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  • À l’Université de Liège, le mardi 27 mars à 18h00:

    politique et religion dans la pensée grecque 

     politique et religion dans la pensée grecque

     

    POLITIQUE ET RELIGION DANS LA PENSEE GRECQUE

    un lunch-débat avec le professeur André Motte 

    politique et religion dans la pensée grecqueLa rencontre sur ce thème aura lieu le mardi 27 mars 2012 de 18h00 à 20h00 à l’Université de Liège dans le bâtiment du Rectorat (place du XX  août 7, salle des professeurs). Elle est organisée par le Groupe de réflexion « Ethique sociale » et l’Union des étudiants catholiques de Liège,avec le concours du forum de conférences "Calpurnia", dans le cadre d’un cycle de « lunch-débats »  sur le thème « Neutralité ou Pluralisme ».

    Entre liberté des consciences et marché libre de la pensée, quelle est la place légitime des religions et des idéologies dans l’espace public ? Entre neutralité et pluralisme, quelle doit être l’attitude des institutions de l’Etat ? Ce thème soulève beaucoup de questions de principe ou d’actualité introduites par huit orateurs spécialisés.  

    politique et religion dans la pensée grecquepolitique et religion dans la pensée grecque

    Les 23 novembre et 5 décembre 2011, 25 janvier et 28 février 2012, le Chanoine Éric de Beukelaer, Doyen de l’Unité pastorale « Rive Gauche » de Liège, auteur du livre « Credo politique », Laurent de Briey, Directeur du CEPESS, professeur aux Facultés Universitaires Notre-Dame de la Paix à Namur,  Philippe Deitz, membre de la grande loge régulière de Belgique (GLRB) et Mgr Piotr Mazurkiewicz,  Secrétaire général de la Commission des Episcopats de la Communauté européenne ont abordé respectivement, le rapport des catholiques à la politique, l’analyse de trois courants de la pensée économique et sociale : libéralisme, socialisme, humanisme ainsi que les questions relatives à la compatibilité entre le catholicisme et la franc-maçonnerie  et à la laïcité dans les institutions européennes

    La parole est donnée cette fois à un spécialiste de la philosophie morale et de la pensée religieuse de l’antiquité grecque : André Motte, professeur hre à l’Université de Liège, directeur de la revue internationale « Kernos ».

    Quelle leçon peut-on tirer aujourd’hui de l’histoire des rapports entre la religion, la philosophie et la politique dans la Grèce antique ?

    Les cités grecques ont toujours imbriqué la politique et la religion.  Est-ce à dire que la puissance publique était totalitaire sur ce point (comme sur d’autres) ? Quels liens unissent exactement la religion, les mœurs et les convenances sociales de l’antiquité ?  Jusqu’où la vie religieuse était-elle encadrée par le pouvoir politique ? L’impiété était-elle admise ? Pourquoi Socrate fut-il condamné ? Comment les Grecs ont-ils concilié l’essor de la philosophie et les mythes du polythéisme ? La raison qui engendre la morale a-t-elle transformé l’image des dieux ? Pour les Grecs, existe-t-il une morale et un droit naturels fondés sur la raison, la nature, l’intuition, voire la providence ? Les dieux sont-ils justes ? La loi naturelle vient-elle des dieux ou s’impose-t-elle à eux aussi par une fatalité immuable ? L’Antigone de Sophocle est-elle l’illustration tragique de cette loi et ou du devoir d’agir selon sa conscience individuelle face aux décisions du pouvoir politique ?

    Ces questions ne sont pas anachroniques : elles rejoignent l’éternel débat sur les rapports entre la foi et la raison, la morale sociale, l’ordre et la liberté.

    politique et religion dans la pensée grecquepolitique et religion dans la pensée grecque

    Réponse au lunch-débat que le Professeur André Motte animera le mardi 27 mars prochain à 18 heures  à l’Université de Liège, place du XX août, 7 1er étage (accès par la grande entrée, parcours fléché). Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h00. P.A.F :10 €  (à régler sur place).  Inscription obligatoire trois jours à l’avance par tel. 04.344.10.89 ou info@ethiquesociale.org

