nous avons eu, au XXe siècle, deux régimes explicitement athées : l’un anti-chrétien parce qu’anti-juif, l’autre anti-juif parce qu’anti-chrétien. « J’ai honte d’être un être humain » disait alors la philosophe allemande d’origine juive Hanna Arendt. Et aujourd’hui la question de la légitimité de l’être humain se fait encore plus concrète parce que nous avons, à grande échelle, les possibilités techniques d’en finir avec l’humanité. Or, comme disait Leibniz, les possibles ont une tendance à exister.
Mais, à supposer même que l’athéisme ne tue personne, est-il capable de donner des raisons de vivre ? L’homme n’est peut-être pas le gentil du film hollywoodien, c’est peut-être le méchant ou, comme disait le philosophe angliciste allemand Hartmann, la « sale bête » universellement prédatrice, universellement envahissante ne se contentant pas de sa niche écologique mais faisant irruption partout : si l’homme disparaissait, alors tout de même la nature serait libre.
Que faire avec ce genre d’argument ? Une réponse serait de dire qu’il y a un instinct de survie et que l’homme peut bien continuer à exister sans s’occuper de sa propre légitimité. Mais alors, le seul animal qui se pose la question des raisons de ce qu’il fait renoncerait à la raison à propos d’un problème qui met en jeu son existence.
Cette impasse rationnelle n’appelle qu’une issue raisonnable : c’est de trouver un point de référence extérieur qui puisse dire qu’il est bon qu’il existe des hommes, un levier d’Archimède qui soit en droit de dire, justement parce qu’il n’est pas homme, que celui-ci, malgré tout, doit être sauvegardé et, conclut Rémi Brague, pour nommer ce point de référence extérieur, si vous trouvez un meilleur terme que Dieu, vous me faites signe.
Dans son célèbre « Drame de l’humanisme athée » publié à la fin de la seconde guerre mondiale, le Père Henri de Lubac estimait que si l’on peut construire une société sans Dieu, elle serait inhumaine. Moins optimiste, Rémi Brague ajoute qu’une telle société serait séculaire au sens propre du terme, c’est-à-dire que, raisonnablement, elle ne pourrait donner que la vie d’un individu humain en sa longévité maximale.
JPSC
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Eglise du Saint-Sacrement à Liège : ouverture d’un cycle de cours libres pour la formation religieuse des jeunes adultes.
"Conversion de saint Augustin à Milan"
Bas relief surplombant l'entrée monumentale de l'église du Saint-Sacrement à Liège (sculpture de P.-.A. Frank, 1723-1796)
Les cours sont gratuits. Ils se déroulent dans les locaux de l’église (Bd d’Avroy, 132), au rythme de l’année académique, un jeudi par mois, de 19h00 à 21h00, sous la forme d’une leçon suivie d’un lunch-débat convivial.
Le premier cycle (année académique 2021-2022) est dédié à la doctrine sociale de l’Eglise (DSE). L’enseignement sur ce thème est assuré par Mme Anne-Marie Libert, licenciée en philosophie et en sciences religieuses, chargée de cours au Séminaire de Namur (SND) et professeur à l’Institut Diocésain de Formation (IDF-Namur).
Le cycle s’est ouvert le jeudi 21 octobre dernier par un exposé introductif de Mme Libert sur la vision anthropologique qui fonde l’enseignement social de l’Eglise. On trouvera ci-après une synthèse de chaque exposé littéral.
