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Réflexion faite - Page 20

  • Qui peut communier ?

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    Qui peut communier ?

    « Prenez et mangez-en tous ». A première vue, la liturgie eucharistique nous invite tous à communier. Sans exception. Dans les deux formes du rite romain. En réalité, le magistère de l’Eglise nous enseigne les conditions aussi bien indispensables que souhaitables pour recevoir fructueusement le Corps et le Sang du Christ. Quelles sont-elles ? Dans le mensuel « La Nef » du mois de mai 2018, l’abbé Laurent Spriet, prêtre du diocèse de Lyon (Communauté Totus Tuus) nous les rappelle. Nous reproduisons ici des extraits de l’article relatifs aux conditions indispensables :

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     «  Etre baptisé

    Puisqu’une des finalités de la Communion est de nourrir en nous la vie divine, la première condition pour pouvoir recevoir l’eucharistie est d’avoir reçu le baptême. Les personnes non baptisées (donc les catéchumènes compris) ne peuvent donc pas recevoir la sainte Communion.

    « Avoir la vraie foi en l’eucharistie, et une foi vivante

    La participation à la communion eucharistique implique la communion dans la doctrine des Apôtres. Celui qui ne croit pas en la présence vraie, réelle, et substantielle du Christ en l’eucharistie ne peut pas communier.

    En outre, il faut être un membre vivant du Corps du Christ qui est l’Eglise. Il ne suffit pas d’appartenir de « corps » à l’Eglise, il faut encore lui appartenir de « coeur » c’est-à-dire avoir la « foi opérant par la charité » (Ga 5, 6).

    « Etre en état de grâce

    D’où la norme rappelée par le Catéchisme de l’Eglise catholique : « celui qui est conscient d’un péché grave [ou mortel] doit recevoir le sacrement de la réconciliation avant d’accéder à la communion »[]Notons bien que le jugement sur l’état de grâce appartient non pas au ministre qui distribue la sainte eucharistie mais bien uniquement à la personne qui s’approche de l’autel pour communier […] : il s’agit en effet d’un jugement de conscience du communiant (cf. saint Jean-Paul II, Ecclesia de Eucharistia vivit, n 37). Cette discipline de lEglise nest pas nouvelle. Nous lisons en effet sous la plume de saint Jean Chrysostome : « Moi aussi, j’élève la voix, je supplie, je prie et je vous supplie de ne pas vous approcher de cette table sainte avec une conscience souillée et corrompue. Une telle attitude en effet ne s’appellera jamais communion, même si nous recevions mille fois le Corps du Seigneur, mais plutôt condamnation, tourment et accroissement des châtiments » (Homélies sur Isaïe 6, 3: PG 56, 139). Nous connaissons en effet les paroles très fortes de saint Paul aux Corinthiens que l’Eglise nous fait entendre le Jeudi-Saint : « Quiconque mange ce pain ou boit cette coupe du Seigneur indignement aura à répondre du Corps et du Sang du Seigneur. Que chacun donc s’éprouve soi-même et qu’il mange alors de ce pain et boive de cette coupe ; car celui qui mange et boit, mange et boit sa propre condamnation, s’il n’y discerne le Corps » (1 Co 11, 27-29). Recevoir le Corps du Christ en sachant que l’on est en état de péché mortel c’est Le recevoir indignement. C’est un sacrilège. Le pape Benoit XVI a attiré notre attention sur ce point en écrivant : « à notre époque, les fidèles se trouvent immergés dans une culture qui tend à effacer le sens du péché, favorisant un comportement superficiel qui porte à oublier la nécessité d’être dans la grâce de Dieu pour s’approcher dignement de la communion sacramentelle » (« Sacramentum caritatis », n 20). Pour être admis au banquet des noces de l’Agneau il faut avoir l’habit nuptial du baptême (Mt 22, 1-14) et s’il est sali (par le péché mortel), il faut le laver et le blanchir dans le Sang de l’Agneau (Ap 7, 14).

