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Lunch-débat avec le Professeur Louis-Léon Christians (UCL):
LA RELIGION EN DROIT COMPARÉ À L’AUBE DU XXIe SIÈCLE
Pour conclure son cycle de rencontres 2011-2012, l’Union des Etudiants catholiques de Liège et le Groupe « Ethique sociale » organisent avec le Forum de conférences « Calpurnia », ce mercredi 20 juin à 18h., un lunch-débat sur « La religion en droit comparé, à l’aube du XXIe siècle » et présenteront ensuite le programme du cycle prévu pour la prochaine année académique.
La parole sera donnée à Louis-Léon CHRISTIANS, professeur de droit des religions à la Faculté de Théologie de l’Université Catholique de Louvain (U.C.L.), avec cinq thèmes de questions traitant de la situation des religions sur notre continent : Quelles sont les grandes typologies traditionnelles du régime des cultes en Europe ? Sont-elles dépassées ? Sur les concepts de la sphère religieuse aujourd’hui : quelles sont les convergences et les divergences entre les Etats européens ? Les solutions des droits étrangers sont-elles importables ? Quels sont les grands enjeux juridiques de l’avenir des religions ?
Réponse au lunch-débat du mercredi 20 juin prochain à 18 heures à l’Université de Liège, place du XX août, 7, 1er étage (salle des professeurs). Accès par la grande entrée, parcours fléché. Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h30. P.A.F :10 € (à régler sur place). Inscription obligatoire trois jours à l’avance par tél. 04.344.10.89 ou e-mail à info@ethiquesociale.org
L’Union des Etudiants Catholiques de Liège est membre de l’asbl « Sursum Corda » vouée à la sauvegarde de l’église du Saint-Sacrement, aux activités de laquelle l' "Union" est étroitement liée.
500 fidèles ont célébré la Fête-Dieu au Boulevard d’Avroy
Cinq cents fidèles se sont retrouvés ce samedi 9 juin 2012 à Liège, dans l’église du Saint-Sacrement pour la Solennité de la Fête-Dieu (célébrée selon la forme extraordinaire du rite romain) et pour la procession qui s’est ensuite déroulée au Boulevard d’Avroy et dans les rues adjacentes. Beaucoup de ferveur dans la foule venue essentiellement de Liège et de sa grande banlieue mais aussi de Verviers, de Banneux et même de Malmedy. Du panache avec l’Harmonie de Montzen, les superbes bannières et le dais du Saint-Sacrement apportés par les paroisses de Vottem et de Grand-Halleux. Sans oublier les chants grégoriens de la Schola Cantorum de Roermond (Pays-Bas) ni Gauthier Bernard, un jeune organiste de talent (titulaire des orgues de l’église Sainte Julienne à Verviers) et sans compter le dévouement de tous ceux qui se sont impliqués dans l'organisation de la fête...
C’est le Doyen de Liège-Centre, le chanoine Eric de Beukelaer, qui prononça l’homélie de la messe. Voici le texte de sa prédication :
«Ceci est mon corps… Ceci est mon sang, le sang de l’alliance, répandu pour la multitude». (Marc 14, 12-26)
Le dimanche de la fête du Corps et du Sang du Christ – appelée communément « la Fête-Dieu – est d’origine liégeoise et remonté au XIIIe siècle. Comme le rappela le pape Paul VI en 1965 : « elle fut célébrée la première fois au diocèse de Liège, spécialement sous l’influence de la Servante de Dieu, sainte Julienne du Mont-Cornillon, et Notre Prédécesseur Urbain IV l’étendit à l’Eglise universelle » (encyclique Mysterium Fidei n°63). Il est donc juste que dans notre bonne ville de Liège, ce dimanche de la Fête-Dieu soit particulièrement honoré.
