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Eglise du Saint-Sacrement à Liège - Page 188

  • Quand l'Université s'intéresse au chant grégorien:

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    De la théorie à la pratique 

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    Doyen émérite de la Faculté de Philosophie, Arts et Lettres de l’Université Catholique de Louvain , Paul-Augustin Deproost y enseigne la littérature latine et l’explication d’auteurs latins de l’antiquité à la Renaissance. Il est aussi un amateur et un praticien du chant grégorien puisqu’il préside l’Association Una Cum et dirige le chœur du même nom qui chante chaque dimanche la messe dans la forme extraordinaire du rite romain dans la chapelle du Sacré-Cœur de Lindthout à Bruxelles. Le professeur Deproost est interviewé ici par Jacques Zeegers, président de l’Académie belge de Chant grégorien (http://www.gregorien.be) pour la revue « Canticum Novum » ( n° 60)

    Qu’est-ce qui vous attire dans le chant grégorien ?

    Je suis attiré à la fois par l’aspect spirituel et l’aspect esthétique du chant grégorien.

    Sur le plan spirituel, le grégorien est la prière chantée de l’Eglise. Pour les croyants, la liturgie est le plus grand hommage que l’on  puisse rendre à Dieu. Le grégorien fait partie de cette liturgie et s’y intègre parfaitement. Il confère un développement musical à la prière et à la louange. Dans toutes les religions, le culte que l’on rend à la divinité se fait à travers la prière chantée. Dans l’Eglise catholique, le grégorien est sans doute la forme la plus aboutie de cette prière qui monte vers Dieu. Ce qui m’attire aussi beaucoup dans le chant grégorien, c’est qu’il s’agit d’un texte chanté, celui de la Parole de Dieu. Il existe un lien ontologique entre la musique et ce texte. En tant que philologue, c’est évidemment une particularité à laquelle je suis spécialement attaché.

    Sur le plan de l’esthétique, ce qui m’a toujours attiré dans le chant grégorien est son lien avec la tradition. C’est un chant qui hérite de tout un passé, de toute une culture qu’elle soit musicale ou poétique. On y trouve des éléments propres au chant synagogal, mais aussi des éléments de l’antiquité tardive ou du chant byzantin. Il est le résultat de la fusion de toute une série de formes de chant notamment le romano-franc. C’est aussi un chant de tradition car il est fondateur de toute notre musique occidentale, tant religieuse que profane. Ainsi, la première chanson populaire française connue, celle du Roi Renaud (Le Roi Renaud de guerre revint) est basée sur l’Ave Maris Stella. C’est un exemple que je donne souvent à mes étudiants lorsque j’évoque devant eux le lien entre la poésie liturgique et le développement des langues vernaculaires au moyen âge.

    Comment, en tant que professeur à l’UCL en langues classiques, percevez-vous l’attitude des jeunes par rapport au chant grégorien ? Pensez-vous qu’il y a un « fossé culturel » ? Même chez les étudiants en langues classiques ?

    Je dois malheureusement répondre par l’affirmative. Dans le cadre de mon enseignement, je n’ai pas beaucoup l’occasion de leur parler du chant grégorien, sauf dans un cours intitulé « Explication d’auteurs latins de l’antiquité tardive et du haut moyen âge » et dans ce cadre, je lis souvent des textes poétiques. Comme à cette époque-là, c’est évidemment la poésie chrétienne latine qui est la plus représentée, cela me permet de leur faire entendre de temps en temps des pièces grégoriennes fondées sur cette poésie, comme par exemple des hymnes de saint Ambroise ou de Venance Fortunat. Ils écoutent toujours avec beaucoup d’attention et aussi d’étonnement car cela ne correspond pas du tout aux standards musicaux qu’ils connaissent ou pratiquent. Ils perçoivent cela comme quelque chose de curieux. Ce qu’ils en font après, je l’ignore.