    « Appartenir à l’Eglise catholique

    L’Eucharistie suppose et renforce la communion ecclésiale. Cest la raison pour laquelle, par exemple, il nest pas possible de communier à une Messe valide mais non catholique (sauf la disposition prévue par le canon 844 [..], et reprise dans Sacramentum Caritatis n 56). Cest pourquoi Saint Ignace dAntioche écrivait : « Que cette Eucharistie soit seule regardée comme légitime, qui se fait sous la présidence de l’évêque ou de celui qu’il en a chargé. Là où parait l’évêque, que là soit la communauté, de même que là où est le Christ Jésus, là est l’Eglise catholique » (Ad Smyrnenses, 8, 2). Cela implique la pleine communion avec le successeur de Pierre et les évêques en lien avec lui [..]

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    « Le pardon des offenses et la charité fraternelle

    L’Eucharistie est le sacrement de la charité. Il suppose et fait croître la charité. D’où cette parole fondamentale du Seigneur : « Si donc tu présentes ton offrande à l’autel, et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton offrande devant  l’autel, et va d’abord te réconcilier avec ton frère ; puis, viens présenter ton offrande » (Mt 5, 23-24). Et nous pourrions ajouter : « ensuite, viens communier ». La communion présuppose le pardon des offenses. De plus, si je naime pas « Dieu caché dans mon prochain » (saint Louis-Marie Grignion de Montfort) alors je ne peux pas communier au Corps de Jésus. Saint Jean Chrysostome nous interpelle encore vigoureusement : «tu as goûté au Sang du Seigneur et tu ne reconnais pas même ton frère. Tu déshonores cette table même, en ne jugeant pas digne de partager ta nourriture celui qui a été jugé digne de prendre part à cette table. Dieu t’a libéré de tous tes péchés et t’y a invité. Et toi, pas même alors, tu n’es devenu plus miséricordieux » (hom. in 1 Cor. 27, 4 : PG 61, 229-230).

    « Ne pas être empêché par le droit

     Tout baptisé qui n’en est pas empêché par le droit peut et doit être admis à la sainte communion (Canon 912). Ainsi, « les excommuniés [..], les interdits, après l’infliction ou la déclaration de la peine, et ceux qui persistent avec et obstination dans un péché grave et manifeste, ne seront pas admis à la sainte communion » (Canon 915).

    « Etre à jeun depuis au moins une heure.

     Qui va recevoir la très sainte Eucharistie s’abstiendra, au moins une heure avant la sainte communion, de prendre tout aliment et boisson, à l’exception seulement de l’eau et des médicaments. Les personnes âgées et les malades, ainsi que celles qui s’en occupent, peuvent recevoir la très sainte Eucharistie même si elles ont pris quelque chose moins d’une heure auparavant (Canon 919 § 1 et 3).

    « Avoir une attitude et une tenue corporelle respectueuses du Seigneur.

    Si nous allions à une audience avec le pape ou avec saint Louis, nous ferions attention à notre manière d’être et à notre tenue : combien plus lorsque nous approchons du Seigneur et que nous allons Le recevoir. C’est une évidence pour celui ou pour celle qui a la foi. « L’attitude corporelle (gestes, vêtements) traduira le respect, la solennité, la joie de ce moment où le Christ devient notre hôte [..]» (CEC 1387).

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    Pour résumer toutes ces conditions et aller à l’essentiel, méditons cet écrit de Mgr David Macaire (archevêque de Saint-Pierre et Fort-de-France) : « Ce nest pas en communiant ou en ne communiant pas que lon fait ce que Dieu veut, cest en se confessant ! Il faut, certes, éviter les scandales quand on vit une situation publique ambigüe, mais on peut communier si, et seulement si, dans le secret du confessionnal, le prêtre envoyé pour ça par Dieu nous a jugés suffisamment contrits pour recevoir le pardon de nos péchés. Voilà pourquoi je fais souvent ce communiqué précis avant la communion aux messes que je préside : « Pour communier, recevoir le Corps du Christ, je vous rappelle qu’il faut être baptisé, avoir fait sa première communion, s’être confessé, avoir reçu l’absolution et vivre selon l’Evangile » […] ».