Je remercie le Comité organisateur de m’avoir invité à prêcher en cette occasion. Car ce n’est pas avant tout l’abbé de Beukelaer, mais le Curé-Doyen qui prêche. Or, qui a-t-il de plus connexe que la célébration de l’Eucharistie et l’apostolat du Curé ? Sans doute que celui qui avait le mieux compris cela, fut le curé d’Ars. Quand il avait un trou de mémoire lors de ses sermons, celui-ci se contentait de désigner le tabernacle en s’écriant : « Mes amis… Il est là ! Il est là ! » Tout était dit et je pourrais me contenter de l’imiter. Mais – comme je n’ai pas la capacité de conviction du Saint Curé – je vais tout de même poursuivre encore un peu. En cette fête de l’adoration eucharistique, arrêtons-nous donc sur le sens de tout cela. Qu’est-ce que l’Eucharistie et pourquoi l’adoration?
Parlons d’abord de l’Eucharistie. L’Eucharistie est un sacrement. Un sacrement est un acte liturgique – un ensemble de gestes et de paroles – qui nous donne de vivre une communion avec le Ressuscité. Dans chacun des sept sacrements, l’événement de Pâques est rendu présent par la force de l’Esprit, afin de nous conduire vers le Père. L’Eucharistie est le sacrement qui dit, par excellence, la vie de l’Eglise. Où un baptisé trouvera-t-il la force de demeurer fidèle au Christ dans un monde où tant de choses en éloignent? En se nourrissant du Ressuscité lui-même, qui se donne avec Son Corps et son Sang. En communiant, nous sommes nourris du Christ qui se donne pour l’humanité, afin de devenir à notre tour présence du Christ pour le monde. Reçue au sein de l’Eglise, l’Eucharistie crée aussi l’Eglise en nous rendant « Christophores », c’est-à-dire porteurs du Christ. Comme l’enseignait saint Augustin aux chrétiens qui participaient à l‘Eucharistie : « Chrétien, deviens ce que tu contemples, contemple ce que tu reçois, reçois ce que tu es : le Corps du Christ ».
Devenir « Corps du Christ », ce n’est pas rien. Dans son ouvrage Corpus Mysticum, le cardinal de Lubac a démontré que – durant le premier millénaire – quand on parlait du « verum Corpus », on ne visait pas l’Eucharistie, mais bien l’Eglise. Cela signifiait que la « vérité entière », le déploiement plein, du mystère de l’incarnation, se révélait dans le Christ présent par l’Eglise dans tous les peuples et à tous les siècles. Le « mysticum Corpus » désignait, lui, l’Eucharistie – non pas dans le sens de « simplement mystique et donc pas vraiment réel » – mais bien dans le sens présence sacramentelle – mysterion (mystique) étant le mot grec pour sacramentum.
Donc – et très concrètement – le Christ qui se donne sacramentellement dans l’Eucharistie, ne peut être reçu vraiment – en vérité – que par celui accepte de se laisser transformer par l’Esprit pour devenir « présence du Christ pour le monde ». Exemple « comique » vécu : quand j’étais au séminaire, certains d‘entre nous avaient d’interminables querelles pour savoir s’il fallait recevoir la communion sur la langue ou sur la main. Je ne dis pas que cette question est sans importance et que chacun ne peut pas avoir son avis. Mais à force de se focaliser sur cela et s’épier l’un l’autre… nous oubliions totalement ce que nous faisions : recevoir le Christ pour devenir Christophores. Nous faisions mentir l’Eucharistie, en faisant de la forme de réception des saintes Espèces une cause de division et de murmures. Ce que nous ne comprenions pas, c’est que l’Eucharistie est – par excellence – le sacrement du sensus ecclesiae, du sens de l’Eglise. Devenir eucharistique, c’est accepter de mettre en poche ses préférences liturgiques, sa spiritualité personnelle, ses préférences d’hommes d’Eglises, etc… pour recevoir l’Eglise, telle qu’elle se donne à nous. L’Eglise m’invite à aimer et à prier pour les prêtres et les évêques que Dieu nous donne. Même si un baptisé n’est pas toujours sur la même longueur d’onde que son curé, ou que son évêque – ce dernier n’en demeure pas moins le pasteur que Jésus lui envoie. Je suis donc invité à prier pour ce pasteur, à l’aimer et à loyalement collaborer avec lui. A quoi cela sert-il de communier, si – en quittant l’Eglise – je m’empresse de critique le sermon, les chants, les autres paroissiens ? « Chrétien, deviens ce que tu reçois… le corps du Christ ». Recevoir le Corps du Christ, ce n’est pas « avoir eu sa Messe » pour être en règle et puis vivre en ennemi de l’Amour. Recevoir le Corps du Christ, c’est laisser l’Esprit donner corps au Christ à travers notre humanité et – ce faisant – de prendre notre part, selon notre vocation et charismes, à ce grand corps du Christ – qui est l’Eglise. Devenons donc ce que nous recevons.
