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  • La fête des Rois au Saint-Sacrement

     

    A L’EGLISE DU SAINT-SACREMENT

     

     

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    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège 

     

     

     

    LE SAMEDI 9 JANVIER 2010 À 17 HEURES

     

     

     

    SOLENNITE DE L'EPIPHANIE

    procession à la crèche suivie de la messe 

     

     

     

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    célébrée selon le missel de 1962

     

     

     par l’abbé Claude GERMEAU

     

     

    animateur du foyer d’accueil des jeunes à Herstal (*)

     

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    LA SCHOLA LEODIENSIS

    dirigée par Michel JASPAR

     

     

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    interprétera

     

    LA MESSE BASSE DE GABRIEL FAURÉ (1907)

    pour chœur, solistes et orgue

     

    et

     

    SIX MOTETS POLYPHONIQUES

     POUR LE TEMPS DE NOËL

     

    de Félix MENDELSSOHN (1809-1847), Zoltán KODÁLY (1882-1967)Francis POULENC (1899-1963), Benjamin BRITTEN (1913-1976) et Morten LAURIDSEN (né en 1943)

     

    A L’ORGUE, Mutien-Omer HOUZIAUX

    Titulaire ém. à la cathédrale de Liège

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    Le Propre grégorien est assuré par la Schola du Saint-Sacrement

     

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     Après la Messe, partage de la galette des Rois

     

     

    Les choristes

     

    La Schola Leodiensis, d’abord appelée « schola academica leodiensis », est un ensemble vocal à voix mixtes, créé par Hubert Schoonbroodt. C’est Martine Niessen, organiste et pianiste, qui a repris en 1992, au décès d’Hubert Schoonbroodt, la direction du chœur constitué d’une quinzaine de chanteurs. La musique sacrée de toutes les époques constitue son répertoire principal, mais non exclusif. De nombreux concerts à Liège (cathédrale Saint-Paul, collégiale Saint-Denis), Verviers (église Saint-Antoine) ou Bruxelles (cathédrale des SS. Michel et Gudule) ont enrichi le curriculum vitae du groupe, auxquels il faut ajouter la collaboration avec l’ensemble orchestral mosan, sous la baguette de J.-P. Haeck (Vivaldi, Offenbach) ou la Second’Ora de Visé (Stabat Mater de Pergolèse, Missa brevis de Kodaly).

     

    Michel Jaspar a suivi des cours de chant au conservatoire de Liège puis à l’académie César Franck (Visé), unstage de direction chorale avec Thimothy Brown (1989) et des cours de direction chorale avec Pierre Cao, à l’école internationale de direction chorale de Namur (1989-1991). Il a aussi participe, comme basse, au chœur universitaire de Liège et au chœur symphonique de Namur. Il dirige l’ensemble « Schola Leodiensis » depuis 2004.

     

    Mutien-Omer Houziaux, titulaire ém. des orgues de la cathédrale de Liège, a mené une carrière de chercheur à l’Université de Liège où il fut maître de conférence. Linguiste de formation, il a notamment publié « Les œuvres musicales en latin chanté : à l’écoute des sonorités gallicanes »  préfacé par Arthur Bodson.

     

    Les Grégorianistes du Saint-Sacrement assurent le plain-chant de la messe dans cette église chaque premier dimanche du mois à 10 heures, de même que lors des principales fêtes liturgiques.

     

     

    les oeuvres interprétées

     

    De Gabriel Fauré, tout le monde connaît le célèbre Requiem ou le Cantique de Jean Racine. Sa « Messe basse » pour chœur, solistes et orgue, qui est chantée ici,  fut d’abord écrite en 1881 pour le village de Villerville en Normandie. La version définitive date de 1907. Elle est imprégnée de cette intériorité mélodique, marquée par le plain-chant, qui tint une place majeure dans l’éducation musicale et les fonctions liturgiques du compositeur. 