    Quant au fossé culturel, il est évident. Un jour, j’ai présenté un texte qui évoquait l’Ascension du Christ et je leur ai demandé ce que cela leur disait. Personne ne savait de quoi il s’agissait. La seule réponse que j’ai eue était : «l’année passée, il me semble que c’était un jeudi ... ». En réalité, ce fossé est beaucoup plus large que la simple méconnaissance du chant grégorien. Il est lié à la pratique même de la religion et à son contenu culturel. Je collabore avec une université française qui a mis en place un Master de formation au fait religieux. Il vise à enseigner aux jeunes le contenu culturel de la religion dans la mesure où ils ne parviennent plus à comprendre toute une partie de la culture occidentale. Lorsqu’ils se trouvent par exemple devant un personnage ailé à genoux devant une jeune femme, ils ne savent pas que cela représente l’Annonciation. On doit leur expliquer le beaba de la culture religieuse. A la limite, cela n’a rien à voir avec la foi.

    Ce sont donc les musicologues qui vont sauver le chant grégorien ....

    C’est un peu paradoxal, mais c’est exact. Le chant grégorien n’a peut-être jamais été aussi populaire qu’aujourd’hui, mais malheureusement pas dans l’Eglise. Il l’est peut-être dans les églises, mais dans le cadre de concerts, pas dans celui de la liturgie. Ou alors, il s’agit d’une sorte de pseudo-liturgie archéologique, un chant qui attire du monde mais pas dans le cadre de la liturgie vivante.

    Le chant grégorien est construit sur la langue latine. De quel latin s’agit-il ?

    téléchargement (5).jpgIl faut distinguer le chant qui paraphrase le texte biblique et le chant qui accompagne des créations musicales comme les hymnes. Pour les textes bibliques, il s’agit généralement, mais pas toujours, de ce qu’on appelle la Vulgate, c'est-à-dire la traduction latine effectuée par Saint Jérôme entre la fin du 4e et le début du 5èmesiècle et qui a été imposée en Occident par Charlemagne pour les lectures de la liturgie au 9ème siècle. Entre ces deux périodes, les textes de la Vulgate ont coexisté avec ce qu’on appelle les versions vielles-latines. Au début, c’est plutôt le vieux latin qui a prédominé. Saint Augustin a notamment critiqué l’initiative de Saint Jérôme. En particulier, pour l’Ancien Testament, la version « vieille latine » était en fait la version latine de la traduction grecque dite des Septante, considérée comme l’Ancien Testament de l’Eglise ancienne, et bénéficiant donc d’une autorité inspirée qui en faisait un substitut de la Bible hébraïque [1]. Elle a été progressivement supplantée par la Vulgate.

    Même si le répertoire grégorien s’est surtout développé à partir de l’époque carolingienne dans la fusion des répertoires romano-francs, et donc à une période où la Vulgate était devenue la référence textuelle de la Bible, on retrouve cependant aussi dans le grégorien un certain nombre de textes en vieux-latin parce qu’ils ont été composés sur cette base. C’est notamment le cas de l’Introït de la messe du jour de Noël « Puer natus est », qui ne correspond pas au texte vulgate d’Is 9, 6. S’il avait fallu modifier le texte, il aurait aussi fallu modifier la musique.

    Pour les textes non bibliques, notamment les hymnes, le latin utilisé est celui detéléchargement (4).jpg l’antiquité tardive (du 3ème au 5ème siècle). C’est du latin classique à la base, mais qui est très fleuri, avec des recherches rhétoriques ou linguistiques, des formes paradoxales, des litotes etc. Il s’agit d’une poésie très élaborée qui s’inspire des principes rhétoriques de l’antiquité. D’où, bien sûr la difficulté de les traduire pour les non spécialistes. Les hymnes de Saint Ambroise, par exemple,  paraissent à première vue très épurés, très classiques, très équilibrés, mais quand il s’agit de les traduire, il faut ajouter des mots et aussi en comprendre le sens théologique. Il s’agit vraiment de rhétorique, c’est-à-dire de l’art d’exprimer les choses, de les mettre en valeur de manière littéraire.