     Quelques informations sur la suite du cycle

    Les rencontres suivant le débat sur Politique et Religion dans la Pensée grecque sont programmées comme suit (aux mêmes lieu et heures) :

    Mercredi 25 avril 2012 :

    Neutralité ou pluralisme dans l’espace public : avec Francis Delpérée, sénateur, professeur ém. de droit constitutionnel à la Faculté de droit de l'Université Catholique de Louvain (UCL) 

    Mardi 29 mai 2012 :

    Religions et État et dans l’Islam : avec Vincent LEGRAND, professeur à  la Faculté des sciences économiques, sociales, politiques de l’Université Catholique de Louvain (UCL), ancien chargé de cours au Centre interdisciplinaire d'étude des religions et de la laïcité de l’ULB à Bruxelles

    Mercredi 20 juin 2012 :

    la religion en droit comparé à l'aube du XXIe siècle : avec Louis-Léon Christians, professeur de droit des religions à la Faculté de Théologie de l’Université Catholique de Louvain (UCL), Vice-Président de l’Institut de recherche Religions, Spiritualités, Cultures, Sociétés.

    Renseignements et inscriptions :

    e-mail : à info@ethiquesociale.org

    téléphone : 04.344.10.89 ou 04.253.25.15, portable : 0475.83.61.61 

  • A l’initiative d’un « collectif d’étudiants »

    TROISIEME MARCHE POUR LA VIE

    LE DIMANCHE 25 MARS 2012 A BRUXELLES

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    A priori on se demande si tout cela sert vraiment à grand’chose. Les contre-manifestants seront sans doute là aussi (en tout cas ils organiseront une marche "pro choice" la veille).On se comptera, on échangera des slogans. La RTBF ira filmer plus ou moins tendancieusement les uns et les autres. Trois petits tours et puis s’en vont ? Et pourtant…

    Le professeur Michel Ghins nous explique de façon convaincante pourquoi l’association « Action pour la famille », dont il est le président, se joindra à la manifestation "pro life". Un ton au dessus de la propagande, et qui donne à réfléchir. Faut-il rappeler que Michel Ghins est professeur de philosophie à l’Ucl et président du centre de philosophie des sciences de cette université ?  Voici son texte :

    « Action pour la famille soutient la Marche pour la vie organisée par un collectif d’étudiants qui partira le dimanche 25 mars à 14h du Mont des Arts (près de la statue du roi Albert I) à Bruxelles. Pour plus d’informations http://www.marchforlife.be

    Malgré les campagnes en faveur de l’usage des contraceptifs et des cours d’éducation affective et sexuelle dans les écoles, le nombre d’avortements ne cesse de progresser en Belgique. Selon les chiffres du dernier rapport de la commission d’évaluation sur l’interruption de grossesse, nous sommes passés de 13 474 avortements en 2003 à 19 421 en 2009, alors que le nombre de femmes en âge d’avoir des enfants est en diminution constante. Plus inquiétant encore : la proportion de jeunes femmes (moins de 25 ans) qui subissent une IVG ne cesse d’augmenter.

    Ne nous voilons pas la face : que l’on soit pro-choice ou pro-life, nous devons admettre qu’il y a un problème de l’avortement en Belgique. Plusieurs décennies d’utilisation de plus en plus répandue et efficace de méthodes contraceptives nous montrent qu’elles sont impuissantes à enrayer cette tendance à la hausse.

    Les propositions d’Action pour la famille :

    1. Aider en priorité la femme qui demande une interruption volontaire de grossesse à garder son enfant. Il est frappant de constater le grand nombre de femmes qui invoquent comme raison d’une IVG de « ne pas souhaiter d’enfant pour le moment » (4659 en 2009). Or la loi de 1990 stipule que l’avortement n’est dépénalisé que pour les femmes que « leur état place dans une situation de détresse » avérée et qu’il revient au médecin qui pratiquerait l’IVG, et au médecin seul, d’apprécier cet état de détresse. La loi précise également que la femme qui souhaite interrompre sa grossesse a le droit d’être clairement et complètement informée sur les « droits, aides et avantages garantis par la loi aux familles, aux mères célibataires ou non, et à leurs enfants, ainsi que sur les possibilités offertes par l’adoption de l’enfant à naître. »