  • Plus de 300 Liégeois réunis ce dimanche 3 juin 2018 avec l’évêque de Liège en l’église du Saint-Sacrement au Bd d’Avroy pour célébrer la Fête-Dieu selon le rite traditionnel

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    Plus de 300 personnes ont assisté à la Solennité de la Fête-Dieu célébrée selon la liturgie traditionnelle par Mgr Jean-Pierre Delville  en  l’église du Saint-Sacrement à Liège au Boulevard d’Avroy, à quelques mètres du lieu tragique des tueries de la semaine dernière, que le prélat à largement évoquées dans son homélie ci-jointe. La cérémonie était rehaussée par une très belle messe polyphonique interprétée  par le chœur liégeois « Praeludium » et le chant grégorien de la Schola Minor de Bratislava, qui avait fait le déplacement à Liège pour la circonstance.

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    Voici le texte de l’homélie prononcée par l’évêque de Liège :

    " Chers Frères et Sœurs,

    DSC_0260.JPGLa Fête-Dieu, c’est la Pâque aujourd’hui, la Pâques pour moi, pour nous, dans la commuion au corps du Christ. Pâque, c’est la vie du Christ. C’est la Fête-Dieu, c’est notre vie dans le Christ. Comme le dit Jésus : « celui qui me mange vivra par moi ; celui qui mange ce pain vivra éternellement » (Jn 6,56-58).

    Le pape Urbain IV dans la bulle d’institution de la Fête Dieu écrivait en 1264 en insistant sur cette dimension de repas de l’eucharistie : « Sur le point de quitter (« Transiturus », en latin) le monde pour retourner à son Père, notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, comme le moment de sa passion approchait, après avoir mangé la Cène en mémoire de sa mort, institua le souverain et magnifique sacrement de son Corps et de son Sang, donnant son corps en nourriture et son sang en breuvage ».

    Il ajoute une phrase, qui m’inspire beaucoup cette année, où j’ai écrit une lettre pastorale intitulée L’arbre de vie : « Ô très digne mémoire, dans laquelle nous célébrons celui qui est véritablement l’arbre de vie, et qui étant attaché sur l’arbre de la croix, a fait germer pour nous le fruit du salut ! »  Donc pour le pape Urbain IV, le Christ est l’arbre de vie qui est attaché sur l’arbre de la croix. Le pape lie l’arbre de vie à l’arbre de la croix. Il conclut que cela fait germer pour nous le fruit du salut. Nous évoquons donc la passion et les souffrances du Christ. Et nous découvrons que ce don de soi nous donne des fruits de vie. Le pape continue en disant : « En cette fête, la douceur de la joie se mêle avec l’effusion des larmes : car nous nous réjouissons en pleurant, et nous pleurons de tendresse et de dévotion en nous réjouissant ; nos larmes sont des larmes de joie, et notre joie s’exprime et se fait paraître par des larmes. » Il ajoute que cette célébration manifeste « la mort de notre propre mort, et la destruction de notre propre destruction ».

    Cette année, la Fête-Dieu nous renvoie à la passion du Christ et au lavement des pieds. Après ce que nous avons vécu à Liège, ce mardi 29 mai, avec l’assassinat terroriste de trois personnes, l’assassinat d’une quatrième personne et la mort de l’assaillant, c’est la passion du Christ qui se renouvelle et la mort des innocents que l’on retrouve. Nos pensées et nos prières vont vers les victimes : les deux policières de la ville de Liège et l’étudiant de l’école supérieure. Nous sommes d’autant plus frappés que la tuerie à eu lieu à quelques mètres d’ici, devant le café Aux Augustins, qui tire son nom de notre église, autrefois l’église des augustins de Liège. Nous portons dans la prière les policiers blessés, leurs familles et leurs amis, ainsi que tous ceux qui ont été touchés de près ou de loin par cette tuerie, en particulier les membres des services d’ordre, qui ont fait montre de courage et de détermination, ainsi que les enfants, les jeunes et le personnel des écoles voisines. Je voudrais souligner aussi le courage de la femme d’ouvrage musulmane qui a discuté longtemps avec le terroriste pour le calmer et qui a donné le temps d’évacuer l’école et d’éviter un massacre.