     

    Six motets polyphoniques sont également  inscrits au programme de la procession et de la messe : deux œuvres de Francis Poulenc « Magnum mysterium » et « Hodie Christus natus est », écrites dans les années 1950 après son retour à la foi catholique, illustrent l’alternance de gravité et de  fantaisie qui l’inspire. De Benjamin Britten, une mélodie évocatrice du mystère : « A boy was born » (1955) nous rappelle que ce compositeur fut l’un des plus grands de la seconde moitié du XXe siècle. « A Christmas carol » (1929) de Zoltán Kodály s’inscrit dans le fil de son inspiration qui transfigure, avec l’accent magyar, les chansons de la vie populaire ou les thèmes bibliques. Le « Magnum mysterium » (1994) de Morten Lauridsen nous vient des Etats-Unis où l’œuvre de ce compositeur classique d’ascendance danoise est l’une des plus jouées, enregistrées et diffusées à la radio. Enfin, « There shall a star come out of Jacob » est l’une des seules traces de l’oratorio inachevé « Christus » dont Félix Mendelssohn avait commencé la composition l’année même de sa mort (1847). Le génie musical de ce maître allemand de la période romantique fut célébré de son vivant même par toute l’Europe.

     

    Le propre grégorien de la messe est celui de l’Épiphanie : tour à tour ample et solennel (chant d’entrée « Ecce advenit », offertoire « Reges Tharsis »), joyeux et expressif (graduel « omnes de Saba venient ») clair et léger (alleluia et communion « vidimus stellam »). Le gloria et le credo, qui alternent avec le kyrie, le sanctus et l’agnus de la « messe basse » de Fauré, sont ceux des grandes messes festives (IV).

     

     

     

     

    QU'EST-CE QUE LA FÊTE DE L'EPIPHANIE ?

     

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    Dans les lignes qui suivent, le pape Benoît XVI nous explique le sens de cette fête, avec clarté et profondeur: 

     

     

     

    "La lumière qui à Noël a brillé dans la nuit, illuminant la grotte de Bethléem, où Marie, Joseph et les bergers demeurent, en adoration silencieuse, resplendit aujourd’hui et se manifeste à tous. L’Epiphanie est un mystère de lumière, représentée de manière symbolique par l’étoile qui a guidé le voyage des Rois mages. Toutefois, la vraie source de lumière, l’« Astre d’en haut qui vient nous visiter » (cf. Lc 1,78), c’est le Christ. Dans le mystère de Noël, la lumière du Christ rayonne sur la terre, en se diffusant comme par cercles concentriques. Avant tout sur la sainte Famille de Nazareth : la Vierge Marie et Joseph sont illuminés par la présence divine de l’Enfant Jésus. La lumière du Rédempteur se manifeste ensuite aux bergers de Bethléem qui, avertis par l’ange, accourent immédiatement à la grotte et y trouvent le « signe » qui leur avait été annoncé : un enfant enveloppé de langes et couché dans une mangeoire (cf. Lc 2,12). Les bergers, avec Marie et Joseph, représentent ce « reste d’Israël », les pauvres, les anawim, auxquels est annoncée la Bonne Nouvelle. L’éclat du Christ parvient enfin jusqu’aux Rois mages, qui constituent les prémices des peuples païens. Les palais du pouvoir de Jérusalem restent dans l’ombre et la nouvelle de la naissance du Messie y est annoncée paradoxalement par les Rois mages et suscite non pas la joie mais la crainte et des réactions hostiles. Mystérieux dessein de Dieu : « Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises » (Jn 3,19).