Parlons ensuite de l’adoration. La prière devant le Saint-Sacrement est née à une époque où peu de fidèles communiaient. D’où le désir de « voir » le don de Dieu. Ceci explique l’attachement à cette forme de prière qu’éprouvent – aujourd’hui encore – ces baptisés qui se trouvent dans une situation canonique ou personnelle qui les empêchent de communier. Mais l’adoration eucharistique est pour tous les fidèles. En effet, « adorer » le Christ-Eucharistique, c’est se laisser transformer par l’Eucharistie. L’adoration nous révèle à nous-mêmes que nous sommes appelés à être des adorateurs, car notre vocation est d’être le temple de Dieu, par la force de l’Esprit – à l’instar de la Vierge Marie. En effet, si la célébration eucharistique est proche du mystère de l’annonciation (Dieu visite son peuple), l’adoration eucharistique est connexe au mystère de la visitation. La visitation d’un Dieu qui dit : « Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. » (Apocalypse 3:20) Ou plus simplement, ces paroles du vieux paysan au curé d’Ars, qui lui demandait pourquoi il contemplait si longuement le Saint-Sacrement : « je l’aveuse et Il m’aveuse ». (Traduction libre : Je le scrute et Il me scrute »)
De plus, l’adoration dilate notre cœur aux dimensions de l’Eglise. Celui qui adore le Saint-Sacrement, se laisse remplir du Christ qui nourrit son Eglise. Il prie avec toute l’Eglise, une en Christ mais divisée en ses membres. Il prie avec toute l’Eglise, sainte en Christ mais pécheresse en ses membres. Il prie avec toute l’Eglise, catholique en Christ mais si peu universelle en ses membres. Il prie avec toute l’Eglise, apostolique en Christ mais si sourde à leur enseignement en ses membres : « Chacun de vous prend parti en disant : « Moi, j’appartiens à Paul », ou bien : « J’appartiens à Appollos », ou bien : « J’appartiens à Pierre » » (1 Cor 1, 12). Non seulement l’adoration Eucharistique dilate notre cœur aux dimensions de l’Eglise, mais elle le dilate même par-delà ses horizons, en nous pressant à aimer – jusqu’à ceux qui se moquent : « Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persécutent » (Matthieu 5, 44). Et puis, comment adorer le Christ qui nourrit son peuple de l’Eucharistie, sans à notre tour nourrir ceux qui ont faim ? « En vérité je vous le dis, dans la mesure où vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait » (Matthieu 25, 40). Voilà pourquoi, par une procession en ce jour, cet esprit d’adoration peut aussi se vivre le long des rues de notre Cité ardente. Vivons cette démarche publique, non pas comme un moment d’affirmation agressive de notre foi, mais telle une visitation que le Seigneur fait à sa bonne ville de Liège. Adorons donc ce que nous contemplons et devenons ce que nous recevons: le Corps du Christ. Amen.
prêchée par le Chanoine Éric de Beukelaer, Doyen de Liège (rive gauche)
suivie de la
PROCESSION AU CENTRE-VILLE
(Boulevard d’Avroy- Quartier Jardin Botanique)
La Solennité de la Fête-Dieu sera célébrée (selon le missel de 1962) le samedi 9 juin prochain à 16 heures, en l’église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132), avec la participation de plusieurs prêtres diocésains et c’est le Chanoine Éric de Beukelaer, Doyen du Centre-Ville, qui assurera la prédication de cette messe. La Schola Cantorum de Roermond (Pays-Bas) dirigée par Cyriel Tonnaer, un ensemble vocal talentueux qui se produit notamment dans le cadre du célèbre Festival international de Chant grégorien de Watou. prêtera son concours à la cérémonie. A l'orgue Thomas du Saint-Sacrement: Gauthier Bernard.