    L’eucharistie comme nourriture est liée au don de soi que réalise le Christ : « Il s’est offert à être notreDSC_0275.JPG nourriture […]. Ô prodigalité sans mesure, quand quelqu’un se donne soi-même. Il s’est donc donné à nous en nourriture, afin que l’homme, parce qu’il s’était effondré par la mort, fût aussi par la nourriture rappelé lui-même à la vie. » Le don de soi est donc manifesté comme un don de nourriture, qui donne la vie. Le pape fait le parallèle entre deux nourritures : celle de la chute de l’homme (Genèse 2-3) et celle de l’eucharistie : « L’homme est tombé par la nourriture de l’arbre empoisonné, l’homme a été relevé par la nourriture de l’arbre de vie. Là était suspendu l’appât de la mort, ici était suspendu l’aliment de la vie. Le repas de l’un causa la blessure, le goût de l’autre apporta la santé. Le goût a blessé et le goût a guéri ». À ce parallèle, le pape ajoute un paradoxe de cette nourriture : « Ce pain est mangé, mais il n’est pas vraiment consommé, car il ne se transforme nullement en celui qui le mange, mais, s’il est reçu dignement, celui qui le reçoit lui devient conforme ! » Donc l’eucharistie n’est pas transformée en celui qui la consomme, mais c’est celui qui la consomme qui est transformé en elle.

    Ce mystère de vie est aussi un mystère d’amour, l’amour de Dieu pour nous, qui se manifeste dans le don que Jésus nous fait de son corps et de son sang, c’est-à-dire le don de toute sa vie. Nous découvrons que nous sommes des gens qui sont aimés, et non pas des gens lancés dans la vie par le hasard des choses. Répondre à cet amour, c’est communier dignement. « Celui qui mangera ce pain ou boira le calice du Seigneur indignement, sera coupable envers le Corps et le Sang du Seigneur », dit S. Paul.

    Le partage du pain, devenu corps du Christ, nous fait communier avec lui et nous incite à communier avec nos frères et sœurs. Chaque communauté chrétienne est appelée à vivre cette communion fraternelle. Je vois qu’on vit cela en particulier dans cette église du Saint-Sacrement. On y pratique la liturgie ancienne, sous la forme extraordinaire. C’est un retour aux sources, aux textes, aux chants et aux gestes originaux de la liturgie, qui nous font découvrir avec soin la grandeur du mystère de vie et de mort qui se dévoilent dans la liturgie. Je remercie cette communauté pour cette mission qu’elle a assumée. C’est primordial d’être en communion les uns avec les autres, pour être des témoins authentiques de l’amour de Jésus dans notre monde. Si nous ne nous aimons pas les uns les autres, qui nous croira ? , qui nous fera confiance ?

    Oui, Frères et Sœurs, nous allons célébrer maintenant avec joie le sacrifice du Christ, c’est-à-dire le don de soi du Christ, qui se consacre à nous pour que nous nous consacrions à lui et à nos frères dans la joie. Amen. Alleluia !"

    JPSC

  • La Fête-Dieu 2018 à Liège : du 29 mai au 10 juin, pour tous les goûts

    Une semaine de festivités à Liège et de Retinne à Banneux

    (Pré) programme : cliquez sur les liens

    ci-dessous

    pour avoir plus d’informations.