    Il y a aussi des pièces beaucoup plus tardives, comme celles écrites par Saint Thomas, mais là, il s’agit de savoir jusqu’où va le chant dit grégorien. Des pièces ont encore été écrites à la renaissance ou même au 19ème siècle. Dans de telles pièces, on retrouve le latin de l’époque où elles étaient composées. Chez Saint Thomas, il s’agit d’un latin plus théologique, comme dans le « Lauda Sion » où on retrouve une poésie très abstraite.

    Il ne faut pas confondre la Vulgate avec la Néo-vulgate née d’une initiative du Pape Paul VI dans la foulée de la réforme liturgique. Il a voulu réviser le texte latin de la Bible à partir de la Vulgate de Saint-Jérôme, en s’appuyant sur des éditions critiques des textes grec, hébreu, latin et accessoirement orientaux, en vue de proposer une nouvelle édition normative de la Bible latine à usage liturgique. Le problème de cette nouvelle version latine de la Bible est qu’elle n’est en rien portée par une Tradition textuelle et liturgique ; il s’agit d’une entreprise de restauration artificielle d’un texte qui n’a jamais existé en l’état ; par ailleurs, le tout au vernaculaire aidant, cette version n’a jamais été utilisée, si ce n’est dans les lieux où l’on pratique le rite ordinaire en latin, comme, par exemple à Solesmes, où la Néo-Vulgate est le texte du lectionnaire et de la psalmodie dans la liturgie des heures.

    Propos recueillis par Jacques Zeegers

     

     [1] Traduction grecque du texte hébreu de la Torah effectuée au 3ème siècle avant Jésus-Christ.  La légende veut que les traductions effectuées séparément par 72 savants se soient révélée en tous points identiques.

     

  • Révisons notre catéchisme :

     

    paque.jpgQuand Benoît XVI exposait le dogme du péché originel

     

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    Pour Benoît XVI, ce dogme du péché originel, l’un des plus négligés et niés aujourd’hui, est d’une « évidence écrasante »: sans lui, a-t-il dit, la rédemption chrétienne « perdrait sa base ».  Voici un large extrait de sa catéchèse sur ce point :


    1. D’où vient le mal ?

     « Il suffit de regarder autour de nous et surtout en nous. L’expérience du mal est si concrète qu’elle s’impose d’elle-même et nous amène à nous demander: d’où vient le mal? Pour un croyant, en particulier, la question va encore plus loin: si Dieu, qui est la Bonté absolue, a tout créé, d’où vient le mal?

    A cette question fondamentale, qui interpelle chaque génération humaine, les premières pages de la Bible (Genèse 1-3) répondent justement par le récit de la création et de la chute de nos premiers parents. Dieu a tout créé pour l’existence, il a notamment créé l’homme à son image. Il n’a pas créé la mort, elle est entrée dans le monde à cause de la jalousie du diable qui, révolté contre Dieu, a aussi entraîné les hommes dans le piège en les incitant à la révolte (cf. Sagesse 1, 13-14; 2, 23-24).

    C’est le drame de la liberté, que Dieu accepte jusqu’au bout par amour, mais en promettant que le fils d’une femme écrasera la tête à l’antique serpent (Genèse 3, 15). »  (…).   

    « On ne peut donc pas nier le pouvoir du mal dans le cœur humain et dans l'histoire humaine. La question est: comment ce mal s'explique-t-il ? » . Voici:

    2. Pour les païens antiques et modernes, le bien et le mal sont indissolublement à la racine de l’être.

    « Il y a dans l'histoire de la pensée, en dehors de la foi chrétienne, un modèle principalimages (5).jpg d'explication avec différentes variations. Selon ce modèle, l'être lui-même est contradictoire, il porte en lui le bien comme le mal.

    Dans l'antiquité, cette idée impliquait l’existence de deux principes également originels: un principe bon et un principe mauvais. Ce dualisme serait insurmontable; les deux principes étant au même niveau, il y aura toujours cette contradiction, dès l'origine de l'être. La contradiction de notre être ne refléterait donc, pour ainsi dire, que l’antagonisme des deux principes divins.