Comme l’an dernier, la procession du Saint-Sacrement se déroulera ensuite dans le quartier d’Avroy, avec le concours de la Schola Cantorum et de l’Harmonie du Royal Cercle Musical Saint-Georges de Montzen: départ de l’église du Saint-Sacrement vers 17h15. Itinéraire : Boulevard d’Avroy, Rue Sainte-Marie, Square Lejeune, Rue Louvrex, Rue Darchis et retour au Boulevard d’Avroy (pour la bénédiction finale à l’église du Saint-Sacrement). La fête est ouverte à tous. Ce n’est ni un simple spectacle, ni une parade folklorique mais la proclamation publique d’une bonne nouvelle : oui, sous ces humbles apparences du pain et du vin, Jésus a voulu demeurer vivant aujourd’hui encore dans et pour ce monde, tous les jours et jusqu’à la fin des temps.
Cette célébration festive, aujourd’hui universelle, est née au diocèse de Liège en 1246, sous l’impulsion de sainte Julienne de Cornillon et d’Ève de Saint-Martin. Elle fut étendue au monde entier en 1264 et la procession qui suit la messe instituée quelque cinquante ans plus tard (1318). À Liège, berceau de la fête, cette procession avait disparu dans les années 1970 mais, voici trois ans, un comité issu d’un groupe de jeunes a vu le jour pour la faire renaître au cœur de la Cité ardente, dans le quartier Avroy-Jardin botanique et propose, à tous les Liégeois et aux autres d’y participer à nouveau cette année, selon l’itinéraire susmentionné.
Gauthier Bernard, « un musicien pas comme les autres » : voilà comment les journaux sud presse en parlent sur leur site.
On pourra l’entendre le samedi 9 juin 2012 l’église du Saint-Sacrement à Liège où ce jeune organiste accompagnera notamment le kyriale grégorien dela Messe solennelle dela Fête-Dieu (16 heures) : un art qu’il pérennise aussi…
Né à Verviers en 1984, Gauthier à 10 ans lorsqu’il est attiré par le « roi des instruments », grâce à son grand-père paternel (organiste et compositeur). Lui, qui alors pianotait déjà, se lance dans la musique : l’orgue puis l’écriture, le basson, le carillon et le piano auprès de P. Wilwerth, A. Froidebise, J. Gilet, P. Uyttebrouck, A. Cremers, G. Westfald, J-C Michallek…
Second prix du concours Dexia en composition ainsi que 2 fois lauréat de L’Epreuve Nationale d’Interprétation au carillon (en France), il est premier basson de l’orchestre Jean-Noël Hamal ainsi que membre de l’orchestre Convivium et fréquemment dans l’orchestre de le Choeur universitaire de Liège.
Titulaire des orgues de Sainte Julienne à Verviers et du carillon dela Collégialede Huy, il s’y produit fréquemment en concert ainsi que sur d’autres instruments (l’église des Bénédictines à Liège, la cathédrale
Saints Michel et Gudule à Bruxelles, la salle philharmonique de Liège, l’église Saint Antoine à Verviers ou l’église Notre Dame du Finistère à Bruxelles). Il se perfectionne lors de stage à l’étranger auprès de P. Kerremans et F. Vaudray.
Le jeune musicien est marqué par des compositeurs comme Sweelinck, Bach, Franck, Tournemire ou Messiaen. Une rencontre importante dans sa vie d’artiste fut celle de Jean-Pierre Leguay, organiste à Notre-Dame de Paris, dans le cadre d’un travail d’analyse qu’il a réalisé.
Imprégné par la musique jusqu’au bout des ongles, Gauthier Bernard est avide de découvertes et de recherches sur des compositeurs connus ou non. Il se destine à l’enseignement, la composition et une vie de concertiste active.
