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divers - Page 17

  • Editions "Sursum Corda" : Le mystérieux visage de Sierck-Les-Bains

     

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    Rédigée par Jean-Pierre Snyers et éditée par l’asbl Sursum Corda, une brochure vient de paraître présentant le mystérieux visage de Sierck-Les-Bains (localité située en Lorraine, sur un méandre de la Moselle, non loin du Château de Malbrouk à Manderen).

    1897164752 (1).pngOn y découvre, là où il n’y avait qu’une tache d’humidité, l’apparition d’un visage sur le pignon d’une maison, visage dont les traits évoquent très précisément celui du Christ tel que nous le connaissons à travers l’iconographie chrétienne.

    Ce visage qui n’est manifestement pas l’œuvre d’une main humaine est apparu en 1985 et résiste étrangement aux outrages du temps et du climat. Sincère et digne de foi, Paul Huther témoigne de ces évènements.

    Grâce à cette nouvelle publication abondamment illustrée, le lecteur pourra se faire une idée plus précise au sujet de cette image et des questions qu’elle soulève. L’image de Sierck serait-elle un signe qui nous serait adressé tandis que nous traversons l’obscurité d’un monde de plus en plus indifférent à notre destinée spirituelle ?

    Pour commander cette brochure :

    « Le Mystérieux Visage de Sierck-Les-Bains », in 8°, 16 pp., couv. en quadrichromie, est disponible au prix de 3 euros (+ frais de port 1 €) au siège de l’asbl « Sursum Corda », rue Vinâve d’île, 20 bte 64 à B- 4000 Liège. Cpte IBAN BE58 0003 2522 9579. BIC BPOTBEB1: avec la mention: "le mystérieux Visage". Les commandes peuvent aussi se faire par téléphone : 04.344.10.89 ou e-mail : sursumcorda@skynet.be

  • Souscrivez au nouvel ouvrage de Jean-Pierre Snyers : « A ceux qui cherchent »

     

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    Des raisons de croire, en forme de billets d’humeur dérangeants pour la nouvelle religion dans les limites de la vérité plurielle : c’est le petit ouvrage que notre ami Jean-Pierre Snyers vient d’écrire d’une plume alerte. Il vient de paraitre sous la responsabilité éditoriale de l’association « sursum corda » à Liège (1) et rassemble un florilège de ses plus récentes notices apologétiques dédiées, comme l’indique le titre de la brochure, « A ceux qui cherchent… ». Celle-ci débute par un paradoxe: une lettre aux indifférents. Une fois convertis à l’inquiétude existentielle, l’auteur les prendra par la main sur le sentier de la recherche du sens : des origines de l’univers à la résurrection des morts, en passant par la fiabilité des Ecritures et de la Tradition, et les questions les plus diverses : sur le bien et le mal, le purgatoire, les miracles, la foi pluraliste au goût du jour ou l’autorité dans l’Eglise. Comme l’auteur n’est pas un théologien conciliaire, il ne se contente pas de soulever des questions, il avance des réponses ou des objections aux doutes. Quoiqu’en disent certains, un peu de prosélytisme de bon aloi n’a jamais fait de tort à personne.

    Auteur de plusieurs essais, publiés notamment aux éditions Hovine, Téqui ou Fidélité, Jean-Pierre Snyers est rédacteur à la revue mensuelle Médiatrice et Reine. Il est en outre conférencier et membre de l'Association des écrivains belges (AEB).Son blog : http://jpsnyers.blogspot.fr/

    Pour commander l’ouvrage qui vient de paraitre :

    « A ceux qui cherchent », in 4°, 25 pp., couv. en quadrichromie, est disponible au prix de 2 euros (+ frais de port 1 €) au siège de l’asbl « Sursum Corda », rue Vinâve d’île, 20 bte 64 à B- 4000 Liège. Cpte bancaire : IBAN BE58 0003 2522 9579. BIC BPOTBEB1. Les commandes peuvent aussi se faire par téléphone : 04.344.10.89 ou e-mail : sursumcorda@skynet.be

    JPSC

    __________________

    (1)  L’association sans but lucratif « Sursum Corda » a été constituée le 24 mai 1996. Outre son objet cultuel (art. 3, a,b et c des statuts), elle a aussi pour but « la sauvegarde et la promotion du patrimoine intellectuel et artistique, en ce compris l’organisation de manifestations qui s’y rapportent »(article 3, d) dans un esprit chrétien : à ce titre elle organise notamment de nombreux, concerts, cours et conférences et publie « Vérité et Espérance. Pâque Nouvelle »  un double magazine trimestriel illustré en quadrichromie. En 2003, l’asbl « Sursum Corda » fut amenée à se porter acquéreur de l’église du Saint-Sacrement (XVIIIe siècle) au Boulevard d’Avroy, pour organiser et pérenniser l’affectation de cet édifice au triple service du culte, de la culture et de la conservation d’un beau bâtiment classé (1957) du patrimoine monumental de Liège. Web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com

  • Octobre: mois du Rosaire

    Sur le blog du « Petit Placide », ce texte (extraits) du Père Garrigou-Lagrange (1877-1964) ) :

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    « Parmi les formes habituelles de la dévotion mariale, comme le sont l'Angelus, l'office de la Sainte Vierge, le Rosaire, nous parlerons spécialement de ce dernier, en tant qu'il nous dispose et nous conduit à la contemplation des grands mystères du salut.