    Plutôt que de simplement prendre acte d’un « état de détresse » il faut en premier lieu de tout faire pour aider la femme à sortir de cette détresse en gardant l’enfant, éventuellement en décidant de le confier à terme à l’adoption, tout en bénéficiant de l’accompagnement psychologique indispensable à une telle décision. La possibilité de l’adoption ainsi que l’aide psychologique nécessaire sont clairement mentionnées par la loi. Une écoute déculpabilisante et généreuse de son cœur et de son temps est absolument indispensable. Le plus souvent, une femme doit affronter seule l’épreuve de l’avortement. Ceci est d’autant plus préoccupant pour les mineures d’âge qui ont accès à l’avortement sans avoir à en informer leurs parents.

     2. Rappeler que l’avortement n’est pas un droit. La loi de 1990 n’instaure pas un « droit à l’avortement » mais une dépénalisation dans des conditions précises. Un tel droit impliquerait l’obligation à quiconque de pratiquer un avortement pourvu que les conditions légales soient remplies. Or, le législateur dit bien qu’ « aucun médecin, aucun infirmier ou infirmière, n’est tenu de concourir à une interruption de grossesse ». Certainement, une femme, comme chacun d’entre nous, est libre d’opérer ses propres choix. Mais ce choix doit s’effectuer dans des conditions qui n’imposent pas une décision dans un sens ou dans un autre, et en ayant toujours en vue qu’en principe, une femme voudrait d’abord garder son enfant. Rappelons également, que le choix d’une IVG n’engage pas seulement la femme, mais une autre vie humaine : celle qu’elle porte en elle.

    3. Briser le tabou sur les conséquences psychologiques d’un avortement. Une véritable loi du silence empêche les femmes de s’exprimer sur les difficultés psychologiques et relationnelles qui surviennent souvent suite à une interruption de grossesse. Cependant, de plus en plus de femmes ont le courage de faire état publiquement des difficultés éprouvées à surmonter une IVG, des difficultés d’autant plus importantes que l’avortement est tardif et qui se manifestent parfois de nombreuses années après. Or, l’expression d’une souffrance aide considérablement à la surmonter et peut permettre à d’autres de l’éviter. Les femmes qui demandent une interruption de grossesse ont le droit d’être informées clairement et complétement sur les conséquences psychologiques possibles d’une IVG et les personnes qui les accueillent ont le devoir de lui communiquer cette information. Action pour la famille est opposée à tout allongement du délai légal actuel de 12 semaines.

    4. Dispenser dans les écoles des cours d’éducation sexuelle et surtout affective qui mettent en valeur la beauté du don de soi à l’autre et la joie qui l’accompagne. L’amour qui vise le bien de l’autre conduit tout naturellement à une attitude de respect et à une prise de conscience de ses responsabilités. S’engager dans des relations sexuelles à un âge précoce ou dès le début d’une relation peut entraîner des conséquences dommageables pour l’équilibre affectif. De tels comportements peuvent aussi porter préjudice à la réussite future d’une relation amoureuse stable.

    5. Garantir davantage les droits et la protection des femmes enceintes à l’égard de leur employeur et assurer leur retour au travail dans de bonnes conditions. Des décisions politiques doivent aider à concilier la vie familiale avec la vie professionnelle, aussi bien pour les hommes que pour les femmes. Action pour la famille est favorable à l’instauration du salaire parental.

    Action pour la famille asbl est une association citoyenne, pluraliste et indépendante qui ne reçoit aucune subvention d’organisations publiques ou privées. Visitez notre site internet

    Pour se rendre à cette marche à Bruxelles (rassemblement le 25 mars à 14h au Mont des Arts, près de la Gare centrale : rendez-vous

     

    depuis Liège  -hall de la gare des Guillemins, à 12h45 (afin de prendre le train de 13h pour Bruxelles)

    ▶ depuis Verviers - devant la gare, à 12h15 (afin de prendre le train de 12h37 pour  Bruxelles)

    Contacts pour Liège-Verviers: Mme Monique Crismer tél  04.263.59.44  e-mail jean.crismer@skynet.be