    Cette même vision revient dans la version évolutionniste, athée, du monde. Même si, dans cette conception, la vision de l'être est moniste, on suppose que l'être comme tel porte en lui, dès le début, le mal et le bien. L'être lui-même n'est pas simplement bon, il est ouvert au bien et au mal. Le mal est originel, comme le bien et l'histoire humaine ne développerait que le modèle déjà présent dans toute l'évolution précédente. Ce que les chrétiens appellent le péché originel ne serait en fait que le caractère mixte de l'être, un mélange de bien et de mal qui, selon cette théorie, appartiendrait à l'étoffe même de l'être. Au fond, c'est une vision désespérée: s'il en est ainsi, le mal est invincible. A la fin, seul l’intérêt propre compte.

    Chaque progrès se paierait nécessairement d’un fleuve de mal et celui qui voudrait servir le progrès devrait accepter de payer ce prix. Au fond, la politique est fondée précisément sur ces prémisses et nous en voyons les effets. Cette pensée moderne ne peut créer, en fin de compte, que la tristesse et le cynisme. »

    3. Pour les chrétiens : deux mystères de lumière enveloppent un mystère de nuit

    images (4).jpg « Alors nous nous demandons à nouveau: que dit la foi, témoignée par saint Paul? Tout d’abord, elle confirme le fait de la compétition entre les deux natures, le fait de ce mal dont l'ombre pèse sur toute la création. Nous avons entendu le chapitre 7 de la Lettre aux Romains, nous pourrions ajouter le chapitre 8. Le mal existe, simplement. Comme explication, la foi nous dit en opposition avec les dualismes et les monismes que nous avons examinés rapidement et trouvés désolants - qu’il y a deux mystères de lumière et un mystère de nuit, celui-ci étant toutefois enveloppé par les mystères de lumière.

     

    3.1. Un seul principe créateur sans l’ombre  du mal

    Le premier mystère de lumière est celui-ci: la foi nous dit qu'il n'y a pas deux principes, un bon et un mauvais, mais un seul principe, le Dieu créateur, et ce principe est bon, seulement bon, sans ombre de mal. L'être n'est donc pas non plus un mélange de bien et de mal; l'être comme tel est bon et c'est pourquoi il est bon d'être, il est bon de vivre.

    Voilà la joyeuse annonce de la foi: il n'y a qu'une source bonne, le Créateur. Vivre est donc un bien, il est bon d'être un homme, une femme, la vie est bonne.

    3.2. Le mal vient d’une liberté créée dont on a abusé

    Vient ensuite un mystère d'obscurité, de nuit. Le mal ne vient pas de la source de l'être43744089_p.jpg lui-même, il n'est pas également originel. Le mal vient d'une liberté créée, d'une liberté dont on a abusé.

    « Comment cela a-t-il été possible, comment est-ce arrivé? Ce point reste obscur. Le mal n'est pas logique. Seul Dieu et le bien sont logiques, sont lumière. Le mal reste mystérieux. On l'a représenté en grandes images, comme au chapitre 3 de la Genèse, avec cette vision des deux arbres, du serpent, de l'homme pécheur. Une grande image qui nous fait deviner, mais ne peut expliquer ce qui est en soi illogique. Nous pouvons deviner, pas expliquer; nous ne pouvons pas même le raconter comme un fait à côté de l’autre, parce que c'est une réalité plus profonde. Cela reste un mystère d'obscurité, de nuit.

    Mais tout de suite un mystère de lumière vient s'y ajouter. Le mal vient d'une source subordonnée. Dieu avec sa lumière est plus fort. Le mal peut donc être surmonté. C'est pourquoi la créature, l'homme, peut être guéri. Les visions dualistes et même le monisme de l'évolutionnisme ne peuvent pas dire que l'homme peut être guéri; mais si le mal ne vient que d'une source subordonnée, il reste vrai que l'homme peut être guéri. Et le Livre de la Sagesse dit: "Les créatures du monde sont salutaires" (1, 14 volg).

    3.3. Dieu s’introduit comme un fleuve de guérison dans l’histoire

    Dernier point: non seulement l'homme peut être guéri, mais il est guéri de fait. Dieu a introduit la guérison. Il est entré en personne dans l'histoire.