    Mardi 29 mai

    20h00 Conférence d’ouverture: « Que nous apportent 2.000 ans de vie Eucharistique des Communautés Syriaques persécutées ? » par le père Fikri Gabriel, pasteur de l’Eglise Syriaque à Liège

    Mercredi 30 mai

    14h00-16h30 Adoration silencieuse au sanctuaire de sainte Julienne de Cornillon: « Demeurez en présence du Ressuscité au cours de longs silences où rien ne semble se passer » frère Roger Schutz, Taizé

    Jeudi 31 mai

    9h30  Laudes animées par les bénédictines, Collégiale Saint-Martin. 10h00-18h00  Journée d’adoration, Collégiale Saint-Martin.

    19h00  Eucharistie festive de la Fête-Dieu, présidée par Mgr J-P. Delville, évêque de Liège, Collégiale Saint-Martin.

    20h15 Procession solennelle

    21h30-24h00 NightFever & 1.000 bougies pour la paix, Cathédrale Conversion de Saint Paul.

    Vendredi 1 juin

    9h00 Eucharistie, Cathédrale Conversion de Saint Paul.

    9h30 Présentation de l’enquête « Mann hou ? La messe c’est quoi pour vous ? ». Cathédrale Conversion de Saint Paul.

    10h00-17h00 Journée d’adoration, animée par le Mouvement Eucharistique Liégeois (MEL), Cathédrale Conversion de Saint Paul.

    10h00-11h00 Adoration, méditations et prières à Jésus réellement présent, animée par le chanoine J. Bodeson, Cathédrale Conversion de Saint Paul.

    20h00 Conférence par Mgr J-P Delville : « La Fête-Dieu, sacrement du corps et du sang du Christ, fruits de l’Arbre de Vie », sanctuaire de sainte Julienne de Cornillon

    Samedi 2 juin

    11e édition des Journées des Eglises Ouvertes le samedi 2 et dimanche 3 juin 2018 sur le thème « 1001 visages ».

    14h00-18h00 Balade contée « De la source sainte-Julienne à Retinne à l’ancienne léproserie de Cornillon où vécut sainte Julienne ».

    16h00 Procession de la Fête-Dieu autour de la chapelle de Tancrémont.

    18h00 Messe avec les clarisses au sanctuaire de sainte Julienne de Cornillon

    Dimanche 3 juin

    Eglise du Saint Sacrement:

    10h00 Solennité de la Fête-Dieu, célébrée selon le missel de Saint Jean XXIII par Mgr Jean-Pierre Delville et suivie d’une réception ouverte à tous.

    13h00-18h00 Exposition d’art sacré sur la Fête-Dieu, en partenariat avec le Trésor de la Cathédrale de Liège et le Musée Curtius .

    Sanctuaire de sainte Julienne de Cornillon:

    10h15 Louange festive animée par la Communauté de l’Emmanuel

    11h00 Messe festive UP Outremeuse en plein air et pic-nique tiré du sac, présidée par le doyen Jean-Pierre Pire

    12h00-17h00 Adoration eucharistique, avec les clarisses.

    14h30 Projection du film « Le grand miracle », pour tous et enfants à partir de 7 ans. Le film d’animation qui vous fera vivre la messe autrement.

    16h30 Vêpres et Salut au Saint-Sacrement

    Sanctuaire Notre-Dame de Banneux

    10h30 Messe internationale présidée par le Cardinal Versaldi, Préfet de la Congrégation pour l’éducation catholique

    14h00 Procession du Saint Sacrement dans le Sanctuaire suivie du Salut et la Bénédiction des malades, présidées par le Cardinal Versaldi, Préfet de la Congrégation pour l’éducation catholique

    16h00 Messe en français avec la participation de la chorale de la Vierge des Pauvres.

    Lundi 4 juin

    18h00 Eucharistie pour la fête de la bienheureuse Eve de saint-Martin, par Mgr Delville avec verre de l’amitié, collégiale saint-Martin

    Dimanche 10 juin

    10h00 Messe à l’église sainte-Marie des Anges et départ du pèlerinage en autocar
    11h00 Pèlerinage sur la tombe de sainte Julienne de Cornillon à l’abbaye de Villers-la-Ville