  • Premier Dimanche du Mois avec la Schola grégorienne

    EGLISE DU SAINT-SACREMENT
    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège

     

     

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    DIMANCHE 4 MARS 2012 À 10 HEURES

    MESSE DU PREMIER DIMANCHE DU MOIS 

    Deuxième Dimanche du Carême  2012 

    Evangile de la Transfiguration du Seigneur (Matth., 17, 1-9) 

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    le Mont Tabor 

    Dans la tradition chrétienne, le mont Tabor (en Galilée) est lié au lieu de la Transfiguration de Jésus. Bien qu'il ne soit pas mentionné dans le Nouveau Testament, ce mont Tabor est lié à l'évènement depuis les temps anciens, et l'on trouve, en son sommet, plusieurs vestiges d'églises. Il fut occupé par un nombre non négligeable de moines et d'ermites

    De Jésus, l'Ecriture affirme que, s'étant retiré dans la montagne avec Pierre, Jacques et Jean, « Il fut transfiguré devant eux ; son visage devint brillant comme le soleil, et ses vêtements blancs comme la lumière. » Matthieu 17, 2.

    Jésus emmène trois disciples qui lui sont proches, et qui seront présents au moment de son agonie et de sa mort. Cette révélation de Jésus transfiguré leur est accordée pour affermir leur foi avant la passion :« il les emmène à l’écart sur une haute montagne »

     La montagne est le cadre idéal pour la prière. Jésus se rend souvent seul sur une colline pour prier. Le haut d’une montagne est toujours dans la bible le lieu de rencontre avec Dieu. C’est sur une haute montagne que Moïse avait eu la révélation du Dieu de l’Alliance et avait reçu les tables de la Loi. C’est encore sur une haute montagne que le prophète Elie avait eu la révélation du Dieu de tendresse manifesté dans la brise légère.

     « Il fut transfiguré devant eux » Jésus apparaît revêtu de la gloire de Dieu, il se montre sous sa nature divine lui qui est à la fois vrai homme et vrai Dieu.

    « Voici que leur apparurent Moïse et Elie » Moïse et Elie, les deux colonnes de l’Ancien Testament, la loi et les prophètes.« Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis tout mon amour ; écoutez-le ! » De même, les dix commandements donnés par Dieu à Moïse commençaient par « écoute Israël. » Le Seigneur nous demande d’ouvrir nos oreilles et notre cœur à sa Parole. « les disciples tombèrent face contre terre et furent saisis d’une grande frayeur …/… Jésus s’approcha, les toucha et leur dit : ‘ Relevez-vous et n’ayez pas peur ! ‘ ».

    Ce n’est pas étonnant que les disciples aient un mouvement de peur devant cette manifestation si spectaculaire de Dieu qui est le tout autre, le tout puissant, le très haut. Tout de suite après, Jésus est là pour les rassurer, il les touche pour leur signifier qu’il est aussi le tout proche, le frère, l’ami. Voilà toute la vérité sur Dieu, transcendant et intime.

    « Ne parlez de cette vision à personne, avant que le Fils de l’homme soit ressuscité d’entre les morts. » Jésus leur confie qu’il va ressusciter, mais les hommes ne sont pas encore prêts à recevoir ce témoignage.

    premier dimanche du mois à l'église du saint sacrement à liège

    Messe selon le missel de 1962 

    Propre grégorien de la messe «Reminiscere »  

    Kyriale XVII (XIVe siècle), Credo I (XIe siècle)

    Hymne du Carême « Audi, benigne conditor »  

    L'hymne du Carême nous met dans l'état d'esprit de ce temps liturgique. Cette hymne est plutôt joyeuse, remplie d'espérance, celle de la fin de cette vallée de larmes.  Cliquez ci-dessous pour l'entendre, interprétée par l'ensemble Vox Reflexa :

    Audi benigne conditor performed by Vox Reflexa - YouTube

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    LA MESSE EST CHANTEE PAR LA SCHOLA DU SAINT-SACREMENT

    À L’ORGUE, PATRICK WILWERTH

    Professeur au Conservatoire de Verviers

     Livrets à votre disposition sur la table au fond de l’église pour suivre la messe