La Schola Cantorum du Ward Instituut de Roermond
(Limbourg néérlandais)
Voici comment elle se présente elle-même, sur son propre site web : Les 30 membres de la Schola sont tous originaires des régions du Limbourg et du Brabant néérlandais. Chacun d’eux est plein d’enthousiasme pour le chant grégorien.
Tous les membres suivent de manière active les dernières recherches sémiologiques, ce qui fait que la conception dans l’exécution des chants témoigne des nouvelles pratiques mélodiques et rythmiques, tout en respectant les interprétations des anciens manuscrits médiévaux.
La Schola fut fondée en 1964 à l’initiative de Joseph LENNARDS, directeur de l’ancien Institut Ward. De 1979 à 2008 le chef de chœur fut M. Louis KREKELBERG, auquel a succédé aujourd‘hui.Cyriel TONNAER.
La Schola n’est liée à aucune aucune autorité communale ou paroisse. Son premier objectif la est de stimuler l ‘intérêt du public pour le chant grégorien, se combinant parfois à des chœurs à voix mixtes pour témoigner des rapports intimes entre chants religieux polyphoniques, trouvant leur base dans la plupart des cas dans le chant grégorien.La Scholaaime se présenter lors des grands festivals de musique religieuse, tel que celui de Watou en 2003. Elle a produit de nombreux et excellents disques de chant grégorien
La Fête-Dieu aussi pour les enfants :
La Petite Julienne et le Pain de Vie
Un album de Jacques Galloy illustré par Anne Junker, disponible à l’église du Saint-Sacrement le samedi 9 juin à 16h. Ce bel album illustré raconte aux plus jeunes l’enfance de Sainte Julienne de Cornillon, par laquelle le Christ a demandé à l’Église d’honorer son Corps et son Sang lors de la Fête-Dieu.
Résumé
Si de nombreux fidèles catholiques honorent chaque année la fête du Saint Sacrement, l’étonnante histoire de celle qui conduisit l’Église à la célébrer n’est pas toujours très connue. Orpheline de père et de mère dès son plus jeune âge, Julienne de Cornillon trouve sa plus grande consolation dans la proximité avec l’Eucharistie, à la présence de laquelle elle est très sensible et assidue. Le Christ devient ainsi son meilleur ami. C’est alors qu’ellereçoit de Lui les premières révélations sur l’importance du Sacrement de son Corps et de son Sang et sur la dévotion particulière que l’Eglise devrait lui montrer : « Beaucoup oublient que Je suis présent dans le pain et le vin. Je suis réellement à vos côtés chaque jour. Je désirerais que vous célébriez cela de manière plus particulière une fois par an. Ce sera la Fête-Dieu ». Ce beau récit illustré sensibilisera le coeur des plus jeunes à la réalité de la présence réelle du Christ dans le pain et le vin consacrés.
Points forts
- Des illustrations expressives et colorées.
- Un outil d’éveil à la foi et à l'Eucharistie
- Une idée de cadeau, en particulier pour la première communion.
- Benoît XVI a récemment développé l'histoire de Sainte Julienne : “Je voudrais affirmer avec joie qu'il y a aujourd'hui dans l'Eglise un «printemps eucharistique»”.
Public: Enfants de 6-10 ans. Parents, grands-parents, parrains, marraines, catéchistes et instituteurs.
Les auteurs:
Jacques Galloy est marié et père de 5 enfants, il est actuellement responsable des jeunes de l'Emmanuel en Belgique et directeur financier d'un groupe de solutions informatiques pour la télévision.
Anne Junker est infographiste et illustratrice, diplômée de Ecole supérieure des Arts Saint-Luc et d'un master d'illustration à l'académie des Beaux-Arts de Liège. Retrouvez ses productions sur anneblog.illustrateur
Le prix : 10 €
Pour plus d’informations, contacter : Marie Blétry – Éditions de l’Emmanuel - Relations pressembletry@editions-emmanuel.fr