    Mais qu’est-ce que cette lumière ? Est-ce seulement une métaphore suggestive ou cette image correspond-elle à une réalité ? L’Apôtre Jean écrit dans sa Première Epître : « Dieu est Lumière, en lui point de ténèbres » (1 Jn 1,5) ; puis il ajoute : « Dieu est amour ». Ces deux affirmations, mises ensemble, nous aident à mieux comprendre : la lumière, apparue à Noël, et qui se manifeste aujourd’hui aux nations, est l’amour de Dieu, révélé dans la Personne du Verbe incarné. Les Rois mages arrivent d’Orient, attirés par cette lumière. Dans le mystère de l’Epiphanie, par conséquent, en plus d’un mouvement de rayonnement vers l’extérieur, se manifeste un mouvement d’attraction vers le centre qui achève le mouvement déjà inscrit dans l’Ancienne Alliance. La source d’un tel dynamisme est Dieu, Un dans la substance et Trine dans les Personnes, qui attire tout et tous à lui. La Personne incarnée dans le Verbe se présente ainsi comme le principe de réconciliation et de récapitulation universelle (cf. Ep 1,9-10). Il est le but ultime de l’histoire, le terme d’un « exode », d’un chemin providentiel de rédemption, qui culmine dans sa mort et sa résurrection. Pour cette raison, lors de la solennité de l’Epiphanie, la liturgie anticipe celle que l’on appelle l’« Annonce de Pâques » : l’année liturgique en effet, reprend toute la parabole de l’histoire du salut, au centre de laquelle se trouve le « Triduum du Seigneur crucifié, enseveli et ressuscité ». Dans la liturgie du Temps de Noël on retrouve souvent, comme refrain, ce verset du Psaume 97 : « Le Seigneur a fait connaître sa victoire et révélé sa justice aux nations » (v. 2). Ce sont des paroles que l’Eglise utilise pour souligner la dimension « épiphanique » de l’Incarnation : le Fils de Dieu qui se fait homme, son entrée dans l’histoire est le pinacle de l’auto-révélation de Dieu à Israël et à toutes les nations. A travers l’Enfant de Bethléem Dieu s’est révélé dans l’humilité de la « forme humaine », dans la « condition d’esclave », ou plutôt de crucifié (cf. Ph 2,6-8). C’est le paradoxe chrétien. C’est précisément le fait de se cacher qui constitue la plus éloquente « manifestation » de Dieu : l’humilité, la pauvreté, l’ignominie même de la Passion nous font découvrir comment Dieu est réellement. Le visage du Fils révèle fidèlement celui du Père. C’est pour cette raison que le mystère de Noël est, pour ainsi dire, toute une « épiphanie ». La manifestation aux Rois mages n’ajoute pas une chose étrangère au dessein de Dieu mais en révèle une dimension éternelle et constitutive : « Les païens sont admis au même héritage, membres du même Corps, bénéficiaire de la même Promesse, dans le Christ Jésus, par le moyen de l’Evangile » (Ep 3,6).