Renseignements et inscriptions : sursumcorda@skynet.be
(prochaine leçon: jeudi 24 février 2022, 19h00-21h00. Thème: la conscience)
Programme
Première leçon suivie d’un lunch-débat
organisés le jeudi 21 octobre 2021, de 19h00 à 21h00 :
LES FONDEMENTS ANTHROPOLOGIQUES
Compte-rendu de l’exposé (cliquez ici) :
Deuxième leçon suivie d’un lunch-débat
organisés le jeudi 11 novembre 2021, de 19h00 à21h00 :
LA NOTION DE BIEN COMMUN
Compte rendu de l’exposé (cliquez ici) :
Troisième leçon suivie d’un lunch-débat
organisés le jeudi 16 décembre 2021, de 19h00 à 21h00
LE PRINCIPE DE SUBSIDIARITÉ
Compte rendu de l’exposé cliquez ici :
Quatrième leçon suivie d’un lunch-débat
organisés le jeudi 27 janvier 2022, de 19h00 à 21h00
LA LIBERTÉ
Compte rendu de l’exposé
(à suivre)
Cinquième leçon suivie d’un lunch-débat
organisés le jeudi 24 février 2022, de 19h00 à 21h00
LA CONSCIENCE
Compte rendu de l’exposé
(à suivre)
Sixième leçon suivie d’un lunch-débat
organisés le jeudi 24 mars 2022, de 19h00 à 21h00
LES IDÉOLOGIES
Compte rendu de l’exposé
(à suivre)
Septième, huitième et neuvième leçons
avril, mai, juin 2022 : jeudis à fixer
Thèmes et compte rendus à suivre
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Avent 2021 : Quelles raisons d’espérer ?
AVENT 2021 : QUELLES RAISONS D’ESPÉRER ?
Rencontre avec l‘abbé Claude GERMEAU
Directeur du Foyer des Jeunes de Herstal
le dimanche 5 décembre 2021 à 16h00 en l’église du Saint-Sacrement
à Liège (Bd d’Avroy 132)
Nous pensions être sécurisés par nos découvertes scientifiques, technologiques et consuméristes mais depuis bientôt deux ans la pandémie persistante de la Covid 19, les violences climatiques et autres calamités nous perturbent.
Alors, en ce temps de l’Avent 2021, quelles raisons d’espérer ?
L’abbé Claude GERMEAU, directeur du Foyer des Jeunes de Herstal, vous en parlera le dimanche 5 décembre 2021 à 16 heures en l’église du Saint-Sacrement, Boulevard d’Avroy, 132 à Liège (face à la statue équestre de Charlemagne). Respect des mesures sanitaires requises.
Renseignements : sursumcorda@skynet.be
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Pandémie du Covid19 : mise à jour des règles sanitaires en application en Belgique et en Wallonie.
Le vicariat général du diocèse de Liège communique :
"Depuis le 20 novembre 2021, de nouvelles règles sanitaires sont en application en Belgique et en Wallonie.
1. Pour le culte
Le port du masque devient obligatoire dès 10 ans.
Les autres règles sont maintenues: obligation d’aération (malgré le froid qui s’installe), port du masque couvrant le nez et la bouche, ainsi que la désinfection obligatoire des mains.
Veuillez noter que le Covid Safe Ticket (CST) ne sera pas d’application pour les célébrations.
Les orateurs et les chorales pourront retirer leur masque durant les prises de paroles et les chants si la distance avec l’assemblée est respectée.2. Pour les autres activités dans les lieux de culte ou en paroisse
Pour toute activité ne relevant pas des célébrations (concerts, expositions, conférences…) le protocole de la culture devra être respecté.
Il est stipulé que le Covid Safe Ticket (CST) et le port du masque, est obligatoire dans les situations suivantes:
– Lors d’activités publiques, ou rencontres privées, avec plus de 50 personnes à l’intérieur ou 100 à l’extérieur.
– Pour toute activité de type HoReCa (aussi dans des endroits privés). Si des boissons ou de la nourriture sont proposés lors d’activités pastorales, le protocole HoReCa sera donc d’application (CST + port du masque jusqu’à la table…).Pour toute information complémentaire, vous trouverez des informations en suivant les liens suivants: Extension du CST en Wallonie, Protocole pour la Culture en CFWB (pdf), Informations diverses sur les protocoles.
Le Vicariat général reste à votre disposition pour toute question: vicariat.general@evechedeliege.be.
Chanoine Éric de Beukelaer,
Vicaire général"Lien permanent Catégories : Concerts, Conférences, divers, Offices religieux