    C'est, après le sacrifice de la messe, une des plus belles prières et des plus efficaces, à condition de la bien enten­dre et d'en vivre véritablement (…)

    On peut sans doute faire déjà une bonne prière, en pensant confusément à la bonté de Dieu et à la grâce de­mandée, mais pour rendre au chapelet son âme et sa vie, il faut se rappeler qu'il n'est qu'une des trois parties du Rosaire, et qu'il doit s'accompagner de la méditation, facile du reste, des mystères joyeux, douloureux et glo­rieux, qui nous rappellent toute la vie de Notre-Seigneur, celle de sa sainte Mère et leur élévation au ciel.

    Les quinze mystères du Rosaire, ainsi divisés en trois groupes ne sont autre chose que les divers aspects des trois grands mystères du salut : celui de l'Incarnation, celui de la Rédemption et celui de la vie éternelle.

    Le mystère de l'Incarnation nous est rappelé par les joies de l'Annonciation, de la Visitation, de la Nativité de Jésus, par sa présentation au temple et son recouvre­ment parmi les docteurs de la synagogue.

    Le mystère de la Rédemption nous est rapporté par les divers moments de la Passion : l'agonie au jardin des Oliviers, la flagellation, le couronnement d'épines, le por­tement de la croix, le crucifiement.

    Le mystère de la vie éternelle nous est redit par la ré­surrection, l'ascension, la pentecôte, l'assomption de Marie et son couronnement au ciel.

    C'est tout le Credo qui passe sous nos yeux, non pas d'une façon abstraite, par des formules dogmatiques, mais d'une façon concrète par la vie du Christ, qui des­cend vers nous et remonte vers son Père pour nous con­duire à lui. C'est tout le dogme chrétien dans son éléva­tion et sa splendeur, pour que nous puissions ainsi tous les jours le pénétrer, le savourer et en nourrir notre âme.

    Par là, le Rosaire est une école de contemplation, car il nous élève peu à peu au-dessus de la prière vocale et de la méditation raisonnée ou discursive. Les anciens théologiens ont comparé ce mouvement de contemplation au mouvement en spirale que décrivent certains oiseaux comme l'hirondelle pour s'élever très haut. Ce mouvement en spirale est aussi comme un chemin qui serpente pour faire sans fatigue l'ascension d'une monta­gne. Les mystères joyeux de l'enfance du Sauveur conduisent à sa Passion et sa Passion au ciel.

    C'est donc une prière très élevée, si on l'entend bien, puisqu'elle remet tout le dogme sous nos yeux de façon accessible à tous.

    Elle est aussi très pratique, parce qu'elle nous rappelle toute la morale et la spiritualité chrétienne vues d'en haut par l'imitation de Jésus rédempteur et de Marie médiatrice, qui sont nos grands modèles.(…)

    Le Rosaire bien compris est ainsi non pas seulement une prière de demande, mais une prière d'adoration à la pensée du mystère de l'Incarnation, une prière de répara­tion, en souvenir de la Passion du Sauveur, une prière d'action de grâces, en pensant aux mystères glorieux qui continuent de se reproduire incessamment par l'entrée au ciel des élus.(…)

    Pour mieux voir ce que doit être le Rosaire, il faut se rappeler comment saint Dominique l'a conçu sous l'inspiration de la Sainte Vierge, à un moment où le midi de la France était ravagé par l'hérésie des Albigeois, imbus des erreurs manichéennes, qui niaient la bonté infinie et la toute-puissance de Dieu, par l'affirmation d'un principe du mal souvent victorieux.

    Ce n'était pas seulement la morale chrétienne qui était attaquée; mais le dogme, les1258613539.jpg grands mystères de la création, de l'Incarnation rédemptrice, de la descente du Saint-Esprit, de la vie éternelle à laquelle nous sommes tous appelés.

    C'est alors que la Sainte Vierge fit connaître à saint Dominique un mode de prédication inconnu jusqu'alors, qu'elle lui affirma être pour l'avenir une des armes les plus puissantes contre l'erreur et l'adversité. Arme très humble, qui fait sourire l'incrédule; car il ne comprend pas les mystères de Dieu.

    Sous l'inspiration qu'il avait reçue, saint Dominique s'en allait par les villages hérétiques, rassemblait le peu­ple, et il prêchait sur les mystères du salut, sur ceux de l'Incarnation, de la Rédemption, de la vie éternelle. Comme le lui avait inspiré Marie, il distinguait les divers mystères joyeux, douloureux et glorieux. Il prêchait quel­ques instants sur chacun de ces quinze mystères, et après la prédication de chacun, il faisait réciter une dizaine d'Ave Maria, un peu comme on prêche aujourd'hui l'heure sainte en plusieurs parties intercalées de prières ou de chants religieux.

    Alors ce que la parole du prédicateur ne parvenait pas à faire admettre, la douce prière de l'Ave Maria l'insi­nuait au fond des cœurs. Ce genre de prédication fut des plus fructueux.(…)

    Si nous vivons de cette prière, nos joies, nos tristesses et nos espoirs seront purifiés, élevés, surnaturalisés; nous verrons de mieux en mieux, en contemplant ces mystères, que Jésus, notre Sauveur et notre modèle, veut nous assi­miler à lui, nous communiquer d'abord quelque chose de sa vie d'enfance et de sa vie cachée, puis quelque ressem­blance avec sa vie douloureuse, pour nous faire participer ensuite à sa vie glorieuse pour l'éternité. »

    Ici :  Octobre: mois du Rosaire.