    La fidélité de Dieu à Israël et sa manifestation aux nations pourraient apparaître comme des aspects divergents entre eux à un regard superficiel ; en réalité ce sont les deux faces d’une même médaille. En effet, selon les Ecritures, c’est précisément en restant fidèle au pacte d’amour avec le peuple d’Israël que Dieu révèle également sa gloire aux autres peuples. « Grâce et fidélité » (cf. Ps 88, 2), « amour et vérité » (cf. Ps 84, 11) sont le contenu de la gloire de Dieu, son « nom », destiné à être connu et sanctifié par les hommes de toute langue et de toute nation. Mais ce « contenu » est inséparable de la « méthode » que Dieu a choisie pour se révéler, celle de la fidélité absolue à l’alliance, qui atteint son sommet en Jésus Christ. Le Seigneur Jésus est, dans le même temps et de manière inséparable, « lumière pour éclairer les nations païennes, et gloire d’Israël [son] peuple » (Lc 2,32), comme s’exclamera le vieux Siméon, inspiré par Dieu, en prenant l’Enfant dans ses bras, lorsque ses parents le présenteront au temple. La lumière qui éclairent les nations - la lumière de l’Epiphanie - provient de la gloire d’Israël, la gloire du Messie né, selon les Ecritures, à Bethléem « ville de David » (Lc 2,4). Les Rois mages ont adoré un simple Enfant dans les bras de sa Mère Marie car en Lui ils ont reconnu la source de la double lumière qui les avait guidés : la lumière de l’étoile et la lumière des Ecritures. Ils ont reconnu en Lui le Roi des Juifs, gloire d’Israël, mais aussi le Roi de toutes les nations. Dans le contexte liturgique de l’Epiphanie se manifeste également le mystère de l’Eglise et sa dimension missionnaire. Celle-ci est appelée à faire resplendir dans le monde la lumière du Christ, en la reflétant en elle-même comme la lune reflète la lumière du soleil. Les anciennes prophéties concernant la ville sainte de Jérusalem, comme la magnifique prophétie d’Isaïe, que nous venons d’entendre, se sont réalisées dans l’Eglise : « Debout, Jérusalem ! Resplendis : elle est venue, ta lumière, (...) Les nations marcheront vers ta lumière, et les rois, vers la clarté de ton aurore et la gloire du Seigneur s’est levée sur toi » (Is 60, 1-3). C’est ce que devront réaliser les disciples du Christ : formés par Lui pour vivre dans le style des Béatitudes, ils devront attirer tous les hommes à Dieu, à travers le témoignage de l’amour : « De même, que votre lumière brille devant les hommes : alors en voyant ce que vous faites de bien, ils rendront gloire à votre Père qui est aux cieux » (Mt 5,16). En écoutant ces paroles de Jésus, nous, membres de l’Eglise, ne pouvons pas ne pas percevoir toute l’insuffisance de notre condition humaine, marquée par le péché. L’Eglise est sainte mais elle est composée d’hommes et de femmes avec leurs limites et leurs erreurs. Seul le Christ, en nous donnant l’Esprit Saint peut transformer notre misère et nous renouveler continuellement. C’est Lui la lumière des nations, lumen gentium, qui a choisi d’éclairer le monde à travers son Eglise (cf. Concile Vatican II, Lumen gentium, n. 1).

    « Comment cela adviendra-t-il ? », pouvons-nous nous demander en reprenant les paroles que la Vierge adressa à l’Archange Gabriel. C’est précisément la Mère du Christ et de l’Eglise qui nous fournit la réponse : par son exemple de disponibilité totale à la volonté de Dieu « fiat mihi secundum verbum tuum » (Lc 1,38), elle nous enseigne à être « épiphanie » du Seigneur, dans l’ouverture du cœur à la force de la grâce et dans l’adhésion fidèle à la parole de son Fils, lumière du monde et but ultime de l’histoire. Ainsi soit-il !"


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    (*) Abbé Claude Germeau et Petit Frère Jérémie-Marie de l'Eucharistie, asbl Foyer d'Accueil de Herstal, Rue  Bellenay, 2, B-4040 Herstal. Site web http://www.foyer-herstal.com

     

     

     

     

     

     

     

     

  • A la Chapelle Saint-Lambert de Verviers

     

    LES VANDALES N’ONT PAS REUSSI A EMPÊCHER LES CELEBRATIONS DE NOËL

     

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    La Chapelle Saint-Lambert, située au n°80 de la rue du Collège en plein centre de Verviers,  datant de la première moitié du XVIIIe siècle et classée comme monument du patrimoine de la région wallonne, a été la cible de vandales. Quelques jours avant Noël, les responsables ont constaté la présence de déchets en tout genre dans le porche d'entrée. Et ce n'était qu'un début. À l'intérieur c'était  un véritable spectacle de désolation : chaises renversées, bénitiers remplis de limonade et d'allumettes, par terre un liquide collant avait été répandu... «Nous avons même retrouvé dans la crèche quatre bouteilles vides de vodka orange», soupirait le sacristain Lucien Bouveroux.