    A la source constante du mal il a opposé une source de bien pur. Le Christ crucifié et ressuscité, nouvel Adam, oppose au fleuve sale du mal un fleuve de lumière. Et ce fleuve est présent dans l'histoire: nous voyons les saints, les grands saints mais aussi les saints humbles, les simples fidèles. Nous voyons que le fleuve de lumière qui vient du Christ est présent, qu’il est fort. (…).La nuit obscure du mal est encore forte. C'est pourquoi, nous prions avec insistance: viens Jésus; viens, donne force à la lumière et au bien; viens là où règnent le mensonge, l'ignorance de Dieu, la violence, l'injustice; viens, Seigneur Jésus, donne force au bien dans le monde et aide-nous à être porteurs de ta lumière, artisans de paix, témoins de la vérité. Viens Seigneur Jésus! »

     (Extraits de la catéchèse du pape Benoît XVI lors des audiences générales du mercredi)

  • Liège et Malmedy: messes grégoriennes ce dimanche 6 octobre

     

    LIEGE 

     

    DIMANCHE 6 OCTOBRE 2013 À 10 HEURES

    EGLISE DU SAINT-SACREMENT

    Bd d'Avroy, 132, à Liège

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    MESSE DU PREMIER DIMANCHE DU MOIS

     

     

    Missel de 1962

    Vingtième Dimanche après la Pentecôte

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    Evangile de la guérison du fils du centurion (Jean, 4, 46-53)

    Propre grégorien de la messe «Omnia quae fecisti » 

    Parmi toutes les messes dominicales de l’automne liturgique, celle-ci est certainement la plus recueillie, toute empreinte de la nostalgie du ciel et des douleurs de l’exil, avec l’offertoire extrait du célèbre psaume 136 qui évoque l’exil du peuple juif à Babylone : « super flumina Babylonis », sur les bords des fleuves de Babylone nous étions assis et nous pleurions, nos harpes suspendues aux saules tandis que nous évoquions ton souvenir, Sion. L’Alléluia, particulièrement beau, évoque, en regard de la peine,  l’espérance : « paratum cor meum », mon cœur est prêt à recevoir le Seigneur à son retour ; nous touchons déjà les cordes pour célébrer l’éternel cantique de Pâques…

     

    Kyriale XI (XIVe siècle), Credo I (XIe siècle) 

    PAR LA SCHOLA DU SAINT-SACREMENT

    À L’ORGUE, PATRICK WILWERTH

    Professeur au Conservatoire de Verviers 

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    Livrets à votre disposition sur la table au fond de l’église pour suivre la messe

    Renseignements: sursum corda asbl 04.344.10.89 

    MALMEDY

    PREMIER DIMANCHE DU MOIS

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    PROCHAINE MESSE TRADITIONNELLE

    Célébrée en latin (missel de 1962) par M. l’abbé Jean SCHOONBROODT, Chapelain au Sanctuaire de Banneux et  à l’église du Saint-Sacrement à Liège

     

    DIMANCHE 6 OCTOBRE 2013 A 18 HEURES 

    EGLISE DES CAPUCINS

    Ruelle des Capucins à Malmedy

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    Ruelle des Capucins à 4960 Malmedy

     

    CELEBRATION DU VINGTIEME DIMANCHE APRÈS LA PENTECÔTE

    Evangile de la guérison du fils du centurion (Jean, 4, 46-53)

     

    Propre grégorien de la messe « Omnia qua fecisti nobis, Domine » (Seigneur, tout ce que tu as fait pour nous) et Kyriale XI « Orbis factor »

    Motets polyphoniques « Panis angelicus» (Claudio Casciolini, 1697-1760) et « Jesu, Salvator Mundi » (Menegali, circa 1700)

     Cantiques « Tandis que le monde proclame »» et «Maria zu lieben»

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    schola des capucins

    A l’orgue : Michèle Baron et Léonard Aussems

     

     

    Renseignements pour Malmedy : L. Aussems  tél. 080.33.74.85