    La guirlande électrique de la crèche, installée la veille des faits, avait été arrachée. Une statue, oeuvre de l'artiste verviétois Hiram, avait elle aussi subi les affres des vandales qui se sont également attaqués à l'orgue. «Son revêtement protecteur gisait sur le sol et plusieurs touches du clavier ont été endommagées. Il faudra le passage d'un spécialiste pour réparer les dégâts», explique notre interlocuteur. Les vandales sont montés sur le maître-autel et y ont arraché le crucifix en bois, pièce d'époque, qui a été retrouvé, brisé en deux, le Christ ayant de plus, un bras arraché.

    L'édifice a été fermé l'espace de trois jours pour permettre sa remise en état  afin qu’il soit en mesure d'accueillir dignement, le 24 décembre, la Veillée et la Messe de Minuit de Noël. Celle-ci et la Messe du Jour, le lendemain à 11 heures, ont ainsi pu réunir une centaine de fidèles. Les offices furent célébrés par le P. Jos Vanderbruggen, o.praem., dans la forme extraordinaire du rite romain, comme chaque dimanche et lors des fêtes d’obligation.

     

     

  • Célébrations de Noël

     

    NOËL A LA CHAPELLE SAINT-LAMBERT A VERVIERS:

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    Rue du Collège, 80

     

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     JEUDI 24 DECEMBRE 2009

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    A 23 h. 30: VEILLEE

    Polyphonies

    Veni, veni Emmanuel (processional franciscain, XVe siècle)

    A la venue de Noël (Balbastre, XVIIIe siècle)

    Une Vierge pucelle (Dandrieu, XVIIIe siècle)

    Noël nouvelet (air provencal, XVe siècle)

    Puer natus in Bethléem (anonyme, XIIIe siècle)

    Chant, flûte et orgue

    But who may abide, air extrait du "Messie" de Händel (XVIIIe siècle)

    Oeuvres de A. Corelli (XVIIe siècle), J.-F. Dandrieu et Jiri Linek (XVIIIe siècle)

    Plain Chant

    Procession à la crèche:

    Hymne "A solis ortus cardine"

     

    A 24 h 00: MESSE

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    Plain chant de la messe de minuit

    Propre "ad primam missam in nocte" et Kyriale IX "Cum jubilo"

    Polyphonie classique

    Cantate Domino (Frederici, 1617)

    Ave Maria (Zoltan Kodaly, 1882)

    Grates nunc (Kugelmann, XVIe siècle)

    Flûte et orgue

    Oeuvres de Cl. Balbastre et L.-Cl. Daquin (XVIIIe siècle)

    Adeste fideles

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    Père Jos Vanderbruggen 

    La Messe est célébrée (missel de 1962) par le Père Jos Vanderbruggen, Recteur du Prieuré de Tancrémont

    avec le concours de la Schola de Saint Lambert, Patricia Moulan (alto solo), Albert Schäfer (direction et flûte)

    A l'orgue: Léonard Aussems.

    Saint-lambert à Verviers:

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     Renseignements: tél. 04.344.10.89

     

    AUTRES MESSES DE LA NATIVITE CELEBREES SELON LE MISSEL DE 1962:

     

    A VERVIERS

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    Chapelle Saint-Lambert (Rue du Collège, 80)

    Le vendredi 25 décembre 2009 à 11 heures

    grand'messe du jour de Noël (polyphonie, plain-chant et orgue)

     

     

    A LIEGE

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    Chapelle de Bavière (Rue des Bonnes Villes) en Outremeuse

    Le jeudi 24 décembre 2009 à 24h00

    Messe de Minuit de Noël

     

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    Eglise du Saint-Sacrement (Boulevard d'Avroy, 132)

    Le vendredi 25 décembre 2009 à 10 heures

    grand'messe du jour de Noël (polyphonie, plain-chant et orgue)

    la messe du jour de noël est également célébrée à la chapelle de Bavière en Outremeuse à 11h15

     

    A OVIFAT

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    Chapelle du Château de Reinhardstein

    (sur invitation)

    Le jeudi 24 décembre 2009 à 24h00

    messe de minuit de Noël (avec la Maîtrise de la Ville de Verviers)